Publié par Weetabix
mercredi 31 octobre 2007
Publié par Weetabix
mardi 30 octobre 2007
Depuis dimanche, plusieurs lecteurs nous ont informés de "l'affligeant spectacle" qui a entouré le Saint Sacrifice de la Messe télévisée dimanche sur France 2
Pour preuve, l’installation, le 16 octobre, de la Fondation pour les œuvres de l’islam de France, présidée par le recteur Dalil Boubakeur. Évoquée pour la première fois en novembre 2004, reconnue d’utilité publique en 2005, cette institution n’avait pas encore été mise en place en raison des dissensions entre les fédérations appelées à siéger à son conseil. C’est chose faite et Nicolas Sarkozy, François Fillon et Michèle Alliot-Marie s’en sont félicités en allant à la Mosquée de Paris rompre le jeûne du ramadan avec les représentants musulmans. « N’en déplaise à quelques-uns que je combats, l’islam c’est aussi une partie de la France », a réaffirmé le chef de l’État, le 1er octobre.
Quelles sont les missions de cette fondation ? Le premier ministre les a définies le 18 septembre : « Elle facilitera, avec l’aide de la Caisse des dépôts, la construction et la rénovation des lieux de culte. Elle financera l’indispensable formation des cadres religieux et des aumôniers musulmans. Elle aidera le Conseil français du culte musulman à mieux remplir sa tâche. » Des missions qu’elle accomplira en recueillant « les dons des fidèles et des amis de l’islam de France ». Les moyens ne devraient pas manquer : la construction de mosquées représente un important marché, que plusieurs entreprises espèrent remporter. « Je souhaite, a précisé Michèle Alliot-Marie le 10 octobre, que soit élaboré un schéma directeur des implantations [des futurs lieux de culte] en étroite concertation avec les élus et notamment les maires, légitimement attentifs à ces questions. »
Nicolas Sarkozy espère ainsi soustraire l’islam aux influences étrangères et le sortir « des caves et des garages » pour lutter contre les fanatiques qui s’en réclament. Y parviendra-t-il ? Le MPF de Philippe de Villiers juge nécessaire de soumettre la construction de nouvelles mosquées au respect d’une « charte républicaine » : « refus des financements étrangers et de la polygamie, acceptation de la laïcité et de l’égalité entre les hommes et les femmes », résume Guillaume Peltier. Carl Lang (FN) redoute que cette politique ne débouche sur la « communautarisation de la société, comme en ex-Yougoslavie ». À quoi Nicolas Sarkozy répond qu’«améliorer la réalité quotidienne des musulmans croyants de France, c’est priver les extrémistes de l’un de leurs principaux arguments ».
Quoi qu’il en soit, les fidèles musulmans n’ont pas attendu la création de cette fondation pour financer l’édification de nouvelles mosquées. En 2004, le ministère de l’Intérieur dénombrait déjà 1 685 lieux de culte. Il y en avait à peu près cent en 1970. « À travers toute la France, des lieux de culte sont en train de s’ouvrir », soulignait François Fillon le 18 septembre : un par semaine, selon l’Intérieur. Des projets sont en cours à Roubaix, Trappes, Annecy, Vénissieux, Mulhouse, Saint-Étienne… Bon nombre des édifices en construction ont des dimensions importantes, au point que l’on parle, pour certains, de “mosquées-cathédrales”. Le point dans quelques villes de France. F. M.
CERGY : Si les mosquées ne manquent pas dans le Val-d’Oise (Pontoise, Argenteuil, Sarcelles), Cergy (57 000 habitants) ne possède pas de lieu de culte musulman spécifique : les fidèles se réunissent dans des salles prêtées par la commune au gré du calendrier religieux. La municipalité a donc décidé de mettre à disposition de la fédération des musulmans de Cergy un terrain de 11 000 mètres carrés pour un loyer symbolique. Ce bail emphytéotique est-il légal au regard de la jurisprudence ? « Ce n’est pas la première fois qu’une communauté religieuse est accompagnée dans ses projets », répond le maire. Et de citer la construction du temple et de l’église, à la création de la ville nouvelle, dans les années 1970, puis, en 2000, l’édification d’une église dans les Hauts-de-Cergy. À 150 mètres de la gare RATP, la future mosquée (2 350 mètres carrés) pourra accueillir 800 personnes. Au lieu de culte, à l’architecture moderne, s’ajoute un institut culturel musulman de 1 000 mètres carrés. Le tout estimé à 4,8 millions d’euros. La ville de Cergy s’engage aussi à garantir les emprunts de la FMC (Fédération musulmane de Cergy) et prend en charge la réalisation d’un “espace dédié aux arts et cultures du monde” adjacent à ce complexe. La fédération, qui a recueilli 360 000 euros, comptait voir affluer les dons lors du ramadan, et plus encore quand la première pierre sera posée. Inauguration prévue à la fin 2008… si les prévisions financières sont tenues.
