vendredi 29 février 2008

Les électeurs de Le Pen ayant voté Sarkozy vont-ils revoter FN ?

Arnaud Folch s'interroge sur cette frange de l'électorat du Front National, qui est aujourd'hui extrêmement déçue par le gouvernement :

"l’électorat lepéniste ayant voté Sarkozy à la présidentielle regrette, plus encore que les autres, de s’être fait «berner». Retourneront-ils, pour autant, dès cette élection, au vote FN ? Pas aussi simple : d’abord parce que le FN présente moins de deux cent listes [...] ensuite parce que le scrutin municipal, le poids de ses sortants et de ses notables, n’a jamais été une «spécialité» frontiste ; enfin, et c’est le plus important, parce que le FN n’est pas «guéri» de ses échecs à la présidentielle et aux législatives. Encore en convalescence, le parti souffre de son image «brouillée» : qui est le chef au FN ? Le Pen ? Sa fille ? Gollnish (arrivé en tête lors du dernier congrès chez les militants) ? Quelle est sa vraie ligne : à droite toute ? Ni droite ni gauche ? Devenus électeurs lepéniste par quête de repères, les électeurs FN ne retrouvent plus aujourd’hui dans leur parti ces mêmes repères qu’ils réclament ailleurs. S’il veut retrouver rapidement ses scores d’autrefois (l’espace, on l’a vu, existe !) le Front ne peut faire l’économie d’une opération «clarification». C'est-à-dire avant les deux prochains scrutins : européennes en 2009, régionales en 2010. Deux scrutins symboles : c’est à l’occasion des européennes de 1984 que le FN avait réussi sa première percée nationale ; c’est à l’occasion des régionales de 1998, et de ses alliances locales, que le FN était (presque) parvenu à faire exploser la droite."

Le salon beige, Michel Janva
Marre d'être plumés ?



Front National Municipales et Cantonales 2008
envoyé par Angusthegreat
Hénin-Beaumont une ville bientôt FN



Union des Mal-Polis



Marine Le Pen propose que les élèves du CM² parrainent un héros français

édition du 27 février 2008

Marine Le Pen, vice-présidente du Front national, s’est réjouie mercredi de l’abandon de l’idée de Nicolas Sarkozy de faire parrainer par chaque écolier de CM2 un enfant victime de la Shoah.


“Je regrette que Nicolas Sarkozy lance des idées dont plusieurs sont éminemment néfastes, sans aucune concertation, en écoutant des conseillers qui n’ont aucune qualité particulière, comme Mme Mignon, en créant une espèce de sentiment anxiogène“, a-t-elle ajouté.


Mme Le Pen a suggéré “que chaque classe de CM2 parraine un héros de l’histoire de France, qu’il soit célèbre ou anonyme”, afin de “recréer une fierté à l’égard de la France”.

Alors qu’on lui demandait s’il fallait améliorer le travail de mémoire sur la Shoah, elle a mis en garde contre “une compétition entre les mémoires, au moment où il faut appuyer plus sur ce qui nous unit”.

lundi 25 février 2008

De la basilique de Saint-Denis à Mahomet

Lu sur le salon beige :


Un lecteur nous signale qu'ayant été visiter la Basilique des Rois de France avec ses enfants, il a été étonné par le livret dédié "Parcours découverte/Jeune public" :


D’une part, en page 8, «Dagobert, premier roi enterré à Saint-Denis». La première phrase du paragraphe est «Contemporain de Mahomet, Dagobert est roi des Francs de 629 à 639.»


D’autre part, en page 9, au paragraphe «Question», la première phrase est : «Dans la Bible, on raconte que l’ange Gabriel, le même qui apportera le Coran à Mahomet, vint un jour annoncer à Marie, une jeune fille fiancée à Joseph, qu’elle aurait bientôt un fils du nom de Jésus».


Le livret ne se termine pas (encore) par "la mosquée de Saint-Denis fut il y a bien longtemps, la basilique des rois de France".
La messe en latin fait le plein

Source : le Parisien


Juste derrière le Louvre, l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des rois, accueille désormais toute les semaines des messes en latin. Une pratique de nouveau autorisée par le pape Benoît XVI.


