mardi 31 juillet 2007

Hommage à Michel Serrault



Après une longue maladie, le génial comédien français a rejoint les étoiles. A 79 ans, ce seigneur du théâtre et du cinéma laisse un vide immense. Sombre ou burlesque, il portait pudeur et délire en bandoulière. Souvenirs.

«La mort, la mort! Comment vivre sans y penser? Evidemment, plus j'avance, plus «ça» insiste. Mais je m'habitue. Vous pensez bien qu'à mon âge, je l'apprivoise plus que quand j'avais 20 ans. Je n'en ai pas peur. Je serais vraiment un imbécile de croire à la vie éternelle!» Avec Michel Serrault, il était permis de causer de tout. Quitte à se prendre ses crises de fou rire hoquetant ou ses bouillantes saillies colériques en pleine figure?

Taillé d'un bloc, l'homme passait pour un râleur. Il rétorquait: «Je m'exprime.» Adorait même se prêter à ce qu'il définissait comme des numéros. Un exemple typique de cet exercice revient instantanément en mémoire. Il le racontait avec verve. «J'ai baissé mes pantalons à la télé. Bruno Masure m'avait invité avec Nagui, que je n'aime pas. Son idée était de voir qui allait bouffer l'autre. J'ai pensé qu'il fallait frapper fort, que la seule chose à faire dans ces circonstances, c'était montrer son cul.» D'une pirouette, le baladin rectifiait aussi cette image d'amuseur public. «La comédie, c'est la magie qui surgit entre deux êtres qui se parlent. Ce n'est pas un numéro, contrairement à ce qu'on dit souvent de moi.» Car derrière la façade de trublion se cachait à peine un être aux profondeurs extrêmes. Ce que son complice de La cage aux folles, Jean Poiret, esquissait comme un mélange complexe de pudeur totale et de délire fou. Armé de ce bagage, Michel Serrault allait s'aventurer dans tous les territoires de l'interprétation.

Des trésors de nuances

Ses trois césars dessinent le parcours. La reconnaissance tombe avec La cage aux folles. D'abord sous forme de pièce «extensible», jouée durant cinq ans, près de 1500 fois, où, avec Poiret, l'acteur pouvait improviser et rallonger la représentation à l'infini. Puis avec le film d'Edouard Molinaro, honoré en 1979, et ses séquences mémorables. L'épisode de la biscotte reste un monument? Trois ans plus tard, Garde à vue, de Claude Miller, consacre un talent plus sombre, plus inquiétant. Il lui suffisait de bloquer son regard, de plisser les sourcils pour suggérer le pire. Un art auquel il donnera toute sa puissance dans Dr Petiot, un projet qu'il avait porté et chéri envers et contre tous. Nelly et Monsieur Arnaud, en 1995, démontre le chemin parcouru depuis ses débuts burlesques au temps des Branquignols. Complice avec le cinéaste Claude Sautet, Michel Serrault y déploie des trésors de nuances avec une exquise simplicité.

Exigence tatillonne

Pourtant, l'indomptable n'était guère facile à apprivoiser. «Je ne peux créer que dans la liberté. Ne pas se laisser bouffer par les autres, prendre le droit d'exister. Sans me mettre à leur échelle, les Michel Simon, Jules Berry, etc., ne se laissaient pas dominer.» Le réalisateur Jean-Pierre Mocky, lui aussi doté d'un fort tempérament, s'accorda très naturellement avec cette tronche trempée. Comme Jacques Deray, Etienne Chatiliez ou Bertrand Blier. Comme Claude Chabrol, qui lui offre Les fantômes du chapelier, puis, quinze ans plus tard, en 1997, son cinquantième film, Rien ne va plus. «Chabrol m'a résumé sa philosophie. La vie comporte sa gravité, mais mettons-la de côté. Prenons un coup de rouge, une cigarette, qu'est-ce qu'on fait ce soir, des côtelettes? C'est une leçon.»

lundi 30 juillet 2007

Salut l'artiste !



dimanche 29 juillet 2007

Le vrai problème : la colonisation de l’Europe !