CLERMONT-FERRAND : C’est à deux pas du chantier de la “grande mosquée de Clermont-Ferrand” que le pape Urbain II prêcha la première croisade en 1095. Le gros œuvre est réalisé, la coupole est construite, ne manque plus que le minaret de 16 mètres. Présent lors de la pose de la première pierre en 2004, l’évêque de la capitale auvergnate, Mgr Simon, salue en l’islam « une contribution à la vie culturelle et religieuse de notre pays ». C’est d’ailleurs l’église catholique qui avait mis à la disposition « de ses frères en humanité » une chapelle de 200 mètres carrés, maintenant trop petite et inadaptée, avec sa forme en croix, au culte islamique. Huit mosquées et salles de prières existent déjà à Clermont-Ferrand. Elles peuvent accueillir près de 3 000 fidèles mais il manquait une “grande mosquée” architecturale. Sur un terrain de 2 700 mètres carrés, elle pourra accueillir un millier de fidèles pour la prière du vendredi, une centaine d’étudiants pour l’initiation à l’arabe et à la culture arabo-musulmane. Un hammam est prévu. Ce qui fait dire à Érik Faurot, responsable local du Front national : « C’est plus qu’une mosquée, c’est un centre coranique. » Silence radio du côté de la mairie socialiste : « C’est un chantier privé. La ville n’a rien à voir dans ce dossier. » En effet, les pouvoirs publics, chose rare, ne sont pas intervenus dans ce projet. D’où viennent les 2,9 millions d’euros nécessaires à la construction du bâtiment ? Dons des fidèles ? Apports étrangers ? Sans doute les deux.
ÉPINAL : Ce sera le premier lieu de culte islamique d’Épinal. « Il y avait bien une salle de prières, mais elle a été rendue inutilisable à la suite d’un sinistre », explique-t-on à la mairie. Un sinistre vraisemblablement d’origine criminelle, les poutres du bâtiment ayant été sciées. Dans ce contexte de rivalités sous-jacentes entre communautés, le maire UMP, Michel Heinrich, insiste pour que « la mosquée soit ouverte à toutes les communautés musulmanes de la ville ». Trois à cinq mille musulmans vivent à Épinal et ses alentours, selon le président de l’Association culturelle musulmane des Vosges, qui porte le projet. Encadré par quatre minarets, le futur complexe cultuel et culturel, d’une superficie de 700 mètres carrés, pourra accueillir 1 000 fidèles en bordure d’Épinal. La municipalité a mis à disposition le terrain par le biais d’un bail emphytéotique. La phase de conception est terminée, le permis de construire est obtenu, les financements commencent à affluer. Le coût global de la construction est estimé à 1,5 million d’euros. « Nous tenons des fichiers avec des reçus qui permettent de “tracer” les financements. Nos comptes et nos actions seront transparents », affirme le président de l’ACMV. Un tiers de la somme est réuni, mais les travaux n’ont pas encore débuté. Pour Taoufik Ferchichi, « les dons se feront plus nombreux une fois la première pierre posée ». Et d’ajouter : « Nos adhérents sont comme saint Thomas, ils attendent de voir pour croire. » Achèvement des travaux d’ici à 2010.