Un curé qui tourne le dos à l'assemblée et récite des textes en latin, de grands mouvements d'encensoir qui répandent de la fumée dans toute l'église, des chants grégoriens, un cortège d'enfants de choeur... Les messes en latin, qui n'étaient plus célébrées que dans trois églises de la capitale - Saint-Eugène-Sainte-Cécile (IXe), Notre-Dame-du-Lys (XVe) et Sainte-Odile (XVIIe) - refont surface. Depuis le 2 décembre, cette messe, dite « de rite ancien » ou « tridentin », s'est installée tous les jours sauf le samedi dans l'une des plus belles églises de Paris : Saint-Germain-l'Auxerrois, située juste en face du Louvre, et qui fut en son temps la paroisse des rois de France.

Une avancée pour les traditionalistes permise par la décision du pape Benoît XVI de réintroduire cette messe dans les églises. Tous les dimanches, ils sont environ 300 fidèles à y assister, venus des quatre coins de la capitale et même d'Ile-de-France.

« Dès les premiers jours, il y a eu beaucoup de monde, témoigne le père Dominic Schubert, le curé de la paroisse, qui célèbre la messe selon les deux rites. C'est vrai que j'ai été un peu étonné : je ne m'attendais pas à voir autant de fidèles dès le début. »

Toutes les chaises ou presque sont remplies. Au premier rang, une petite fille en uniforme de scout tient le drapeau de son groupe. Ses parents, entourés de leurs trois autres enfants, l'observent d'un oeil attendri. Non loin, deux jeunes filles en jupe et chaussures vernies alternent position assise et agenouillée.

« Aimer cette liturgie sans être considérés comme des extrémistes »

« Cette forme de messe nous permet d'avoir un meilleur accès au sacré, sourient Laurence et Franck, habitants du Ve arrondissement qui viennent ici tous les dimanches avec leurs trois enfants depuis début décembre. Avant, nous allions à Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Maintenant, nous pouvons vivre notre foi, aimer cette liturgie, sans être considérés comme des extrémistes. » « Je ne suis pas surpris qu'il y ait tant de monde, se réjouit Henri, Parisien d'une trentaine d'années, venu lui aussi avec sa petite famille. Beaucoup de gens ne connaissent pas cette liturgie. Mais s'il y avait une messe dite selon le rite ancien dans chaque paroisse, on serait étonné de voir l'affluence ! » Pour l'instant, au diocèse, ce n'est pas programmé...

Nouvelle manifestation pour le Kosovo Serbe



dimanche 24 février 2008

Quand Super Sarko s'énerve !

Nicolas Sarkozy a inauguré, samedi 23 février à Paris, le Salon de l’agriculture. Il saluait tout le monde et tout d’un coup, dérapage de M. le Président, Nicolas Sarkozy essaye de serrer la main à une personne, qui lui répond : “touche moi pas… tu me salie”. Sarkozy lui répond : ”Casse toi alors pauvre con”…

vendredi 22 février 2008

Bienvenue chez les ch'tis !


Merci à Dany Boon pour nous avoir inspiré cette parodie !


Voilà ce qui nous attend !



lundi 18 février 2008

La Serbie promet une lutte pacifique de longue haleine

édition du 17 février 2008BELGRADE (Reuters) -

Les autorités de Serbie se sont engagées dimanche à mener une résistance pacifique de longue haleine après la proclamation de l'indépendance du Kosovo, mais des incidents ont éclaté dans Belgrade et à Mitrovica, bastion serbe du nord du territoire.Dans la capitale serbe, quelque 2.000 jeunes gens se sont attroupés devant l'ambassade des Etats-Unis pour laisser cours à leur colère contre le soutien américain à l'indépendance. "Le Kosovo est le coeur de la Serbie", ont-ils scandé. Certains manifestants, qui entonnaient des chants patriotiques, ont réussi à briser des vitres de l'ambassade, dont toutes les lumières étaient éteintes.

"Tuez-les et pendez-les jusqu'à ce qu'il ne reste plus un seul Albanais", ont hurlé certains d'entre eux.

Un demi-millier de policiers en tenue anti-émeutes qui protégeaient la mission diplomatique ont chargé pour les disperser. Plusieurs policiers et manifestants ont été blessés.

