samedi 31 mars 2007

Le PS veut le retour de la police de proximité
Les patriotes vont encore faire mieux !



Exclusif
Pro Gallia a retrouvé le fauteur de troubles de la gare du Nord !

Il s'agirait d'un certain Jacques C. !

Le jeune Jean-Marie

vendredi 30 mars 2007

Rendez-vous

Le Pen Président 2007 : le clip de campagne


Clip de la campagne presidentielle 2007
envoyé par fn51
Au secours !


Mettez votre patch anti-Ségo !

mercredi 28 mars 2007

Elle est pas belle la France !

Encore de quoi justifier le choix de notre bulletin de vote!


RER gare du nord EMEUTE
envoyé par jacquoth
Identité nationale : clarifions le débat !


Article de Bernard Antony publié le 27 mars 2007


Dans le choc actuel des démagogies électoralistes, la notion d’identité nationale invoquée dans la confuse mêlée des manœuvres et des slogans, plus que dans un véritable débat d’idées, perd en compréhension ce qu’elle gagne en extension.


Comme celle d’un individu dont la photo d’identité à un moment de sa vie reflète l’évolution depuis la naissance, l’identité actuelle d’une nation résulte d’une histoire depuis sa conception, des facteurs humains, religieux, culturels, politiques qui l’ont modelée et par lesquels elle s’est durablement fixée.


La France est originellement la continuatrice de la civilisation gallo-romaine. Elle résulte de l’alchimie réussie au sein de cette dernière de diverses populations européennes, latines, celtes et germaniques, basques et ibères.


Le baptême de Clovis en 496 a remarquablement marqué et symbolisé tous les facteurs constitutifs de son identité pendant des siècles.


Le germanique Clovis, de la tribu des Francs saliens, a été sacré roi selon des formes et une tradition d’essence biblique, symbolisée par les gestes judéo-chrétien de l’onction davidique par l’huile sainte, et celle du baptême dont s’inspire le sacre.


Dans sa soumission spirituelle à Saint Rémi, modèle des grands évêques défenseurs des cités face aux déferlements barbares, Clovis accomplit l’acte fondamental de l’intégration décisive de la France, « fille aînée de l’Eglise » dans la chrétienté. En sollicitant et obtenant de l’empereur de Byzance sa désignation au titre de consul, il manifeste sa volonté de tenir le fil de la continuité du sens romain de l’Etat.


La France va alors peu à peu se former dans ses éléments constitutifs fondamentaux tels qu’énoncés dans les réflexions sur la civilisation de Paul Valéry, une nation européenne au sein de ce petit cap de l’Asie qu’est l’Europe, principalement façonnée par la religion chrétienne, la raison grecque, le droit romain. Ceci bien sûr n’amène pas à oublier d’autres facteurs et apports de moindre importance.


Athènes, Rome et Jérusalem sont ainsi les noms des trois racines essentielles, religieuses, morales, culturelles, politiques de notre civilisation et de l’identité française. Celle-ci, comme en témoignent encore les cathédrales, églises et monastères, fut principalement pendant des siècles une identité chrétienne. La fleur de lys, symbole de pureté dans la Bible et symbole marial, est celle du drapeau de la royauté, les trois fleurs symbolisant la Sainte Trinité.


Mais le drapeau tricolore aussi vient du plus loin de notre mémoire : avec le bleu azur du ciel, couleur de Saint Martin le patron de la Gaule et aussi celle des Mérovingiens et des Carolingiens ; avec le rouge, couleur de Saint Denis patron de Paris et aussi celle des capétiens ; avec le blanc qui fut la couleur des huguenots et donc du panache d’Henri IV, et devint par la suite celle du commandement de nos armées.


La langue française enfin, à peu près fixée dès le XVème siècle, et devenue langue nationale au XVIème, puis rayonnant trois siècles durant dans une universalité que l’on célébrait au XVIIIème avec le célèbre concours ouvert à la cour du roi de Prusse, a été, sans préjudice nécessaire pour nos parlers régionaux, l’élément véhiculaire le plus essentiel de notre identité française. Etre français, c’est en effet d’abord parler le français.


Dans les cinquante dernières années surtout, l’identité française a été l’objet d’une telle conjonction de facteurs d’évolution et de modifications que l’observation de la possibilité d’un changement radical d’identité, voire de la fin d’une identité dans un processus de génocide par substitution se pose.


La langue française se porte mal ; la France est déchristianisée ; son Etat dépérit tandis que pullulent les administrations ; sa capacité d’intégration n’est plus au niveau de ce qu’elle doit absorber d’immigration et surtout en considération du fort potentiel différentialiste de cette immigration, et notamment de l’importance des populations marquées par l’appartenance au code de vie de l’umma islamique.


Les politiciens parlent aujourd’hui d’autant plus de l’identité nationale que celle-ci perd de plus en plus rapidement, depuis cinquante ans, ses caractéristiques essentielles.


A la boursouflure du mot correspond l’atrophie de la réalité. Et la vérité c’est que tous les partis politiques du système ont plus ou moins contribué à l’assassinat de cette identité pour des raisons de haine religieuse ou idéologique. Ils n’osent plus naturellement défendre ce qu’il y a encore peu de temps, Frédéric Mistral et Charles Péguy appelaient l’un « la race latine » et l’autre « la race française », tout comme le faisaient un Jules Ferry, un Jaurès et un Léon Blum. En un mot, la race au sens biblique et non au sens nazi.


La race française dont le mulâtre Alexandre Dumas est un illustrateur génial. Ce n’était pas en effet l’héritage héréditaire, et tout aussi respectable qu’un autre, de nos racines ethniques mais ce que l’on peut appeler « l’esprit français ».


Ils ne veulent plus reconnaître cet esprit français (comme il y un esprit anglais, russe ou japonais), c'est-à-dire une certaine manière de vivre, d’aimer, de rire, de chanter, de mourir que marque toute une immense littérature et toute une culture de Charles d’Orléans à Rimbaud, de Villon aux grands acteurs du cinéma français avec Arletty, Louis Jouvet, Pierre Fresnay, Gérard Philippe, etc…


Toute reconnaissance de la spécificité française leur fait horreur en dehors de celle, certes respectable, de nos vins et fromages, mais celle-là, on peut la défendre sans trop de risques d’accusation du Big brother antiraciste.


