lundi 27 août 2007

Vive la Bretagne !


Breizh ma Bro!
envoyé par DiableRouge

samedi 11 août 2007

Tourangeau papa !

Votre blog préféré va s'arrêter quelques temps. Tourangeau est en effet papa d'une jolie petite Mahaut !

A bientôt !


mardi 7 août 2007

Le FN veut faire partie du comité sur les institutions

http://today.reuters.fr édition du 7 aout 2007

PARIS (Reuters) - Jean-Marie Le Pen a loué l'efficacité de Nicolas Sarkozy depuis son accession à l'Elysée en lui demandant d'associer le Front national au comité de réflexion sur la réforme des institutions.

Prié sur RTL de dire s'il disait "bravo l'artiste", le président du FN a répondu : "C'est ça, même si je le vois un petit peu comme un illusionniste. Mais c'est un illusionniste de grand talent."

Jean-Marie Le Pen a estimé que le chef de l'Etat tenait "un certain nombre de ses promesses électorales" et qu'il tenait surtout "à son image d'omniprésence, de travailleur infatigable, sur tous les fronts."

"Et cela, c'est pour l'instant assez payant dans l'euphorie qui accompagne toujours les vacances. Il n'y a pas de sujet de contestation grave, il a passé la première phase de sa lune de miel avec, je crois, assez d'efficacité", a-t-il ajouté.

Le dirigeant du FN a annoncé qu'il allait écrire à Nicolas Sarkozy, qui tient à donner "une image de rassembleur", pour lui demander d'associer son parti au comité de réflexion sur la réforme des institutions.

"Il dit que cette commission représente tous les courants politiques et philosophiques de la Nation et je lui fais remarquer qu'il n'y a pas de représentant du Front national", a-t-il précisé.

Jean-Marie Le Pen a estimé que le député européen et universitaire Jean-Claude Martinez, par exemple, avait les compétences requises pour représenter son parti dans l'instance de réflexion confiée à Edouard Balladur.

lundi 6 août 2007

Benoît XVI salue Mgr Lustiger, héraut du dialogue avec les juifs

CITÉ DU VATICAN (Reuters) - Benoît XVI a rendu hommage au cardinal français Jean-Marie Lustiger, saluant une vie dédiée à rapprocher chrétiens et juifs.

"Homme de foi et de dialogue, il a généreusement oeuvré à promouvoir des relations toujours plus fraternelles entre les chrétiens et les juifs", déclare le souverain pontife dans un télégramme.

Fils de réfugiés polonais commerçants à Paris, le cardinal, emporté par un cancer dimanche à l'âge de 80 ans, s'était converti au catholicisme durant la Seconde Guerre mondiale, prenant le prénom de Jean-Marie. Sa mère fut déportée à Auschwitz, où elle mourut en 1943.

Il comptait parmi les proches de l'ancien pape Jean Paul II qui s'était appuyé sur lui lorsqu'il décida de faire acte de repentance pour des fautes de l'Eglise envers les juifs.
Réponse à la devinette du week-end


La question était :


Pourquoi Lionel Jospin a choisi de se faire incinérer ?


Réponse :


C'est le seul moyen qu'il ait trouvé pour remplir les urnes !

dimanche 5 août 2007

Décès du cardinal Lustiger, ancien archevêque de Paris




Le cardinal Jean-Marie Lustiger, ancien archevêque de Paris, est décédé dimanche à Paris, a-t-on appris de source gouvernementale. Il était âgé de 80 ans.

Juif converti devenu cardinal, Jean-Marie Lustiger, considéré comme un "traditionaliste moderne", comptait parmi les proches de l'ancien pape Jean Paul II et était également membre de l'Académie française.

Né le 17 septembre 1926 de parents réfugiés polonais, il s'est converti au catholicisme durant la Deuxième Guerre mondiale avant d'être ordonné prêtre en 1954, puis nommé évêque d'Orléans en 1979 et archevêque de Paris en 1981.

samedi 4 août 2007

La devinette du week-end !

Pourquoi Lionel Jospin a choisi de se faire incinérer ?