A Mitrovica, deuxième ville du Kosovo, dans le nord du territoire, où vit une importante communauté serbe . Des bâtiments de l'Union européenne et des Nations unies ont été la cible de jets de grenades. L'une d'entre elles a explosé sans provoquer de dégâts majeurs.

Les forces françaises de la KFOR ont préparé des barrages de blocs de béton et de barbelés pour fermer en cas d'affrontements les ponts reliant par-dessus la rivière Ibar les quartiers serbe et albanophone de Mitrovica.

Dans les quartiers nord de la ville, bastion serbe, des adversaires de l'indépendance ont déployé leurs drapeaux aux feux de signalisation. "Nous verrons ce qui se passe cette nuit. Il y aura des tas de gens armés ici", a prédit un Serbe en sortant une grenade de sa poche.

Les agences de presse locales font également état de protestations à Novi Sad, dans le nord de la Serbie, et à Banja Luka, capitale de l'entité serbe de Bosnie-Herzégovine dont certains dirigeants ont annoncé qu'ils pourraient s'inspirer de l'exemple kosovar pour faire scission du reste de la Bosnie.

"TANT QUE LE PEUPLE SERBE EXISTERA"

En Serbie, la classe politique a été unie dans l'expression de sa colère après le vote du parlement de Pristina mais a envoyé des signaux bien différents sur la façon dont l'indépendance du Kosovo influencerait les relations entre Belgrade et les Occidentaux.

Dans une allocution télévisée quelques minutes à peine après la proclamation de l'indépendance, le Premier ministre Vojislav Kostunica a dénoncé le soutien apporté par les Etats-Unis et l'Union européenne à la sécession d'une province que les Serbes considèrent comme leur berceau historique et religieux.

"Tant que le peuple serbe existera, le Kosovo sera la Serbie", a-t-il dit. "La proclamation de cet Etat artificiel sous la tutelle des Etats-Unis et de l'UE est le dernier acte d'une politique de force qui a débuté par le bombardement insensé de la Serbie (ndlr, en 1999) et s'est poursuivie avec l'arrivée de troupes de l'Otan au Kosovo", a-t-il ajouté.

Le président Boris Tadic, pro-occidental, a appelé lui au calme. "La Serbie, a-t-il réagi dans un communiqué, ne reconnaîtra jamais l'indépendance du Kosovo mais vivra cela pacifiquement et dignement." "La Serbie s'obstinera et défendra ses intérêts ainsi que le droit international, quel que soit le temps que cela prendra", a poursuivi Tadic.

Le président serbe s'est ensuite envolé pour New York où il assistera lundi à une session du Conseil de sécurité de l'Onu. Son ministre des Affaires étrangères, Vuk Jeremic, est attendu lui à Bruxelles pour y rencontrer ses homologues de l'UE.

Si Tadic souhaite distinguer la question kosovare du rapprochement amorcé avec l'UE, Kostunica insiste lui pour lier les deux dossiers.

"Tant qu'il y aura des Serbes, nous continuerons de nous battre pour le Kosovo", a prévenu de son côté Tomislav Nikolic, le dirigeant nationaliste du Parti radical serbe (SRS) battu au second tour de la présidentielle par Tadic, le 3 février.

La réaction la plus extrême est venue de l'évêque orthodoxe du Kosovo, Artemije, qui a reproché aux forces armées serbes de ne rien faire. "La déclaration du chef d'état-major, le général Zdravko Ponos, selon laquelle le Kosovo ne sera pas défendu par l'armée est une honte", a-t-il dit au quotidien Glas Javnosti. "La Serbie devrait acheter à la Russie et à d'autres pays des armes dernier cri et demander à la Russie d'envoyer des volontaires et d'établir une présence militaire en Serbie."
Le Kosovo « indépendant » ?


Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 18 février 2008

Avec la bénédiction de l’Union européenne sous influence américaine, les dirigeants du Kosovo ont proclamé l’indépendance de cette province serbe, en violation du droit international.

En dehors de l’injustice majeure que représente cette décision illégale et illégitime, tout le monde sait que le Kosovo indépendant n’est pas viable.

Ce « pays » ne peut survivre qu’en mendiant de la main droite des subsides à l’Union européenne, et en récoltant de la main gauche les profits des trafics mafieux dont il est une importante plaque tournante.