Communiqué du Front National du 28 juillet 2007

Une nouvelle fois, Nicolas Sarkozy trompe ses électeurs en pratiquant les repentances dont il avait solennellement annoncé la fin lors de la campagne présidentielle.

Il s’agit en l’occurrence de la repentance pour la colonisation qualifiée de « grande faute », et pour l'esclavage qualifié de « crime contre l'humanité toute entière ».L’esclavage fut universellement pratiqué mais c’est aussi grâce à la France que celui-ci a été aboli il y a plus d’un siècle et demi !

Quant à la colonisation, celle-ci a eu, comme toute aventure humaine, sa part d’ombres mais aussi sa part de bienfaits que beaucoup de peuples africains ou asiatiques regrettent amèrement.

C’est grâce aux explorateurs, aux pionniers, aux défricheurs, aux bâtisseurs, aux soldats, aux missionnaires, aux médecins coloniaux, aux administrateurs de l’Outre-mer, que les routes, les ponts, les chemins de fer, les ports, les hôpitaux, les dispensaires et les écoles ont été édifiés, que la lèpre ou le choléra, la fièvre jaune ou la variole et nombre de maladies tropicales ont été combattues voire éradiquées.

C’est ainsi grâce à la colonisation qu’en Afrique, l’alphabétisation s’est développée, que les guerres tribales ont cessé, que l’hygiène et l’éducation ont progressé.

Négliger cela, c’est faire injure à la vérité historique ; c’est tomber dans un tiers-mondisme primaire : c’est pratiquer une repentance subversive, par laquelle la dénonciation de la colonisation passée de l’Afrique par l’Europe, dont tous les bénéfices ont été laissés aux Africains, sert à justifier aujourd’hui la colonisation de l’Europe par l’Afrique, dont les bénéfices ne sont pas évidents, c’est le moins que l’on puisse dire.

samedi 28 juillet 2007

Oscar, le chat qui prédit la mort

Par Rédaction, samedi 28 juillet 2007 à 10:28



Il a l’air mignon comme ça, Oscar. Mais il semble doté de pouvoirs extraordinaires. Il pourrait sentir quand les patients de l’hôpital dans lequel il vit, à Rhode Island, USA, sont sur le point de mourir. Il se blottirait alors contre eux durant leurs dernières heures. Son "calcul" s’est avéré exact dans 25 cas, et laissait la plupart du temps quatre heures à vivre aux patients réconfortés par la boule de poils.

'' Il ne fait pas souvent erreur. Il a l’air de comprendre quand les patients sont sur le point de mourir", explique le Dr David Dosa. "Certains membres de la famille sont soulagés de sa présence et apprécient la compagnie du chat auprès de leur proche mourant".

Ce chat de deux ans a été adopté alors qu’il était bébé et a grandi dans une aile psychatrique de l’hôpital. Après six mois de présence il a commencé à effectuer ses prorpes rondes comme les membres du personnel, et à s’assoir près des gens qui allaient mourir dans les prochaines heures.

Toutefois ce n’est pas un chat amical avec tout le monde "Il prend son travail au sérieux et reste généralement distant".

Rien n’a été prouvé scientifiquement, bien sûr, mais Oscar reste une "star" de son hôpital.

vendredi 27 juillet 2007

L'identité : objet non identifié que chacun fabrique

Le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale, Brice Hortefeux, estime que


"L’identité se base avant tout sur ce que chacun souhaite apporter à son pays plus que ce dont il peut hériter".


Exit le baptême de la France : le musulman apportera l'islam plutôt que d'hériter du christianisme.


Source : le salon beige
L. Voulzy soutient N. Sarkozy

Source : culturalgangbang

Exclusif : Après Jeane Manson, Mireille Mathieu ou Gilbert Montagné, c’est au tour de Laurent Voulzy de rejoindre les people qui soutiennent Nicolaï Sarkozy !

mercredi 25 juillet 2007

Aux gangsters réunis !



mardi 24 juillet 2007

Ce soir sur TF1, un film culte !



lundi 23 juillet 2007

Le Planté de Bâton

Une séquence inédite du très attendu Astérix aux Jeux Olympiques dans laquelle Michel Blanc alias Jean Claude Dusse fait une courte apparition …


Planté_de_Bâton
envoyé par Culturalgangbang
Policière voilée en Grande-Bretagne !



jeudi 19 juillet 2007

mercredi 18 juillet 2007

L’aveu de Valéry Giscard d’Estaing


Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 17 juin 2007


Valéry Giscard d’Estaing se félicite que la substance de la Constitution européenne soit préservée dans le nouveau traité européen. Selon lui, les modifications « limitées » apportées au texte initial ont été décidées pour « effacer l’image » de la Constitution dans l’esprit des gens, et pour « en faciliter l’approbation ici et là ».