Moins encore ils veulent reconnaître et défendre non seulement les racines mais surtout les valeurs chrétiennes éternelles qui, implicitement ou explicitement, ont modelé fortement cet esprit français. L’immense patrimoine des milliers de beautés architecturales, musicales ou littéraires de la spiritualité chrétienne selon le génie français, de Notre Dame de Paris et de ses orgues aux chapelles romanes des Pyrénées et aux chorales d’Alsace n’est plus pour eux, au mieux que fond de musée.


Une immense subversion nihiliste dans la culture, et par ce qu’ils appellent la culture, a ainsi été menée aussi bien par l’équipe Chirac-Douste-Blazy-Donnadieu de Vabres que par Jack Lang. Tout a été fait pour ne pas transmettre Ronsard et Molière aux jeunes Français et à ceux qui auraient pu le devenir.


A la langue de Stendhal et de Proust, on substitue non pas bien sûr l’anglais du grand Shakespeare mais le « fastfoude » de l’idiome cosmopolite, le parler macdonald mélé des onomatopées de la sauvagerie du « verlan ».


N’évoquons pas ici longuement l’abandon politique du principe de souveraineté à maintenir dans la recherche de l’harmonie des nations européennes. L’Etat n’est plus désormais qu’agent d’exécution des objectifs, planifications et décisions de la souveraineté des instances internationalistes.


Alors, comme le peuple français, malgré la constante de l’abrutissement médiatique, sent encore plus ou moins confusément, qu’on le dépossède de son être et renâcle, Dame Ségolène et Sire Nicolas et les autres, plus ou moins, déversent leurs flacons de poudre de perlinpinpin identitairement falsifiée et permettent aux descendants des enfants de la patrie d’agiter les drapeaux et de clamer leur désir de voir un sang impur abreuver les sillons. A vrai dire, cela ne mange pas de pain. Surtout, ils célèbrent tous la France comme étant la patrie révolutionnaire des droits de l’homme. Pour eux, après Jean-Jacques Rousseau et les Jacobins, la nation « c’est la fraction consciente et organisée de la révolution », celle qui exprime « la volonté générale ». Mais qui observe avec Jean Madiran que les droits de l’homme c’est théoriquement fait pour tous les hommes dans l’humanité qu’ils partagent ?


Bien d’autres nations, des Etats-Unis à Israël, de la Suisse à l’Afrique du Sud se proclament patrie des droits de l’homme !


Ce n’est pas sur cela que l’on fonde une identité ! Certes, il y a « identique » dans identité et toute photo d’une personne reflète ce qu’elle partage avec tous les autres hommes et qui distingue à l’évidence l’homme des autres animaux. Mais cette photo révèle aussi ce qui heureusement la différencie, ce qui fait son identité particulière.


L’identité française ce n’est donc pas le fait de l’appartenance des Français à l’espèce humaine et à la dignité qu’elle mérite !


L’identité est ce qui distingue culturellement la communauté de destin français des autres communautés humaines, c’est le résultat d’une histoire, de la volonté politique qui présida à la fabrication de la France, c’est une foi religieuse longtemps partagée, c’est la formation et la continuation d’un peuple avec ses parlers régionaux et sa langue longtemps facteur d’universalité, ce sont cinquante mille clochers et trente-six mille communes et monuments aux morts.


Ce sont des milliers de statues de Jeanne d’Arc qui fut, certes, l’héroïne de la patrie française, simultanément formée et menacée mais qui fut héroïne parce que sainte. Comment oser invoquer le modèle de sainte Jeanne d’Arc en oubliant qu’elle était d’abord habitée par Dieu, par la foi dans le Christ, par l’amour de sa patrie voulue par le ciel, en méprisant voire en piétinant l’exemple qu’elle donnait, les valeurs qu’elle incarnait ?


L’identité française est aujourd’hui menacée fondamentalement par deux facteurs.Le premier est celui de l’oubli, du refus même, des valeurs spirituelles, culturelles, humaines sur lesquelles a vécu séculairement notre peuple. Cela s’appelle une décadence.


Le second est celui de l’implantation massive d’un autre ensemble à la fois religieux, culturel, sociologique, avec d’autres références, avec une autre mémoire que la française jusqu’à ce jour, une autre capitale fondatrice que Jérusalem-Rome et Athènes : La Mecque.


Que des musulmans aient pu jadis, tel le grand Bachaga Boualem, se sentir, se vouloir français est une évidence. Lui-même admirait la chrétienté et ses valeurs. La bonne question à poser aux musulmans qui affirment vouloir s’intégrer dans la communauté française est donc celle-là : reconnaissez-vous, comme la vôtre, l’histoire de France ? Acceptez-vous que vos enfants aient pour héros Charles Martel et Charlemagne et Jeanne d’Arc et aussi le Bachaga Boualem qui voulut en effet pour les siens les droits des Français au prix des devoirs et des sacrifices?


L’identité nationale, ce n’est pas seulement un passeport, une carte d’identité, c’est l’acceptation de fusionner sa propre identité dans une séculaire communauté de vouloir vivre ensemble dans une nation qui a commencé, il y a bien longtemps, avec Vercingétorix, Sainte Blandine et Sainte Geneviève de Paris.
SNCF : bienvenue en gare !


Source : Vox FN

mardi 27 mars 2007

Toujours plus fort !

Personne ne lui a dit au José que les sans papiers n’avaient, par définition, pas de cartes d’électeur …?

(José Bové lors d'une réunion publique, le 23 mars 2007 à Mantes-la-Jolie).



Démagogie
envoyé par Mazovie

Source : culturalgangbang
Pascale Coke

On connaissait la question de Thierry Ranx Xerox Ardisson “est ce que sucer c’est tromper ?”. On connaissait la question « sous marin » de Jean-Jacques Bourdin (qui doit secrètement espérer l’élection de Jean-Marie Lepen après avoir ridiculisé Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy). Désormais il faudra compter sur la nouvelle question made in Pascale Clark spéciale candidat "vous prenez de la cocaïne ?".