Le Kosovo indépendant sera un sanctuaire du crime organisé, au cœur de l’Europe, et en outre une base (al Qaïda, en arabe) pour l’islamisation du continent. Le tout subventionné par les citoyens européens.

Toute reconnaissance de cette indépendance sera une faute historique aux conséquences incommensurables.

dimanche 17 février 2008

Dix bonnes raisons de punir l’UMP aux prochaines élections

Article de Kreuzer publié le 15 février 2008

D’ici quelques semaines auront lieu les élections municipale et cantonale. Bien que ces élections aient avant tout un caractère local, bien que la plupart des électeurs voteront en fonction d’intérêts locaux, il convient néanmoins de ne pas mettre totalement de côté certaines questions relevant du domaine national. Au début du mois dernier, Nicolas Sarkozy avait entrouvert une brèche en évoquant l’idée de politiser ces élections municipales. Même si depuis il s’est ravisé (forte baisse de sondage le concernant), il serait vraiment dommage pour les électeurs patriotes de ne pas entrer dans ce jeu de politisation des municipales.

Cela va bientôt faire un an que Sarkozy est au pouvoir, un an d’inaction ou plutôt un an d’action en faveur de l’anti-France. Plus que jamais, les électeurs patriotes doivent se mobiliser en mars prochain afin de punir comme il se doit Nicolas Sarkozy et l’UMP d’une manière plus générale.
Voici dix bonnes raisons pour punir l’UMP aux élections cantonale et municipale :

- Nicolas Sarkozy et l’UMP veulent pratiquer l’ethnocide de la civilisation française et européenne en souhaitant inscrire dans la Constitution le caractère multiethnique de notre pays (la fameuse France de la « diversité).

- Nicolas Sarkozy et l’UMP ont fait un doigt d’honneur au peuple français en ratifiant la Constitution européenne bis, Constitution européenne bis appelée également « mini-traité européen ».

- Nicolas Sarkozy et l’UMP sont contre l’introduction d’une dose de proportionnelle aux élections législatives. Cela est d’autant plus choquant que Sarkozy avait promis une dose de proportionnelle lors de la campagne des présidentielles (c’est bien connu, les promesses n’engagent que ceux qui y croient…).

- Nicolas Sarkozy et l’UMP veulent instaurer la préférence étrangère en institutionnalisant le principe de « discrimination positive ».

- Nicolas Sarkozy et l’UMP veulent faire de la France un pays soumis à la politique de Washington.- Nicolas Sarkozy est marié à Carla Bruni, une femme qui considère les français comme des « minables » ! A moins d’être maso, quel intérêt pour le citoyen français de voter pour un parti dont le président est marié à une femme qui crache sur les français ?

- L’UMP et Nicolas Sarkozy n’ont rien fait pour augmenter le pouvoir d’achat des français, il s’agit là d’un énième reniement par rapport à leurs engagements de campagne. Cela étant, cela n’a pas empêché Nicolas Sarkozy d’augmenter son salaire de 120% !

- Votez à droite…comme ça vous aurez des ministres de gauche…voilà ce qui c’est passé l’année dernière. La majorité des électeurs français ont voté pour l’UMP en pensant avoir une vraie politique de droite. Au final, non seulement ils n’ont pas une vraie politique de droite mais en plus ils ont un gouvernement avec des ministres de gauche (Kouchner, Jouyet, Besson, Amara).

- La plupart des candidats UMP aux élections municipales militent pour la construction de mosquées. Cela est le cas à Bordeaux, Marseille, Nice, Strasbourg etc…Au final, c’est un candidat UMP sur deux (dans les communes de plus de 30 000 habitants) qui est favorable à l’islamisation de sa ville. A moins d’être islamophile ou islamiste, comment un électeur patriote peut-il soutenir de telles initiatives ?