C’est le père de la Constitution européenne lui-même qui souligne l’arnaque : les Français ont rejeté cette Constitution, on la leur fera approuver en abandonnant le mot et en modifiant quelques articles.

Il ne s’agissait donc que de berner les citoyens.

Cet aveu rend encore plus nécessaire l’organisation d’un référendum. Ce n’est pas au Parlement d’avaliser l’arnaque. Les Français doivent savoir de quoi il retourne et se prononcer en connaissance de cause.

mardi 17 juillet 2007

Racines chrétiennes



Article de Fabrice Madouas publié le 16 juillet 2007


Je peux le dire, c’est permis ! D’autres l’ont dit avant moi, qui ne sont pas vraiment de droite, ni précisément catholiques : l’Église a été le « ciment » de l’intégration des enfants d’immigrés arrivés en France au début du siècle dernier.

Qui l’affirme ? Claude Allègre, dans son dernier livre, 10 + 1 questions sur l’école (Michalon). « La France a connu, au cours du siècle dernier, une immigration massive de Polonais qui venaient dans le Nord et dans l’Est pour y être mineurs, écrit l’ancien ministre de l’Éducation nationale. Au risque de heurter, je dirais qu’ils avaient avec le pays d’accueil un patrimoine commun : le catholicisme. Les prêtres ont joué un rôle très important dans l’intégration des enfants qui allaient au catéchisme et y recevaient un enseignement sur des bases communes aux petits Français, qu’on le veuille ou non. »

Quelle audace ! On oserait presque en conclure que l’Europe a des racines chrétiennes (ne serait-ce pas le moment de le rappeler dans le “mini-traité” ?)… Mais Claude Allègre aggrave encore son cas en relevant que ce processus d’intégration s’est poursuivi pour les Italiens et les Espagnols, qui partagent avec les Français l’héritage gréco-latin chrétien, mais qu’il « ne joue pas aujourd’hui avec l’immigration d’origine maghrébine.

Elle appartient à une culture fondamentalement différente de la nôtre ». A-t-il raison de l’écrire ?

Commission sur les institutions: Jack Lang accepte

"Après avoir mûrement réfléchi, ma réponse est oui", a déclaré le député socialiste du Pas-de-Calais dans le journal télévisé de TF1 lundi 16 juillet alors que son parti s'était auparavant dit contre une telle décision.

Le comité a été souhaité par Nicolas Sarkozy pour réformer les institutions et notamment envisager l'instauration d'une dose de proportionnelle au Parlement.

C'est l'ancien premier ministre Edouard Balladur qui le présidera mais des personnalités de gauche y feront donc leur entrée.
"La constitution n'appartient ni à un clan ni à un parti", et "c'est l'un des combats de ma vie", a dit M. Lang à TF1. "Chacun, quelle que soit sa famille de pensée, a le devoir d'apporter sa pierre à la refondation de notre constitution".

"Je suis un homme libre et fidèle (...) Je n'entre pas au gouvernement" a-t-il ajouté,jugeant qu'il est possible de "travailler dans l'intérêt supérieur du pays sans renoncer à ses convictions".

Le comité devrait voir le jour ce mercredi 18 juillet après réception des différents partis politiques à l'Elysée pour recueillir les "observations et suggestions" sur le fonctionnement et les objectifs de cette commission.

dimanche 15 juillet 2007

Ce soir sur TF1, un bon film


Concours de légende : Sarko et Maud Fontenoy pour le 14 juillet

Lâchez-vous pour ce nouveau concours de légende !



vendredi 13 juillet 2007

Pour l'été, affichez vos couleurs !