Et toi Pascale, tu as déjà vu des gens prendre de la cocaïne ??

Source : culturalgangbang
Sous les pavés de la gare du Nord

D'après les médias des affrontements ont eu lieu cet après midi dans la capitale après qu'un individu qui n'avait pas de titre de transport sur lui ait asséné un coup de tête au contrôleur de la RATP qui ne faisait là que son travail. L'individu a été interpellé par une patrouille de gendarmes qui était sur place. Cette arrestation n'aurait alors pas plu à quelques dizaines de personnes qui ont rapidement rameutés de leurs amis et ont commencé à s'en prendre aux forces de l'ordre. Les policiers appelés en renfort ont alors subis un harcellement en règle, avec des jets de divers projectiles. Les incidents " très violents " ( TF1 ) se poursuivent sporadiquement.


Bientôt le mois de mai...


Source : Vox FN

dimanche 25 mars 2007

Aujourd'hui, l'Annonciation

- L'Ange du Seigneur porta l'Annonce à Marie et elle conçut du Saint Esprit.
- Voici la Servante du Seigneur, qu'il soit fait de moi selon votre Parole.
- Et le Verbe s'est chair et il a habité parmi nous.

Quel courage ce François !


C'était le bon temps !

vendredi 23 mars 2007

Le clip de campagne de Philippe de Villiers

Un bon clip, clair, dynamique et qui donne envie de voter pour ... P2V !


Clip VILLIERS 2007
envoyé par Philippe_de_Villiers
Ségolène Royal exalte la Révolution

Hier, lors d'un meeting, Ségolène Royal a exalté La Marseillaise :


"La Marseillaise, c’est le chant de la lutte contre toutes les forces de la tyrannie, c’est le chant du peuple qui s’est levé contre toutes les forces de l’Ancien Régime, c’est la chant qui a été repris dans tous les pays où il a fallu secouer le joug de l’oppression, c’est le chant que Louise Michel [militante anarchiste sous la Commune, NDMJ] faisait chanter à ses élèves".


Ce n'est donc plus l'hymne national, rassembleur, mais le chant révolutionnaire, qui divise la France. Le comble, c'est que pendant que la salle chantait, la dame du PS n'a pas desserré les lèvres.


Source : le salon beige

jeudi 22 mars 2007

Concours de légende
Envoyez vos idées !



Brochette de dindes pas fraîches !



J - 31


mercredi 21 mars 2007

Qui se ressemble s'assemble !

Soutenons le Kosovo, province serbe !


Chirac annonce le départ de Sarkozy et lui apporte son soutien

Le président Jacques Chirac a annoncé lui-même mercredi, dans une courte allocution télévisée, la date de départ de Nicolas Sarkozy du ministère de l'Intérieur, le lundi 26 mars, et lui a apporté son "vote" et son "soutien" pour l'élection présidentielle.


Dans une déclaration d'environ une minute et demie, enregistrée dans le Jardin d'hiver du Palais de l'Elysée à l'issue du Conseil des ministres, le chef de l'Etat a indiqué avoir, avec le Premier ministre Dominique de Villepin, reçu le matin le numéro deux du gouvernement.


"Nicolas Sarkozy nous a fait part de son souhait de quitter le gouvernement lundi prochain et ceci pour se consacrer pleinement à la campagne électorale", a lancé le chef de l'Etat. Il a rendu hommage au ministre en indiquant que l'entretien avait été pour les deux têtes de l'exécutif "l'occasion de saluer son travail, son engagement, ses résultats au ministère de l'Intérieur".

En revanche, le chef de l'Etat n'a pas évoqué la nomination du successeur de M. Sarkozy. Selon une source gouvernementale, le ministre de l'Outre-mer, François Baroin, un fidèle chiraquien, lui succédera. "Il n'y a aucun suspense, c'est Baroin", a dit cette source.


Peu après, interrogé par l'AFP, l'entourage de Xavier Bertrand, ministre de la Santé et porte-parole du candidat UMP, a annoncé la démission de M. Bertrand, également à la date du 26 mars. Il devrait être remplacé par le ministre délégué à la Sécurité sociale Philippe Bas, selon des sources concordantes gouvernementales.
"S'agissant de mes choix personnels, les choses sont simples. Il y a cinq ans, j'ai voulu la création de l'UMP", a encore dit M. Chirac. "Dans sa diversité, cette formation politique a choisi de soutenir la candidature de Nicolas Sarkozy", "en raison de ses qualités", a poursuivi M. Chirac.


C'est donc "tout naturellement que je lui apporterai mon vote et mon soutien", a conclu M. Chirac.


Source : orange.fr

mardi 20 mars 2007

L’égalité du temps de parole devient (enfin) la règle

Entrée en vigueur ce matin, la règle de l’égalité du temps de parole entre tous les candidats à l’élection présidentielle devrait permettre enfin de rééquilibrer le traitement médiatique entre les candidats adoubés par le système - Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal bien sûr mais aussi François Bayrou et Jean-Marie Le Pen - et les autres, considérés, un peu hâtivement, comme pesant moins que rien dans la campagne.

«L’homme du patriotisme» fait partie de ces derniers. Depuis des semaines, le président du Mouvement Pour la France et son porte-parole Guillaume Peltier s’insurgent du traitement médiatique qui leur est réservé. Loin de la posture de François Bayrou qui a surfé sur la méfiance des Français vis-à-vis des grands médias pour se faire mousser, ils décrivaient une réalité reconnue par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.

