
« La patrie, c'est ce qui reste à ceux qui n'ont plus rien » Blog patriotique d'information. Pour une France libre !
édition du 27 février 2008
Marine Le Pen, vice-présidente du Front national, s’est réjouie mercredi de l’abandon de l’idée de Nicolas Sarkozy de faire parrainer par chaque écolier de CM2 un enfant victime de la Shoah.
“Je regrette que Nicolas Sarkozy lance des idées dont plusieurs sont éminemment néfastes, sans aucune concertation, en écoutant des conseillers qui n’ont aucune qualité particulière, comme Mme Mignon, en créant une espèce de sentiment anxiogène“, a-t-elle ajouté.
Mme Le Pen a suggéré “que chaque classe de CM2 parraine un héros de l’histoire de France, qu’il soit célèbre ou anonyme”, afin de “recréer une fierté à l’égard de la France”.
Alors qu’on lui demandait s’il fallait améliorer le travail de mémoire sur la Shoah, elle a mis en garde contre “une compétition entre les mémoires, au moment où il faut appuyer plus sur ce qui nous unit”.
Juste derrière le Louvre, l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des rois, accueille désormais toute les semaines des messes en latin. Une pratique de nouveau autorisée par le pape Benoît XVI.
Un curé qui tourne le dos à l'assemblée et récite des textes en latin, de grands mouvements d'encensoir qui répandent de la fumée dans toute l'église, des chants grégoriens, un cortège d'enfants de choeur... Les messes en latin, qui n'étaient plus célébrées que dans trois églises de la capitale - Saint-Eugène-Sainte-Cécile (IXe), Notre-Dame-du-Lys (XVe) et Sainte-Odile (XVIIe) - refont surface. Depuis le 2 décembre, cette messe, dite « de rite ancien » ou « tridentin », s'est installée tous les jours sauf le samedi dans l'une des plus belles églises de Paris : Saint-Germain-l'Auxerrois, située juste en face du Louvre, et qui fut en son temps la paroisse des rois de France.
Une avancée pour les traditionalistes permise par la décision du pape Benoît XVI de réintroduire cette messe dans les églises. Tous les dimanches, ils sont environ 300 fidèles à y assister, venus des quatre coins de la capitale et même d'Ile-de-France.
« Dès les premiers jours, il y a eu beaucoup de monde, témoigne le père Dominic Schubert, le curé de la paroisse, qui célèbre la messe selon les deux rites. C'est vrai que j'ai été un peu étonné : je ne m'attendais pas à voir autant de fidèles dès le début. »
Toutes les chaises ou presque sont remplies. Au premier rang, une petite fille en uniforme de scout tient le drapeau de son groupe. Ses parents, entourés de leurs trois autres enfants, l'observent d'un oeil attendri. Non loin, deux jeunes filles en jupe et chaussures vernies alternent position assise et agenouillée.
« Aimer cette liturgie sans être considérés comme des extrémistes »
« Cette forme de messe nous permet d'avoir un meilleur accès au sacré, sourient Laurence et Franck, habitants du Ve arrondissement qui viennent ici tous les dimanches avec leurs trois enfants depuis début décembre. Avant, nous allions à Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Maintenant, nous pouvons vivre notre foi, aimer cette liturgie, sans être considérés comme des extrémistes. » « Je ne suis pas surpris qu'il y ait tant de monde, se réjouit Henri, Parisien d'une trentaine d'années, venu lui aussi avec sa petite famille. Beaucoup de gens ne connaissent pas cette liturgie. Mais s'il y avait une messe dite selon le rite ancien dans chaque paroisse, on serait étonné de voir l'affluence ! » Pour l'instant, au diocèse, ce n'est pas programmé...
Toute reconnaissance de cette indépendance sera une faute historique aux conséquences incommensurables.
- La plupart des candidats UMP aux élections municipales militent pour la construction de mosquées. Cela est le cas à Bordeaux, Marseille, Nice, Strasbourg etc…Au final, c’est un candidat UMP sur deux (dans les communes de plus de 30 000 habitants) qui est favorable à l’islamisation de sa ville. A moins d’être islamophile ou islamiste, comment un électeur patriote peut-il soutenir de telles initiatives ?
Mais en alignant une fois de plus les contre-vérités sur ce traité, qui n’est ni mini, ni simplifié, ni de lui, puisqu’il est la copie conforme de la Constitution européenne, Nicolas Sarkozy a seulement souligné qu’il a trompé les Français.
Le plus grave demeure qu’il a trahi la France, avec la complicité d’une représentation nationale qui a illégitimement disposé de la souveraineté de la nation.
« Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. »
Source : tropicalboy
A 1 mois des municipales, pas de vagues ! Devant l'ampleur des manifestations ( blocage de Paris, de l'aéroport de Roissy...) les chauffeurs de taxis ont donc contraint le 1er ministre a baisser son pantalon, en promettant de retirer le "projet Attali"...