- Si l’UMP perd aux élections cantonale et municipales, ce serait non seulement attrister Nicolas Sarkozy, mais ce serait surtout gifler tous les grands lobbys de la finance et des médias. Imaginez un peu la tête de PPDA au JT de 20 heures annonçant une déculottée pour l’UMP, imaginez la tristesse de Laurence Parisot et du Medef, imaginez l’embarras des « peoples » (Hallyday, Clavier, Reno, Macias, Arthur etc…) …

Bref, il y a tout un tas de bonnes raisons pour punir l’UMP aux prochaines élections cantonale et municipale. Pour cela, il convient tout d’abord de voter massivement pour la droite nationale (FN, MNR et Identitaires) tant aux cantonales qu’aux municipales. Ensuite, si la droite nationale n’est plus en lisse lors des seconds tours, il faut alors porter le coup fatal à l’UMP en votant sans aucune hésitation pour la gauche (excepté si celle-ci est représentée par un(e) candidat(e) communiste ou communautariste, dans ce cas là l’abstention ou le vote blanc est recommandé).

Mettons tout en œuvre pour que les prochaines élections soient synonyme de cauchemar pour l’UMP et Nicolas Sarkozy !
Caricature du prophète : c'est reparti !



Rassemblement contre l'indépendance du Kosovo



Non à l’indépendance du Kosovo !
Non à l’islamisation de l’Europe !

Rassemblement
Place Gutenberg à Strasbourg,
Samedi 23 février à 15 h 00

Venez NOMBREUX et faites venir vos amis.

vendredi 15 février 2008

Vu dans le magazine Point de Vue : "Un bébé à l’Elysée ?"


Un Parlement de demeurés

Paul-Marie Coûteaux raconte une anecdote du Parlement européen :

"on examinait un texte à l'initiative de la commission d'ailleurs, réformant le droit d'asile. Sur un point précis, faisant bénéficier le droit d'asile aux concubins. C'est à dire un type vient d'un pays africain, ou asiatique bénéficie du droit d'asile et veut en faire bénéficier un copine avec qui il a vécu dans tel ou tel autre pays. Ce qui est d'ailleurs invérifiable. Et un amendement de verts était simplet : y compris concubin du même sexe, évidemment on avait oublié ce cas de figure. J'ai trouvé ça tellement cornichon, évidemment j'ai voté contre : comment vérifier que monsieur untel a vécu en bonne et due forme avec monsieur untel… C'était tellement évident que je me suis dit que là, ils ne vont pas laisser passer ça. Eh bien pas du tout, il y a eu 27 contre et 624 pour. Pour cet amendement cornichon ! J'étais stupéfait ! J 'ai regardé mon tableau de vote, je me suis dit, je suis vraiment au milieu de demeurés !"

Bienvenue en UE.

Source : le salon beige
Elections municipales et cantonales de mars

Article de Bernard Antony publié le 15 février 2008


- Aucune voix de chrétien, aucune voix de patriote ne peut être accordée aux députés et sénateurs candidats à ces élections qui ont voté le traité de culture de mort et d’abdication française de Lisbonne ou aux candidats qui s’en déclareraient partisans.

- Aucune voix ne peut aller à des candidats qui manifesteraient leur accord avec la politique gouvernementale de la ville fondée sur la discrimination antifrançaise.

- Aucune voix ne peut se porter sur des candidats qui déclareraient vouloir faciliter l’implantation de mosquées, faisant semblant d’ignorer que ces édifices ne sont pas principalement des lieux de culte, mais d’implantation de l’ordre social islamique.

- Aucune voix ne peut être accordée à des candidats qui manifesteraient leur accord avec l’actuelle législation de culture de mort et leur acceptation du prosélytisme homosexuel dans les établissements scolaires.

- Aucune voix enfin ne saurait se porter sur des candidats qui entendraient maintenir des plaques de rue honorant comme à Saint-Ouen des traîtres à la patrie et des collaborateurs du terrorisme antifrançais en Algérie.Au fur et à mesure des informations dont je disposerai, j’appellerai mes amis à voter pour certains et à s’employer à en faire battre d’autres particulièrement nocifs.

J’invite d’ores et déjà à voter à Paris pour les listes présentées par Martial Bild, à Versailles pour celle d’Henry de Lesquen, à Tourcoing pour celle de Christian Baeckeroot.

J’invite à voter à Orange pour Jacques Bompard et à Bollène pour Marie-Claude Bompard ; à Camaret pour Philippe de Beauregard ; à Strasbourg pour Robert Spieler et à Mulhouse pour Patrick Binder.