Selon un relevé du CSA, révélé hier par l’AFP, les 5 principales chaînes de télévision ont en effet accordé, entre le 1er décembre et le 2 février, 12 heures de temps de parole à Nicolas Sarkozy, 10 heures à Ségolène Royal et 52 minutes à… Philippe de Villiers dans les journaux et magazines d’information ! La règle de l’égalité du temps de parole devrait sonner le glas de ce matraquage médiatique. Et permettre enfin à Philippe de Villiers de présenter aux Français son projet présidentiel. Fort de ces réussites vendéennes, sur lesquelles il ne manquera pas de s’appuyer et convaincu que le patriotisme est la seul réponse face aux problèmes majeurs de la France, Philippe de Villiers se présente comme une alternative à droite entre un Nicolas Sarkozy qui met ses pas dans ceux de la gauche et un Jean-Marie Le Pen qui se contente de protester. Philippe de Villiers se dit persuadé de pouvoir convaincre les Français au cours des prochaines semaines grâce à l’égalité du temps de parole. Mais la vigilance reste de mise. Jusqu’au 9 avril prochain, si l’égalité du temps de parole doit être respectée, le temps d’antenne (temps de parole + éléments éditoriaux) demeure, lui, régit par la règle de l’équité, laquelle est calculée en fonction «de la notoriété et de l’influence des candidats, de leur représentativité et de leurs activités de campagne», rappelle l’AFP (19.03). Des critères assez flous pour permettre aux médias de choisir les candidats qu’ils souhaitent mettre en avant et d’exclure les autres ! L’égalité stricte de temps de parole et de temps d’antenne ne s’appliquera qu’à partir du 9 avril.

Arabie Séoudite ? Iran ? Non, Espagne !


lundi 19 mars 2007

Voici la liste officielle des candidats à la présidentielle !


Philippe de Villiers pour une immigration zéro

Le candidat du Mouvement pour la France était hier l'invité d'Europe 1. L'élu vendéen prône une "politique de francisation" et veut "stopper l'immigration".


Sur la proposition de Nicolas Sarkozy sur le ministère de l'immigration et de l'identité nationale, Philippe de Villiers a d'abord montré le peu de confiance qu'il accordait "à celui qui est ministre de l'intérieur depuis cinq, c'est à dire ministre de l'immigration incontrôlée". Toutefois a-t-il dit, le président du MPF n'est "pas choqué" par la suggestion de l'actuel ministre de l'Intérieur "contrairement à toutes les vierges effarouchées de la classe médiatique et politique". Pour protéger l'identité nationale, Philippe de Villiers souhaite mener "une politique de francisation" pour "transmettre les valeurs patriotiques" et propose en conséquence "un service patriote obligatoire pour tous les jeunes Français", d'une durée de "six mois". Ce service pourrait se faire dans l'armée au sein de "Casques verts" chargés de transformer la France en une "nation pilote en matière de sécurité écologique" ou "dans le cadre de la Francophonie au service du codéveloppement".

vendredi 16 mars 2007

Ils seront 11 ou 12


Onze candidats ont affirmé disposer des 500 signatures requises pour participer à l'élection présidentielle, vendredi à 18H00, à l'expiration du délai pour le dépôt des parrainages au Conseil constitutionnel, un douxième, José Bové, faisant durer le suspense.


Les candidats ayant annoncé avoir franchi le seuil légal sont François Bayrou (UDF), Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire), Marie-George Buffet (PCF), Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière), Jean-Marie Le Pen (Front national), Frédéric Nihous (Chasse, pêche, nature, traditions), Ségolène Royal (PS), Nicolas Sarkozy (UMP), Gérard Schivardi (soutenu par le Parti des Travailleurs), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France) et Dominique Voynet (Verts).

José Bové, qui s'est présenté au Conseil constitutionnel 30 minutes avant l'heure limite, en est ressorti en affirmant qu'il "devrait avoir" les 500 parrainages requis mais devait attendre la confirmation lundi du Conseil constitutionnel.

source : le salon beige, Michel Janva

jeudi 15 mars 2007

Nicolas Bay dénonce le racisme anti-blanc et l'imposture anti-raciste


Nicolas Bay (MNR) - France2 - 14.03.2007
envoyé par media54

Félicitations à Nicolas Bay pour ses paroles de vérité sur France 2 qui auront, je pense, touché beaucoup de nos compatriotes. Bravo !
La résistante Lucie Aubrac est morte

Membre du réseau Libération-Sud sous l’Occupation, elle avait notamment réussi à faire évader son mari, arrêté à Caluire avec Jean Moulin en 1943, grâce à une rencontre avec Klaus Barbie. Elle est décédée cette nuit à l’âge de 94 ans.


Née le 29 juin 1912 en Bourgogne, Lucie Aubrac, qui était agrégée d’histoire et militante aux Jeunesses communistes, enseigne au lycée Edgard-Quinet à Lyon jusqu’en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes. A partir de novembre 1942, elle organise plusieurs évasions dans la région lyonnaise. Mais le 21 juin 1943, son mari Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance et une dizaine de résistants à Caluire. Quatre mois plus tard, elle réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors transfert. Recherchée par la Gestapo, elle rejoint Londres le 8 février 1944.


A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l’Assemblée consultative à Paris. Celle qu’Emmanuel d’Astier de la Vigerie avait surnommée "Madame conscience" est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.


Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité.
Un évêque offre 80 bières au pape pour ses 80 ans

Engelbert Siebler, l'évêque auxiliaire de Munich (Allemagne), souhaite offrir à Benoît XVI un total de 80 bouteilles de bières, correspondant aux 80 années que le pape doit fêter le 16 avril prochain, a-t-il annoncé ce mercredi. Une bière brune a été brassée spécialement pour l'occasion par la brasserie munichoise de Weihenstephan, qui dit être la plus vieille du monde.


Le pape, originaire de Bavière, recevra également un pichet assorti, a fait savoir l'évêque auxiliaire. Il a aussi indiqué que si le chef de l'Eglise catholique n'était pas lui même un passionné de bière, "il se trouverait bien des gens dans son entourage pour trinquer à sa santé"...


Merci à Croisé du 37 pour l'info
La démocratie selon Jack Lang

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Jack Lang, conseiller spécial de Mme Royal, s’oppose à la proposition de François Bayrou de faire élire la moitié des députés à la proportionnelle. Pour cette raison que selon lui, « ce serait une entrée en masse du Front national ».

La démocratie, selon Jack Lang, consiste donc à empêcher des millions d’électeurs d’avoir des représentants, et selon François Bayrou à leur permettre une moitié de représentation.