MARSEILLE : C’est sans doute le plus imposant projet actuel : une mosquée de 5 000 places au nord de la cité phocéenne. « Il y a ici 20 000 musulmans pratiquants et seulement 65 lieux de culte pour une capacité d’accueil de 7 000 places », explique-t-on à la mairie de Marseille. La construction d’une “grande mosquée” sur les anciens abattoirs municipaux du quartier Saint-Louis a été retardée en avril, après des recours engagés par le MNR, le MPF et le FN, qui considéraient le loyer de 300 euros demandé par la mairie à l’association La Mosquée de Marseille comme une subvention déguisée. Le tribunal administratif leur a donné raison. Depuis, « nous avons réévalué le bail, explique une source proche du cabinet de Jean-Claude Gaudin. Le loyer s’élève désormais à 24 000 euros par an et durera 50 ans et non plus 99 ans. Si le bail est à nouveau cassé, nous ferons appel de cette décision ». Mais la mairie veut rassurer : « Le projet est religieux et non pas culturel afin d’éviter toute dérive. Le premier problème, c’est l’argent et son utilisation et il n’y a, en l’occurrence, aucune possibilité de réaliser une activité commerciale. » Sans doute, mais où “l’islam de France” ira-t-il chercher les 8 millions d’euros nécessaires à ce chantier ? Le Maroc et l’Algérie se sont portés volontaires pour mettre la main à la poche. L’Arabie Saoudite réfléchit. Un compromis difficile a été trouvé entre les communautés de l’islam local. Au départ, des mosquées de proximité ont été proposées mais les imams qui, pour beaucoup, vivent de leur fonction n’ont pas voulu lâcher leur salle de prières. Et les radicaux préfèrent la discrétion des petites structures à une grande mosquée exposée et ouverte. Si la situation se dégradait, la mairie prévient : « S’il y a des prêches incendiaires, la préfecture a le pouvoir de fermer la mosquée. Et si les règles de sécurité ne sont pas respectées ou si une activité commerciale s’établit, la mairie pourra résilier le bail. »
STRASBOURG : Concordat oblige, la situation à Strasbourg est très particulière. La loi de 1905 ne s’appliquant pas en Alsace et en Moselle, les collectivités publiques peuvent subventionner les différents cultes. Seule contrainte, l’existence d’un intérêt communal. En plus d’un bail très avantageux, la ville finance le projet à hauteur de 10 %. La région et le département prennent chacun en charge 8 % du coût total. Soit une subvention publique globale de 26 %. L’édifice sera doté d’une coupole de 20 mètres de haut, d’une salle de prières de 1 000 mètres carrés pouvant accueillir 1 500 fidèles. En juillet, les fondations étaient achevées, le gros œuvre entamé. « La première pierre a été posée à l’automne 2004, mais les travaux n’ont commencé qu’en 2006. Ce retard s’explique par les problèmes de financement qui obligent à des pauses dans la construction. Souvent les travaux doivent patienter jusqu’au mois du ramadan, période où les fidèles sont particulièrement généreux », constate-t-on à la mairie. Le coût de la mosquée était à l’origine estimé à plus de 18 millions d’euros. La municipalité UMP, qui a hérité du dossier en 2001, a revu à la baisse ce projet pharaonique pour ne garder que la salle de prières et la partie administrative, soit 6,1 millions d’euros. Fin juin, la rue adjacente à la mosquée a été rebaptisée rue Averroès.
VILLENEUVE-D’ASCQ : Une fois achevé, le “complexe spirituel” islamique de Villeneuve-d’Ascq devrait être le plus important de l’agglomération lilloise, qui compte déjà 25 mosquées de 100 à 1 000 places, un lycée musulman et un institut de formation des imams. Querelles intestines et difficultés de collecte des fonds ont retardé le dossier. Le terrain est un parking situé rue Baudouin-IX et cédé par la communauté urbaine pour 378 000 euros. La première pierre du bâtiment de 2 000 mètres carrés, flanqué d’un minaret de 18 mètres, a été posée fin 2005. La salle de prières, qui accueillera 1 000 fidèles, jouxtera des salles de cours, une bibliothèque et un musée de la Culture musulmane en France. Objectif de la mosquée : « Amener les jeunes à l’éducation pour les tirer de leurs cages d’escalier. » Le coût de cette “université de la foi” s’élève à près de 1,5 million d’euros. « Les fonds viennent essentiellement des fidèles villeneuvois et de quelques donateurs de passages », assure l’association chargée du projet. Pourtant, le maire (PS), Jean-Michel Stievenard, ne peut que constater « n’avoir reçu que des engagements oraux ». Le gros œuvre a débuté au mois de mars. Fin des travaux : d’ici à un an.