J’invite à voter à Bordeaux pour Jacques Colombier.

J’appelle à faire échec à Tours à Mr Donnadieu de Vabres, ancien calamiteux ministre de la culture, actif souteneur masochiste de l’ignoble spectacle « Crying body », pornographique et blasphématoire, au Théatre de la Ville.

Je demande de ne pas voter à Marseille pour Mr Jean-Claude Gaudin responsable de la décision de construction de la grande mosquée.

mercredi 13 février 2008

Mort du chanteur Henri Salvador

RIP

lundi 11 février 2008

Bonne affiche



Une honteuse tentative de diversion

Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 11 février 2008


Face au flop retentissant de son plan banlieue et au grotesque vaudeville de Neuilly, le président de la République a tenté hier soir de détourner l’attention en se prévalant du « succès » que serait son « traité simplifié ».

Mais en alignant une fois de plus les contre-vérités sur ce traité, qui n’est ni mini, ni simplifié, ni de lui, puisqu’il est la copie conforme de la Constitution européenne, Nicolas Sarkozy a seulement souligné qu’il a trompé les Français.

Le plus grave demeure qu’il a trahi la France, avec la complicité d’une représentation nationale qui a illégitimement disposé de la souveraineté de la nation.

« Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. »

vendredi 8 février 2008

Commémoration



Tous les taxis dans le FILLON

Source : tropicalboy

A 1 mois des municipales, pas de vagues ! Devant l'ampleur des manifestations ( blocage de Paris, de l'aéroport de Roissy...) les chauffeurs de taxis ont donc contraint le 1er ministre a baisser son pantalon, en promettant de retirer le "projet Attali"...


mercredi 6 février 2008

magic sarko


Après le tour de la présidentielle, le tour de la municipale...




Un ancêtre commun mutant à l'origine des yeux bleus

Selon une récente étude danoise, toutes les personnes qui ont aujourd'hui les yeux bleus descendent d'un aïeul commun. Un ancêtre ayant vécu il y a 10.000 ans près de la Mer Noire.

Le professeur Hans Eiberg et son équipe, liés à l'université de Copenhague, ont étudié les données génétiques de la couleur des yeux d'environ 800 personnes de tous horizons, de Scandinaves blonds aux yeux bleus aux habitants de pays tels que la Turquie ou la Jordanie.

La même infime mutation

Ils ont découvert que 99,5% des cobayes aux yeux bleus disposent, au niveau de leur ADN, de la même infime mutation déterminant la couleur de l'iris. Cela indique que la mutation provient d'une seule et même personne, ancêtre de quasiment toutes les personnes aux yeux bleus.

Les scientifiques ne peuvent pas déterminer avec précision quand cette mutation a eu lieu mais ils estiment que le phénomène remonte probablement à environ 10.000 ans, lors de la rapide expansion de la population en Europe suite au développement de l'agriculture au Moyen-Orient.

Que des yeux bruns à l’origine

"Les mutations responsables de la couleur bleue des yeux sont plus que probablement originaires de la partie nord-occidentale de la région de la Mer Noire", expliquent les chercheurs dans le journal Human Genetics.

Selon le professeur Eiberg, "à l'origine, nous avions tous les yeux bruns. Mais une mutation génétique touchant le gène OCA2 dans nos chromosomes a provoqué la création d'un 'interrupteur' qui a littéralement éteint la possibilité de produire des yeux bruns".

mardi 5 février 2008

Trahison à Versailles

Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 4 février 2008

Une nouvelle fois, le château de Versailles, symbole de la souveraineté et de la grandeur de la France, est le théâtre d’une trahison de la nation. En 2005, les députés et sénateurs avaient modifié la Constitution pour qu’elle puisse être compatible avec la Constitution européenne.

Or le peuple français avait ensuite rejeté ce texte. Les députés et les sénateurs récidivent aujourd’hui, comme si les Français ne s’étaient pas exprimés. Ce que le peuple a refusé en 2005, les représentants de peuple l’imposent en 2008.