Le Front national, quant à lui, n’a pas peur de faire entrer au Parlement les représentants que le peuple se choisit. Car le Front national, contrairement à Jack Lang, n’a pas peur du peuple, il considère au contraire que c’est son honneur de le servir, et d’abord de le respecter.


Ainsi Jean-Marie Le Pen est-il le seul candidat qui soit favorable, par l’instauration de la proportionnelle intégrale, à une représentation juste et véridique de tous les courants de la politique française.
A propos des signatures

Communiqué de Louis Aliot

Contrairement aux affirmations de certains, la direction de campagne de Jean-Marie Le Pen tient à préciser les choses suivantes :

- Le Mouvement National Républicain de Bruno Mégret aura apporté en tout et pour tout 11 parrainages.

- Le Parti Populiste de Messieurs Pérez et Timmermans 4 signatures.

- Quelques signatures proviennent aussi des maires qui avaient signé en 2002 pour Mme Boutin, M. Pasqua, M. Madelin, M. Chevènement, M. Mégret ou même M. Besancenot.

Nous ne comprenons pas très bien pourquoi certaines personnes communiquent à la presse, au nom de l’Union Patriotique des informations totalement fantaisistes.

Le Front National tient à remercier l’ensemble des maires qui ont bien voulu parrainer Jean-Marie Le Pen et lui permettre d’être candidat à l’élection présidentielle de 2007

Tarik Ramadan en garde-à-vue

Le citoyen hélvétique Tarik Ramadan va apparamment avoir quelques souvenirs malheureux de son récent séjour dans notre pays puisque, de passage à l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle et en transit pour Londres, le prédicateur musulman, celui qui ne voit pas de mal à la lapidation des femmes s'est retrouvé en garde-à-vue dans les locaux de la police aux frontières après avoir insulté un fonctionnaire de police - une femme justement - qui lui faisait la remarque qu'il empruntait un mauvais couloir. La jeune femme a déposé plainte contre monsieur Ramadan et il devra se présenter début avril face à la justice française.

Ah ! ces femmes !

mercredi 14 mars 2007

Fin de la saga des signatures pour Jean-Marie Le Pen

http://www.europe1.fr édition du 14 mars 2007


C'est la fin d'un long feuilleton pour le candidat du Front national. Jean-Marie Le Pen a déposé cet après-midi les 500 parrainages nécessaires à sa candidature. Le candidat frontiste a précisément déposé 535 parrainages, ce qui lui permet d'envisager sereinement la validation de sa candidature par les sages du Conseil constitutionnel. Démentant toute dramatisation à but électoral, Jean-Marie Le Pen a affirmé avoir eu les pires difficultés à vaincre la réticence des élus en dépit des appels de Nicolas Sarkozy et de plusieurs responsables UMP en sa faveur.

Le candidat de l'UMP avait déclaré qu'il se "battrait" pour que le président du Front national, mais aussi le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot, puisse se présenter à la présidentielle. Plusieurs responsables du FN, dont Marine Le Pen, vice-présidente, ont assuré que le "message" du candidat de l'UMP n'avait pas eu "d'effet particulier", son appel ne s'adressant pas directement aux élus UMP.

"Il y a eu une offensive de sabotage délibéré, organisé. C'était très inquiétant", a déclaré Jean-Marie Le Pen mecredi lors du dépôt de ses parrainages. Fin février, le dirigeant du Front national avait porté plainte en diffamation contre Philippe de Villiers et pour vol contre les auteurs présumés d'une offensive "très calculée", selon lui, visant à dissuader les élus de le parrainer. Or, la police judiciaire est parvenue à confirmer la thèse d'un piratage informatique et à identifier le poste de travail, à l'intérieur même du siège du FN, où un inconnu s'est procuré la liste des élus qui avaient promis leur signature.

Cette liste pourrait avoir été mise à profit par des inconnus pour un démarchage téléphonique menées auprès des élus par des personnes se disant journalistes, ou se présentant comme des dirigeants du FN. Ces inconnus auraient tenté ces dernières semaines de dissuader les intéressés d'apporter leur signature ou assuré qu'elles n'étaient plus nécessaires. Jean-Marie Le Pen a accusé implicitement Philippe de Villiers d'être derrière ces manoeuvres visant à l'écarter de la course à l'Elysée. Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF), a déposé mardi la totalité des 500 parrainages d'élus. L'écologiste Antoine Waechter a pour sa part fait savoir qu'il renonçait à se présenter à l'élection.

mardi 13 mars 2007

Philippe de Villiers remporte la première bataille

Philippe de Villiers est allé ce soir déposer au Conseil constitutionnel les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l’élection présidentielle. Devant l’ensemble de la presse, Philippe de Villiers a «remercié chaleureusement les maires de France, qui malgré les pressions, parfois les intimidations, ont accepté de lui faire confiance et de parrainer sa candidature». Il a également salué le travail des militants et des cadres du MPF qui, depuis un an, ont sillonné les routes de France et sont allés à la rencontre des maires.


«C’est une première grande victoire» s’est félicité Philippe de Villiers, qui était entouré d’une cinquantaine de jeunes militants et sympathisants des Jeunes Pour la France. «Maintenant, la campagne commence réellement. Je pars à la rencontre des Français pour leur proposer mon projet qui se résume en un mot : je suis l’homme du patriotisme.»


Rappelant les grandes lignes de son projet, Philippe de Villiers a expliqué qu’il avait trois adversaires : le mondialisme, le socialisme et le communautarisme. Et proposé trois priorités aux Français : «une protection européenne pour stopper l’hémorragie des délocalisations, un renouveau moral et civique pour retrouver nos repères aujourd’hui sapés par le laxisme et le socialisme, et le rétablissement de l’autorité de l’Etat face à la montée du communautarisme, notamment islamique.»
Jean-Marie Le Pen pense qu'il aura les 500 signatures

Jean-Marie Le Pen "pense sincèrement" qu'il obtiendra les 500 parrainages requis pour se présenter à l'élection présidentielle et a estimé lundi à "quelques dizaines" le nombre de signatures qui lui manquent.

"Je pense sincèrement que nous les aurons parce qu'il y a une prise de conscience des maires qui n'ont pas voulu que le combat se déroule simplement entre les trois candidats du système. Ils ont voulu que le peuple puisse s'exprimer", a dit le candidat d'extrême droite sur TF1.