lundi 29 octobre 2007

dimanche 28 octobre 2007
samedi 27 octobre 2007

Contacté par téléphone, le service de presse du parti a refusé de commenter cette information dans l'immédiat.
jeudi 25 octobre 2007
CONVENTION IDENTITAIRE
:: Inscription à l’avance vivement recommandée ::
Mise en place d’une permanence téléphonique.Pour toute demande d’information :08 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
4 commissions, 8 ateliers, 1 forum des médias identitaires, 25 intervenants, les 5 bougies des Jeunesses Identitaires, un hommage à Karel Dillen (fondateur du Vlaams Blok), des stands et 7 délégations de Peuples d’Europe
———————–SAMEDI MATIN———————–
> Une stratégie Identitaire : Anti-mondial ! Pro-local !>> Atelier 1 : Les outils de la reconquête culturelle>> Atelier 2 : Les identitaires sur le front électoral
> Un toit pour nos familles, une instruction pour nos enfants !>> Atelier 1 : L’action sociale identitaire>> Atelier 2 :Comment sauver nos enfants de l’Education Nationale
> Forum : convergence des médias libres
———————–SAMEDI APRES-MIDI———————–
> Une “notre” Europe>> Atelier 1 : Aider le Kosovo serbe>> Atelier 2 : Identitaires d’Europe
> Répondre au défi islamique>> Atelier 1 : La réponse juridique aux mosquées>> Atelier 2 : L’action au quotidien contre la repentance
> Les Jeunesses Identitaires ont cinq ans
———————–SAMEDI SOIR———————–
> Repas de gala au profit du Comité d’Entraide aux Prisonniers Européens
———————–DIMANCHE MATIN———————–
> Rapport des ateliers
> Hommage à Karel Dillen
> Christian Chaton : des élus (et candidats) au service de l’identité> Philippe Vardon / Guillaume Luyt> Fabrice Robert : Discours de clôture
Avec la participation de :
Nicolas Bay (Secrétaire Général du M.N.R), Odile Bonnivard (S.D.F), Thierry Bouzard (Rédacteur en chef - Monde et Vie), Erick Cavaglia (Groupe de réflexion identitaire-Sparte), Christian Chaton (Fédération Identitaire/Conseiller Général du Haut-Rhin), Jacques Cordonnier (Alsace d’Abord), Hilde De Lobel (Député au parlement flamand-Vlaams Belang), Pierre Graillard (Président des Jeunesses Identitaires), Roland Hélie (Directeur de publication de Synthèse Nationale), Bruno Larebière (Rédacteur en chef du Choc du Mois), Fabrice Lauffenburger (Président de Jeune Alsace), Laurent Leclercq (Dreux-Identité), Dominique Lescure (Soulidarièta), Guillaume Luyt (Les Identitaires), Nikola Tadic (Serbes du Kososvo), Frédéric Pichon (Europa Gentes), Fabrice Robert (Président du Bloc Identitaire), Guy Rolland (Droit de Mémoire), Martial Roudier (Peuples-Identités-Cultures Occitanie), Jean Baptiste Santamaria (Groupe Sparte), Chantal Spieler (Solidarité Alsacienne), Robert Spieler (Alsace d’Abord), Philippe Vardon (Président de Nissa Rebela), Patricia Vayssière (Conseillère Municipale de Montreuil-M.N.R), Jean-Philippe Wagner (Conseiller Régional de Lorraine)
Et des délégations :
Lega Nord (Italie), Vlaams Belang (Flandre), Nissa Rebela (pays Niçois), Les Identitaires Genevois (Suisse), Causa Identitaria (Portugal), Assemblea Identitaria (Espagne), Alsace d‘Abord (Alsace), Serbes du Kosovo, NSV (Syndicat des Etudiants Flamands)…
—-
Participation aux frais :Jeunes : 10 EurosAdultes : 15 EurosHébergement à partir de 12 Euros
Si vous ne pouvez pas être présent physiquement vous pouvez participer financièrement à l’accueil d’une délégation d’Europe (à partir de 30 Euros).