Cette forfaiture disqualifie la représentation nationale. C’est ce que nous dirons, haut et fort, mercredi, à 12h 30, face à l’Assemblée nationale.

samedi 2 février 2008

Nicolas Sarkozy épouse à l'Elysée l'ex top-model Carla Bruni


Le président Nicolas Sarkozy a épousé samedi à l'Elysée l'ex top-model Carla Bruni , marquant une nouvelle fois sa "rupture" avec ses prédécesseurs, et mettant fin aux rumeurs qui faisaient les délices de la presse people sur cette union.

Premier président à s'être marié en cours de mandat depuis Paul Doumergue en 1931, premier aussi de la Vème République à épouser une star du show-biz, Nicolas Sarkozy, dont c'est le troisième mariage, a pourtant choisi la tradition et la plus grande discrétion pour officialiser cette union.

Le chef de l'Etat, 53 ans, a comme des milliers et des milliers d'autres nouveaux époux échangé les alliances et conclu la cérémonie par la "traditionnelle bise" avec la mariée, 40 ans, de blanc vêtue.

Un "petit jus d'orange" a suivi, a raconté à l'AFP le maire du VIIIème, François Lebel, qui a procédé au mariage.

"Le mariage a eu lieu à 11H00, en présence des parents, des proches et des invités. La mariée était en blanc et le président en costume cravate comme il se doit dans n'importe quel mariage civil (...) Elle était ravissante, comme d'habitude", a-t-il précisé.

Et les nouveaux mariés étaient "émus et amoureux".

Seule différence -mais de taille- avec des Français ordinaires : le mariage a eu lieu à l'Elysée.

"Il n'y a rien d'exceptionnel, si ce n'est que ça s'est passé au premier étage de l'Elysée", a-t-il insisté.

"Je n'ai pas été choisi, le président de la République étant domicilié 55 rue du Faubourg Saint-Honoré et étant électeur dans le VIIIème, il était normal que ce soit le maire de son domicile qui procède au mariage", a-t-il expliqué.

Le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, interrogé sur cette union, a opposé un "pas de commentaire" comme il le fait depuis plusieurs semaines concernant la vie privée du chef de l'Etat, accusé de mettre en scène sa vie privée par ses détracteurs.

"Les époux et les témoins ont signé des actes qui sont désormais, c'est historique, dans le Livre d'état-civil de la mairie du VIIIème", a encore expliqué fièrement le maire d'arrondissement.

Il s'agit du troisième mariage du président, qui a été le premier divorcé élu à l'Elysée. Il a eu deux enfants de son premier mariage et un fils avec son ex-épouse Cécilia Ciganer-Albeniz, dont il avait divorcé en octobre, après onze ans d'un mariage passionnel.

M. Sarkozy s'était affiché depuis décembre en compagnie de l'ex-top model devenue chanteuse, l'emmenant par deux fois pour des vacances très médiatisées, en Egypte puis en Jordanie. Elle n'avait toutefois pas pu l'accompagner en visite officielle en Inde pour des raison de protocole, un obstacle que ce mariage va lever.

L'étalage de la vie privée du président, explique en partie selon les analystes la baisse sensible et continue, ces dernières semaines, de sa cote dans les sondages, sa popularité étant passée dans le négatif.

S'efforçant de couper court aux rumeurs de mariage secret ou de voyage de noces en Italie, M. Sarkozy avait expliqué le 8 janvier, qu'"avec Carla c'est du sérieux", prévenant les journalistes qu'ils n'apprendraient son mariage "que quand se sera déjà fait".

Finalement, c'est la radio RTL qui a la première révélé l'information à la mi-journée, moins de deux heures après la cérémonie, citant "des témoins".

Témoins peu nombreux puisque même Isabelle Balkany, l'épouse du maire de Levallois (Hauts de Seine), l'un et l'autre très proches de Nicolas Sarkozy, n'était pas là.

"C'est certainement dommage pour ceux qui les aiment mais avec la pression médiatique qu'il y a eu, ils ont dû faire ça dans la plus +strictissimme+ intimité", a-t-elle expliqué.

"S'il y avait eu des invités et une réception, je vois déjà certains de vos confrères l'accuser d'instrumentaliser son mariage. Je n'arrête pas d'entendre cette accusation débile" sur sa vie privée, a-t-elle ajouté.

vendredi 1 février 2008

Nouvel an chinois : le Sarkoroscope 2008