Dans la matinée, le secrétaire général du Front national Louis Aliot avait déclaré que Le Pen ne devait plus trouver qu'une trentaine de parrainages.

Les candidats ont jusqu'à vendredi 18h00 (17h00 GMT) pour déposer leurs 500 signatures devant le Conseil constitutionnel.

Au sujet de la proposition du candidat UMP, Nicolas Sarkozy, de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale en France, Jean-Marie Le Pen a dénoncé "une boîte vide" dans laquelle "on ne sait pas ce qu'il va y avoir".
Comment rentabiliser les cryptes !

Le curé de la paroisse « Saint Pierre de Montmartre » n’ a rien trouvé de mieux pour « rentabiliser » l’espace qui lui est attribué par l’Evêché que de louer pendant un week end la crypte de son église à une dizaine de créateurs de mode de ayant leur enseigne sur la Butte Montmartre.

Le fait d'avoir organisé cette exposition d'élégance dans la crypte et non dans l'église elle même où est exposé le Saint Sacrement atténue le "scandale"...mais tout de même, on préferait que ce locaux soient affectés à de plus "saintes" activités!

Source: Cyril Bozonnet

PHILIPPE DE VILLIERS SERA BIEN CANDIDAT

Philippe de Villiers disposait mardi matin de 490 parrainages d'élus, sur les 500 requis pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, a annoncé son porte-parole Guillaume Peltier.

En début d'après midi on nous annonce que Philippe de Villiers déposera aujourd'hui à 17h30 ses dernières signatures au Conseil Constitutionnel et annoncera avoir réuni les 500 signatures nécessaires.

Depuis quelques jours, la recherche des parrainages mobilisait fortement son état-major. La voix de Philippe de Villiers se fera donc entendre dans cette campagne.

lundi 12 mars 2007

Jacques Chirac, l'extrémiste

Hier soir, Jacques Chirac a dit : "ne composez jamais avec l'extrémisme".

Bernard Antony accuse le président d'avoir "composé avec le pire extrémisme" :

"S’il y a un homme qui a en effet composé, collaboré toute sa vie avec le pire des extrémismes, avec le pire des racismes, c’est bien lui, Jacques Chirac, qui en un demi siècle de vie politique n’a jamais fait un seul geste pour les victimes du communisme et ses cent millions de morts, et les milliards de personnes de tous les peuples qui ont souffert dans son empire esclavagiste depuis 1917. [...] L’avorteur en chef Jacques Chirac, promulguant la loi Veil n’a jamais eu qu’une haine : celle des racines chrétiennes de la France et des valeurs de la culture de vie authentique, il n’a jamais un seul mot pour évoquer les atrocités sans fin commises par les régimes du marxisme-léninisme. Il a été ainsi le complice du pire et du plus long des extrémismes que la terre ait jamais connu."

"une opinion, une doctrine, un courant politique, des citoyens, s’apprécient en fonction de leurs qualités ou défauts intrinsèques. Leur coller une étiquette est un moyen commode d’exclure. Cela ne saurait tenir lieu d’argument, de confrontation, de critique. [...] La seule question qui vaille est de savoir si une idée est juste ou fausse. La récuser a priori du fait de sa position sur l’échiquier politique, à un moment donné, est une extrême sottise."

Source : le salon beige, Michel Janva
Meeting de "l'union patriotique " à Lyon

Dimanche , au grand meeting de l’Union des Patriotes à,Lyon, Bruno Mégret "a été bien accueilli" par Bruno Gollnisch et les 2500 personnes présentes, puis a assisté au discours de Jean Marie Le Pen . A la fin de la réunion, la Marseillaise finale a réuni les trois hommes.

Parmi les personnalités étaient présents : Pierre Vial de l'association Terre et peuple, Alain Soral, Claude Reichman, et Christian Perez, président du Parti populiste français (PPF). Lors du meeting, seuls Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen se sont exprimés.

Source : Vox Galliae

Réaction de Jean-Marie Le Pen à l'allocution chiraquienne

" Je pense que Jacques Chirac aura été le plus mauvais président de la République de l'Histoire de France. Je perds en sa personne, et je m'en félicite, mon meilleur ennemi. La preuve qu'il a conduit le pays au désastre, c'est que pas un seul candidat de sa majorité, ni M. Bayrou, ni M. Sarkozy, ne se réclame de lui. Au contraire, chacun d'entre eux veut s'en détacher et marquer sa différence, personne ne veut assumer le bilan de Jacques Chirac. De surcroît, il a été le symbole de la corruption politique aux yeux du monde entier. Peut-être d'ailleurs à peine sorti de l'Elysée, il aura à rendre compte à la justice française d'un certain nombre de choses qui lui sont reprochées et qu'il a laissé porter jusqu'à présent sur les épaules de ses collaborateurs "


Jean-Marie Le Pen, le 11 mars 2007 sur TF1

dimanche 11 mars 2007

Candidature Chirac : c'est non !

PARIS (Reuters) - Jacques Chirac a annoncé ce soir qu'il ne briguerait pas un troisième mandat de président de la République après douze ans passés à l'Elysée et qu'il servirait désormais la France "autrement".
"Au terme du mandat que vous m'avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat", a déclaré le chef de l'Etat lors d'une allocution radio-télévisée.

"D'une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d'agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France", a ajouté Jacques Chirac qui, à 74 ans, mettra fin en mai à une carrière politique longue de plus de 40 ans.

Le chef de l'Etat s'est abstenu de soutenir le moindre candidat déclaré à l'élection présidentielle.
"S'agissant des échéances électorales, j'aurai l'occasion d'exprimer mes choix personnels", a-t-il dit.

Dans son message long d'une dizaine de minutes, Jacques Chirac a dit son "émotion" de s'adresser ainsi aux Français.

"Pas un instant, vous n'avez cessé d'habiter mon coeur et mon esprit. Pas une minute, je n'ai cessé d'agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j'aime autant que je vous aime", a-t-il dit.