Pour tout contact : http://fr.novopress.info/MAILTO/info@bloc-identitaire.comBloc Identitaire - BP 13 - 06301 Nice cédex 04Permanence téléphonique : 08 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
Un homme d’origine camerounaise a été mis en examen à Grasse (sud-est de la France) après avoir réussi le concours de gardien de la paix avec de faux papiers, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
mercredi 24 octobre 2007

Intervention de Jean-Marie Le Pen prononcé le au Parlement européen à Strasbourg
Deux ans et demi après le rejet de la Constitution européenne par les Français et les Néerlandais, le Conseil européen a adopté le 19 octobre à Lisbonne le Traité simplifié et modificatif, bien mal nommé, car il a été complexifié et ne modifie la Constitution rejetée qu'à la marge.Bref, on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes et nous convaincre que ce texte n'a rien à voir avec le précédent pour éviter d'affronter les peuples européens par referendum.
La chose est trop sérieuse, semblez-vous dire, pour être confiée aux peuples. Et bien, nous pensons exactement le contraire. Dans la mesure où ce texte est un copié-collé de la Constitution européenne, il mérite que chaque pays organise un referendum de ratification, à commencer par la France et la Hollande. Seul un referendum peut annuler ce qu'un autre à décidé !
Je lance dès ce jour, sans esprit partisan, une grande pétition dans mon propre pays pour que le Président de la République française, initiateur du mini-traité européen, revienne sur sa position en proposant un referendum.
Il y va, en effet, de l'avenir de nos Nations respectives, de leur souveraineté, de leur indépendance, de leur identité et de leurs libertés. Nous ne pouvons confier, par exemple, à un Haut Représentant le soin de nous représenter à l'étranger pas plus que nous ne pouvons voir remettre en cause notre siège au Conseil de Sécurité des Nations-Unies au nom de la personnalité juridique de l'Union ou encore laisser notre corpus juridique et législatif démantelé par les juges de Luxembourg.Les complices d'un tel déni de démocratie porteraient une lourde responsabilité devant l'Histoire.
mardi 23 octobre 2007

Avec plus de 29% des suffrages rassemblés aux élections fédérales de dimanche, l'UDC helvétique vient de s'imposer comme la première force politique en Suisse. Il s'agit d'un score jusquà présent jamais atteint par un parti politique quel qu'il soit dans ce pays. L'UDC a mené une campagne active sur les thèmes de l'immigration et de l'insécurité.
Nous ne pouvons donc que nous féliciter d'un tel résultat qui prouve, s'il en était encore besoin, que les droites nationales n'ont pas encore dit leur dernier mot sur le sol européen...
samedi 20 octobre 2007
L’accord des 27 sur le « traité de Lisbonne » est une nouvelle atteinte aux droits des peuples d’Europe. Ce traité ne fait que reprendre les dispositions de la Constitution européenne, or cette Constitution a été rejetée par les citoyens français et néerlandais.
Le « traité de Lisbonne » n’a donc aucune légitimité.
La seule attitude démocratique, pour les gouvernements, est désormais d’organiser un référendum pour vérifier que les peuples ne veulent pas se dissoudre dans un magma qui bientôt n’aura plus d’européen que le nom. Au contraire, le gouvernement français veut que notre pays soit le premier à ratifier ce honteux traité. Le premier à abandonner définitivement les souverainetés nationales. Par un vote du Parlement acquis à l’idéologie euromondialiste.
Le Front National demande aux Français de manifester leur opposition à cette infamie, à cette insulte à la nation, à cette destruction de ce que tant de générations ont bâti et préservé par leur travail et par leurs sacrifices.
- « Je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. (…) Plus généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés » ;
- En raison de la « la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. »
- « La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. »
- « Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. »
- « Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration ».
- « Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficiles leurs relations avec les Français. »
- « Quand la concentration devient très importante (…), la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrés plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes ».
A méditer. A commenter.
Et à faire circuler…
jeudi 18 octobre 2007
mercredi 17 octobre 2007
Après l'adoption de l'éventuelle révision de la Constitution qui pourrait être exigée par le Conseil constitutionnel pour mettre le texte fondamental en conformité avec le nouveau traité, "le projet de loi de ratification parlementaire vous sera présenté dès que possible, c'est-à-dire au début de l'année 2008", a expliqué M. Jouyet aux députés.