Envoyez vos réponses !

vendredi 3 août 2007

Sarkozy : les 100 jours

http://www.pourlafrance.fr/

A la veille du 15 août, alors que les Français seront loin de la politique et auront l’esprit en vacances, le premier d’entre eux verra quant à lui s’achever ses 100 premières journées à l’Elysée.

100 jours. Date fatidique à double tranchant, qui permet de tirer un premier bilan des promesses réalisées, et qui marque l’achèvement de cet « état de grâce » où tout sourit aux nouveaux gouvernants…

Depuis le 6 mai, fidèle à sa mission de vigilance à la droite de la majorité, le MPF a pu au jour le jour se réjouir de premières réformes symboliques et attendues, émettre ailleurs quelques réserves et enfin, mettre en garde le nouveau Président sur des sujets graves afin que les Français ne soient pas trahis.

Ce qu’il faut saluer, ce sont les promesses déjà tenues, celles d’une droite qui s’assume enfin, celles qu’attendaient les Français et que le MPF avait mises en avant tout au long de la campagne : il y a le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, la mise en place d’un service minimum, les peines planchers pour les délinquants, ou le « paquet fiscal », avec la réforme des droits de succession ou les heures supplémentaires défiscalisées.

A côté de ce premier bilan positif, il y a aussi les premiers signes de recul face à la gauche, malgré les promesses déclamées pendant la campagne. Le premier signe, c’est bien entendu la prétendue ouverture d’un gouvernement qui oublie totalement la droite et confie à la gauche rien de moins que la politique étrangère et européenne, d’importants rapports sur l’économie ou les institutions, sans oublier des pans entiers de notre politique sociale (à défaut d’être familiale !).

Il y a aussi toutes ces réformes qui n’iront pas jusqu’au bout : la réforme de l’école, qui abroge l’excellent décret Robien et remettra à l’honneur la méthode globale ; la réforme des universités, qui sous la pression des syndicats étudiants – ceux qui avaient déjà poussé Nicolas Sarkozy à proposer l’abandon du CPE - , se voit amputée de mesures essentielles : la sélection ne se fera plus à l’entrée en 4ème année, les syndicats étudiants pèseront plus lourd au sein des Conseils d’administration.

Il y a ces cautions données à la gauche militante, et les associations Ni putes ni soumises, Droit au Logement ou AC le feu qui se sentent comme chez eux dans les Ministères.

Mais il y a plus grave. En proposant à ses partenaires européens un « traité simplifié », Nicolas Sarkozy a bel et bien relancé l’Europe. Mais l’Europe sans les peuples, celle de la Constitution, celle des technocrates de Bruxelles, celle en un mot dont les Français ont dit qu’ils ne voulaient pas.

Dans cette Europe là, la plus grande énergie et la plus forte détermination ne peuvent rien. On le voit déjà : la TVA réduite promise aux restaurateurs ne verra le jour que plus tard, comme aux plus belles années Chirac ; le très européen ministre de l’Agriculture Michel Barnier ne peut défendre les vignerons, dont les vignes seront arrachées malgré tout, ni les pécheurs car ses anciens collègues de la Commission préfèrent progressivement « euthanasier » nos travailleurs de la mer…

A quoi bon être Président de tous les Français s’il n’y a plus de Président et s’il n’y a plus de Français ? Les élections européennes de 2009 feront office de référendum et les Français diront s’ils veulent vraiment de cette Europe là et de sa Constitution remaquillée.

Car tout le rôle du MPF est là : se tenir aux côtés de la majorité lorsque les réformes vont dans le bon sens. Mais se tenir vigilant, lorsque la souveraineté est bafouée, avec le mini traité, lorsque la famille est méprisée, avec le projet débattu à la rentrée de contrat d’union civile pour les homosexuels, ou lorsque les institutions de la République sont amputées par ceux-là même qui en sont les garants, comme on peut le craindre avec le projet de réforme constitutionnelle de la commission Balladur-Lang…

jeudi 2 août 2007

Adieu l'artiste !
Un moment culte avec Michel Serrault



Michel Serrault et Nagui au 20h en 1993
envoyé par Elbarto1808