"La France, mes chers compatriotes, je l'aime passionnément. J'ai mis tout mon coeur, toute mon énergie, toute ma force à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c'est l'engagement de toute ma vie", a assuré le chef de l'Etat.
A six semaines du premier tour de l'élection présidentielle, il a invité les Français à se méfier des extrêmes.

"Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre. Dans notre histoire, l'extrémisme a déjà failli nous conduire à l'abîme. C'est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l'âme de la France dit non à l'extrémisme", a-t-il dit.

Jacques Chirac a également demandé à ses compatriotes de "croire (...) en la France" et dans la construction européenne.

"La France doit affirmer l'exigence d'une Europe puissante, d'une Europe politique, d'une Europe qui garantisse notre modèle social. C'est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté", a-t-il souligné.
Va-t-il nous annoncer ce soir sa candidature ?

Certains sur le net y croient !


Chirac!
envoyé par FLPF
Segolene & Nicolas - Les musclés


Segolene & Nicolas - Les musclés
envoyé par sayit
Chirac mendiant

Le grand retour de Goldorak !

Mettre le son à fond, ça le fait grave !
A hurler de rire !


sarkozy 2007
envoyé par tontonalain
Le fabuleux destin de Jacques Chirac


Le fabuleux destin de Jacques Chirac
envoyé par Matthew36
Une chanson souvenir !



Je serai le Président...
envoyé par Nusnedlog
Corinne Lepage jette l'éponge et rejoint François Bayrou

L'ancienne ministre de l'Environnement Corinne Lepage a décidé d'abandonner la course à la présidentielle, et rejoint le candidat UDF François Bayrou, comme elle l'explique dans un entretien au Journal du Dimanche.

"J'ai décidé de rejoindre François Bayrou, malgré ma capacité à obtenir mes 500 signatures. En effet, il incarne aujourd'hui un véritable changement dans le pays, qui peut permettre à l'écologie politique d'occuper la place qui lui revient", explique la dirigeante du mouvement Cap 21.

"François Bayrou et moi partageons de nombreuses idées, tant sur la moralisation de la vie publique que sur la nécessité de fonder une VIème République", ajoute-t-elle.

"J'aurai bien plus de poids pour défendre l'écologie politique en faisant équipe avec François Bayrou", dit-elle.
"Cap 21 ne fusionne pas avec l'UDF, mais travaille à constituer un pôle d'écologie politique au sein de la dynamique qui se crée", a-t-elle ajouté.

Le 26 février, Mme Lepage avait expliqué qu'elle voterait, le cas échéant, "plus facilement pour (François) Bayrou que pour d'autres" au second tour de l'élection présidentielle.

Avec le candidat de l'UDF, "il y a des choses qui nous rapprochent incontestablement" même si "je le dis depuis un petit peu plus longtemps que lui", avait-elle déclaré.

Source : La Croix

L'alien politique !

Source : Vox Galliae

vendredi 9 mars 2007

A vous donner une indigestion !


Merci à Maurice !

Arrêtons la !

Si c'est Charles Pasqua qui le dit...

"C’est Charles Pasqua qui le raconte : «Bayrou est le seul homme politique à m’avoir assuré que la Sainte Vierge lui était apparue et prédit qu’il serait président de la République.»"
Sarkozy sur France 2 : surréaliste selon Dupont-Aignan

Hier dans l'émission "A vous de juger", Nicolas Sarkozy a proposé de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale. Nicolas Dupont-Aignan a déploré qu"'on prenne les Français pour des imbéciles à longueur de journée" :
"C'est quand même surréaliste que le ministre de l'Intérieur qui a été cinq ans au pouvoir, qui nous a fait voter je ne sais combien de lois, propose maintenant un ministère".

Le président de Debout la République s'est demandé si "un jour on va boucher les trous du bateau où il y a l'eau qui rentre, au lieu d'écoper en amusant la galerie".

Et de préconiser "la suspension du regroupement familial qu'il faut oser accomplir".

jeudi 8 mars 2007

Villiers a-t-il ses 500 signatures ?

C'est ce que laisse supposer cette invitation envoyée par le MPF37 :


FÊTE « 500 PARRAINAGES »>
Vendredi 23 MARS 2007 >
Venez fêter la première victoire>
de Philippe de Villiers en 2007>
« l'obtention des 500 parrainages »>
>
RDV à 19h30>
Pour un banquet campagnard>
À l'Hôtel TURONE>
Place de la Liberté (ex Place Thiers) à TOURS>
15€/adulte et 5€/jeune>
Renseignements & réservations : >
contact@mpf37.org & Permanence (cf ci-dessous)>


Merci à Croisé du 37 pour l'info !
Bruno Mégret invite Sarkozy à signer pour Jean-Marie Le Pen

Bruno Mégret, président du MNR, se félicite que Nicolas Sarkozy soit prêt à se battre pour que Jean-Marie Le Pen puisse être candidat à l'élection présidentielle.Il doit maintenant mettre en pratique cette attitude démocratique et montrer par l'exemple qu'un parrainage n’est pas un soutien politique. Bruno Mégret l’invite en conséquence à signer, en tant que conseiller général des Hauts-de-Seine, un formulaire de parrainage pour la candidature de Jean-Marie Le Pen.
Philippe de Villiers recherche 50 parrainages

NOUVELOBS.COM 08.03.2007 18:20

Le candidat du MPF a estimé qu'il lui manquait encore une cinquantaines de signatures d'élus pour se présenter.

Le candidat du Mouvement pour la France (MPF) Philippe de Villiers a expliqué mercredi soir qu'il lui manquait encore "une cinquantaine" de parrainages dans la perspective de l'élection présidentielle. Interrogé sur les récents sondages qui le créditent de 1 ou 2% des suffrages, il a répondu sur France-24 que "le vainqueur ne voit personne dans sa course et d'ailleurs on le croit perdu" et "il arrive en vainqueur". Selon lui, la campagne est actuellement dans "la première phase", celle "dans laquelle les médias, les sondeurs, mesurent la visibilité". "Moi, j'ai une visibilité de 1% par rapport aux autres candidats, par rapport à ceux que l'on voit tout le temps et que l'on voit trop souvent", a ajouté Philippe de Villiers.