"La France serait ainsi un des premiers Etats, sinon le premier, à démontrer que l'Europe sort de l'impasse institutionnelle pour la première fois depuis 15 ans et pourra ainsi se consacrer aux préoccupations concrètes de nos concitoyens", a souligné le secrétaire d'Etat.
"Cette ratification doit être notre priorité à tous avant que la France prenne la présidence du conseil de l'Union européenne le 1er juillet 2008, et conforte la relance politique de l'Union à 27", a conclu M. Jouyet. AP

Nouveauté. Dès à présent aucun musulman, même le plus " branché " qui soit, ne pourra plus échapper aux principes du Coran : une société de Hong-Kong vient de mettre sur le marché un baladeur permettant d"écouter, d'apprendre et de réciter les sourates et les incantations du livre sacré de l'islam. Disponible en France, bien sûr... ( info trouvé sur http://www.jisequanie.com )
Si vous souhaiter de plus amples renseignements : http://www.enmac.com.hk/
mardi 16 octobre 2007
lundi 15 octobre 2007
dimanche 14 octobre 2007
samedi 13 octobre 2007
vendredi 12 octobre 2007
mercredi 10 octobre 2007
mardi 9 octobre 2007


Epinal (NOVOpress) - La propriétaire d’un gîte vosgien, qui avait refoulé une cliente et sa mère parce qu’elles portaient le voile, a été condamnée mardi à quatre mois de prison avec sursis et 5.800 euros d’amende par le tribunal correctionnel d’Epinal.
En effet Yvette Truchelut, dite Fanny, avait refusé en août 2006 l’accès à son gîte situé à Julienrupt (Vosges) à la plaignante Horia Demiati ainsi qu’à sa famille, parce que sa mère et elle ne voulaient pas ôter leur voile comme la propriétaire de l’établissement le leur avait demandé par égard pour les autres clients du gîte et pour les convictions personnelles de Fanny.
L’avocat de la propriétaire, Maître Alexandre Varaut, du gîte a indiqué que sa cliente avait fait appel du jugement.“Nous demanderons donc à nouveau à la cour de dire qu’on peut refuser le voile sans refuser la religion, comme ça a été le cas dans de nombreux pays musulmans au cours du XXème siècle”, a observé Me Varaut.
Apparemment, l’attachement de la république française à la laïcité s’arrête aux enceintes des cours d’école…
lundi 8 octobre 2007

LE MONDE 06.10.07 15h11 • Mis à jour le 06.10.07 17h10
Son secrétaire général, Guillaume Peltier, a reçu mandat du bureau national du MPF pour négocier des alliances avec l'UMP dans le cadre des municipales et des cantonales. Le président du MPF s'est toutefois réservé les négociations concernant la Vendée, département qu'il préside. Les discussions ont commencé entre Alain Marleix, secrétaire national de l'UMP chargé des élections, et Guillaume Peltier.
Article paru dans l'édition du 07.10.07.
dimanche 7 octobre 2007
samedi 6 octobre 2007
édition du 1er octobre 2007
Les listes de l'UMP seront placées sous le sceau de l'ouverture; Bockel crée son parti, "Gauche moderne", qu s'alliera avec l'UMP aux prochaines municipales. Besson, lui, lance "les progressistes", afin de doter la majorité présidentielle d'une aile gauche. Il est assez spécial de voir que tous les socialistes et l'UMP, qui faisaient sembler de se détester, se cajoler dans de folles retrouvailles. On remarquera que toutes ces personnes passent directement du PS à Sarkozy, sans s'arrêter au Modem de Bayrou, qui lui lorgne du côté du PS, ni au Nouveau Centre, et encore moins dans les deux frères, le Parti Radical et le Parti Radical de Gauche, qui eux aussi ont annoncé qu'ils voulaient amorcer une fusion, mais qui ont le désavantage de n'offrir aucun poste intéressant, aucune gamelle, contrairement à Sarkozy.
Oui, on peut dire que le centre, incarné par quatre principaux partis, est mort-né; le NC sert de support à l'UMP, le Modem est passé successivement d'une alliance avec la droite, à une stratégie "ni droite ni gauche", et maintenant à une stratégie "oui à la gauche". uant à la fusion du Parti Radical, qui n'existe que par la volonté de l'UMP, et d'un PRG atone, ce n'est pas un événement qui va bouleverser la vie politique française.