Configuration de l'élection

Il a expliqué que "la deuxième phase, c'est le 20 mars", car "on connaîtra la configuration de l'élection". Aujourd'hui, il lui manque encore "une cinquantaine" de signatures. "Le fait que l'on soit tous à galérer dans les derniers jours pour aller vers les maires et obtenir des parrainages" empêche les candidats "de faire campagne auprès des Français". Alors que Nicolas Sarkozy a annoncé lundi qu'il "se battrait" pour que des candidats comme Le Pen ou Besancenot obtiennent leurs signatures, Philippe de Villiers s'est dit "surpris". "Le ministre de l'Intérieur, qui est l'organisateur de l'élection en même temps que le candidat, choisit en quelque sorte les candidats à sélectionner pour concourir". "Il y a un petit côté Napoléon III là-dedans, qui rappelle l'ancien temps. C'est un gros risque qu'il a pris pour lui car Le Pen, Sarkozy, même combat", a jugé le candidat du MPF. "Au deuxième tour, ce n'est pas une bonne chose pour lui".

"Il dérape"

Et de poursuivre: "Jean-Marie Le Pen est un homme qui a comme principale qualité le courage et la vitalité. Il a dit des vérités avec courage". En revanche, "il dérape, et quand il dérape il injurie. Je pense qu'il est malin et que c'est un matois, Le Pen. Il a piégé Sarkozy de la plus belle manière". "Maintenant, Sarkozy sera obligé d'expliquer pourquoi il a apporté des signatures à Le Pen. On va voir quand les noms vont être publiés qu'il y aura un contingent important de maires UMP qui ont permis à Le Pen d'avoir un surcroît de signatures qu'il avait peut-être déjà", a conclu Philippe de Villiers. AP
Chirac lève le suspense dimanche à 20h

"Le président de la République s'adressera aux Français le dimanche 11 mars à 20h". Dans un communiqué laconique, l'Elysée a fait savoir jeudi en milieu de matinée que Jacques Chirac annoncera son choix de se représenter ou non lors d'une allocution télévisée.

A moins de sept semaines du premier tour de l'élection présidentielle, il ne fait néanmoins guère de doute que Jacques Chirac, 74 ans, ne se lancera pas dans la course à sa propre succession. Deux jours après le sommet européen de Bruxelles, le dernier de son second mandat, le chef de l'Etat devrait donc annoncer son retrait de la vie politique. Il devrait ensuite, sous une forme ou une autre, confirmer son soutien à Nicolas Sarkozy.
Marine Le Pen : " très grand danger que Le Pen soit absent "

http://fr.news.yahoo.com édition du 8 mars 2007

PARIS (AFP) - Marine Le Pen, directrice de campagne de président du Front National , a affirmé jeudi qu'"il y a vraiment un très grand danger aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen soit absent de la compétition" présidentielle."Il nous manque aujourd'hui 77 signatures. On ne peut pas garantir qu'il sera candidat (...) Nous sommes inquiets", a ajouté Mme Le Pen sur i-Télé, en observant qu'il restait "six jours ouvrables" avant le 16 mars, date limite de dépôt des 500 formulaires de parrainages au Conseil constitutionnel. Selon la vice-présidente du FN, "il y a vraiment un très grand danger aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen soit absent de la compétititon, avec toutes les conséquences catastrophiques que cela entraînerait". Elle a une nouvelle fois dénoncé le système des parrainages "vidé de son sens" et qui "sert aujourd'hui à toutes les manipulations et toutes les pressions politiques".

mercredi 7 mars 2007

Villiers au Salon de l'Agriculture : "il faut sauver le soldat Villiers"

La campagne arabe de Sarko

Nicolas Miguet soupçonné de détournement de parrainages

http://fr.news.yahoo.com édition du 6 mars 2007

PARIS (Reuters) - Nicolas Miguet, candidat à l'Elysée au nom du Rassemblement des contribuables français (RCF), est soupçonné d'avoir détourné des parrainages présidentiels et a été placé en garde à vue mardi, a-t-on appris dans l'entourage de l'homme d'affaires.

Nicolas Miguet, qui n'avait pu aller au bout de sa précédente candidature présidentielle en 2002 faute de parrainages, a fait parvenir aux maires de plusieurs départements un document présentant l'ensemble des candidats et de leur programme.

Le document, intitulé "République française, que ton règne vienne", leur demandait également d'envoyer leur parrainages à une adresse du VIIIe arrondissement de Paris.

Fin février, le Conseil constitutionnel avait mis en garde les élus contre ce qu'il avait qualifié de "faux documents officiels".

"La construction du document ne pouvait conduire que des imbéciles à adresser leur parrainage (boulevard de Courcelles) et non au Conseil constitutionnel", a expliqué à Reuters Nicolas Martin du Nord, président de la holding Nicolas Miguet Associés.

"Il n'y a aucun détournement possible. Nous ne sommes pas dans une démarche qui puisse induire en erreur", a-t-il insisté en se disant "très choqué de l'instrumentalisation du système judiciaire par le politique".

Le siège de la holding a été perquisitionné pendant deux heures en fin de journée, a-t-il rapporté. La plupart des documents "République française" ont été saisis.

Nicolas Miguet, éditeur de lettres boursières, a été placé en garde à vue par la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) où il avait été convoqué en début d'après-midi.

"Il assume", a déclaré Nicolas Martin du Nord. "Il a à se reprocher d'avoir été un poil à gauche de la bande blanche", mais ce n'est pas une raison "pour l'embastiller".

Selon le patron de Quotidien de Paris Editions, Nicolas Miguet fait face à des "difficultés majeures" pour réunir les 500 parrainages présidentiels nécessaires pour se présenter, qui doivent être envoyés au Conseil constitutionnel avant le 16 mars.

Fin février, le candidat "de la société civile" faisait état sur son site internet de 450 promesses de parrainages.
Passé par les Jeunes Giscardiens et l'UDF, Nicolas Miguet a créé son parti, le RCF, en 1999, avec un seul slogan: "Moins d'impôts maintenant !"

En avril 2004, il avait mené la fronde des actionnaires contre la direction d'Eurotunnel.