Les Verts, après leur cruel échec à la présidentielle, continuent à se disputailler entre leurs différents courants et chapelles; vont-ils réussir à faire un score à Paris aussi élevé qu'en 2001? pas sûr. D'ailleurs, Delanoé en aurait plus qu'assez de ces alliés turbulents, et préférerait nettement le Modem.
Le PCF essaye de sauver ces dernières mairies communistes. C'est d'ailleurs un grand mystère; le PCF règne sans partage dans des lieux pauvres, délabrés, où l'insécurité règne, où la situation économique stagne, et pourtant les habitants continuent de voter pour lui. Il faut dire aussi qu'une bonne partie des habitants doit être plus que sensible au discours victimaire,(s'il a brûlé la voiture, c'est parce qu'on le battait quand il était jeune et puis ce n'est pas de sa faute etc), anti fasciste, (comprendre anti FN anti MNR) et anti raciste des communistes. Egalement, on peut s'interroger sur la validité des élections das certaines villes quand aucun policier ne peut y pénétrer sans se faire lapider. Globalement, on voit que le PCF a changé de but électoral; il ne s'agit plus de faire la révolution ou détruire le capitalisme, mais de sauver ses quelques mairies qu'il mendie auprès du PS, ainsi que, ne l'oublions pas, la tête de ses deux derniers bastions départementaux: Seine Saint Denis, Val d'Oise, où le PCF peut perdre la présidence au profit du PS à l'occasion des cantonales qui se tiennent au même moment que les municipales.
Le MPF est un peu dans la même situation que le PCF; il tient un discours un chouïa moins centré, mais oublie ses beaux discours qu'il tenait à l'occasion des présidentielles, pour négocier avec l'UMP quelques places de conseillers municipaux. Prévoyant, le MPF vient de déclarer que des villiéristes pouvaient se mettre sur des listes comportant des personnalités de sensibilité de gauche. C'est à dire que le MPF, qui faisait campagne en se présentant comme 100% anti socialiste et en rupture avec l'UMPS, pourrait participer à cette ouverture. Le MPF nuance cela en expliquant par contre qu'un villiériste ne se mettrait pas sur des listes comportant des personnalités encartées PS ou PCF. Cette subtilité sémantique n'a aucune valeur et ce pour plusieurs raisons:
Parce que les personnalités de gauche participant aux listes UMP aux municipales le feront sous l'étiquette Gauche moderne ou les Progressistes. Il est évident qu'une personnalité PS se mettant sur une liste UMP sera immédiatement exclue, et donc sera non encartée.
Parce qu'une personne de gauche non encartée ne fera pas une politique moins néfaste que si elle était encartéeparce que dans une partie des villes, surtout les petites, les candidats sur les listes municipales sont de simples citoyens, parfois non militants et la plupart du temps ne sont pas encartées.
En fait, le MPF, après avoir glissé bien à droite aux dernières élections présidentielles, se rallie à Sarkozy et à l'UMP pour négocier quelques sièges, et est même prêt à collaborer avec la gauche. Il s'agit d'un véritable coup de poignard dans le dos des militants qui pensaient réellement que Villiers avait rompu avec la fausse droite sociale démocrate.
A toute chose, malheur est bon; devant le glissement idéologique de l'UMP qui trahit ses promesses pour s'allier avec la gauche, et la capitulation du MPF, la droite nationale est ainsi le seul recours crédible qui reste aux Français désireux de manifester leur refus de l'abandon d'un grand nombre de promesses de Sarkozy, ne veulent pas une cogestion de leur ville par l'UMPS et en ont assez des socialo communistes. A la droite nationale de montrer qu'elle peutr s'unir et en finir avec ses querelles de chapelle, pour proposer aux Français une véritable alternative fondée sur un projet crédible et réaliste.
mercredi 3 octobre 2007
Une cérémonie de parrainages de « sans papiers » s’est tenue à l’Assemblée nationale à l’initiative de Patrick Braouzec( photo )et de RESF. Ils ont reçu un « certificat » portant le nom de leur parrain ou marraine, des députés socialistes ou communistes.