Le vrai symbole d’Epinal

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Le discours d’Epinal du général de Gaulle fut prononcé dans une France libérée de l’occupant, qui recouvrait sa pleine et entière souveraineté.

Le discours d’Epinal de Nicolas Sarkozy est prononcé dans une France occupée : elle n’a plus de monnaie, plus de 70 % des lois sont des transpositions de directives supranationales, et elle s’apprête à voir défiler le jour de sa fête nationale les armées de 26 pays étrangers. Le président de la République, qui se dit partisan d’un Etat fort, veut imposer un traité qui supprime l’essentiel de la souveraineté, et va encore au-delà du traité avec son projet de gouvernement économique de l’Europe.

Il n’y a donc aucun parallèle possible entre les deux discours d’Epinal.

Si l’on doit y voir un symbole, c’est celui qui permet de mesurer le chemin parcouru entre l’indépendance retrouvée et l’abandon de la patrie aux puissances euromondialistes.
Tintin, la BD raciste pour adultes


Article de Yves Daoudal publié le 12 juillet 2007


La commission britannique pour l’égalité raciale s’est penchée sur Tintin au Congo (1931), et a jugé que la vente libre de cet album « dépasse l’entendement », car il contient « des éléments potentiellement très choquants » : on y voit « des images et des dialogues porteurs de préjugés racistes abominables ».

Le groupe américain Borders, qui diffuse l’album, a remarqué que « des milliers de livres et de disques que nous vendons peuvent être considérés polémiques ou répréhensibles, en fonction des points de vue, des goûts ou des intérêts des uns et des autres ». Toutefois, il a décidé de demander aux magasins de retirer l’album des rayons enfants et de la présenter « dans la section des BD pour adultes ».

Tintin avec les BD pornographiques. Hergé doit se retourner dans sa tombe...

mercredi 11 juillet 2007

Les ringards !



Ils s'aiment....


Jack Lang claque la porte

Source : TF1.fr

Dans une lettre à François Hollande, Jack Lang annonce sa démission des instances dirigeantes du PS, expliquant qu'il ne se reconnaît plus dans les "méthodes de direction" du premier secrétaire du parti. "Aujourd'hui, je ne me reconnais plus à travers les méthodes de direction qui sont les tiennes", écrit Jack Lang dans cette lettre adressée à François Hollande et que l'ancien ministre rend publique. "En conséquence, je te présente ma démission de Secrétaire national et je suspends ma participation aux travaux du Bureau national", ajoute le député du Pas-de-Calais.

La réaction de François Hollande

La position de Jack Lang a été commentée avec plus ou moins d'acrimonie au sein du PS. Le Premier secrétaire, François Hollande, a affirmé mercredi qu'en démissionnant des instances dirigeantes du PS, Jack Lang démontrait qu'il allait "sans doute accepter" la mission proposée par Nicolas Sarkozy. "Jack Lang a anticipé l'application de la décision du Bureau national du PS" qui a voté mardi la suspension des instances dirigeantes tout responsable qui participerait "à titre personnel" à une commission mise en place par le gouvernement. Le député André Vallini a ainsi dit "regretter la décision de Jack Lang", qui "anticipe en quelque sorte la décision qui aurait été prise s'il décide de partir à la commission de réflexion sur les institutions sans mandat du Parti socialiste". Pour Henri Emmanuelli, irrité du bruit médiatique autour du cas Lang, "le PS, c'est 204 députés, 53 présidents de conseils généraux, 20 présidents de présidents de région, 270.000 adhérents. Le PS, ce n'est pas la destinée personnelle de telle ou telle personne qui fait parler d'elle depuis très longtemps d'ailleurs".

"Je trouve qu'on ne l'a pas bien traité jusque-là"

Plus sobre et en forme de "no comment", Jean-Marc-Ayrault juge qu'il "n'y a rien à dire (...) On a pris des positions claires et chacun assume ses responsabilités". Le président du groupe à l'Assemblée, s'est toutefois déclaré mercredi "triste" de la démission de Jack Lang de la direction du PS, mettant en garde Nicolas Sarkozy contre toute "intention politique de casser la gauche et le Parti socialiste".Seule marque de compréhension à l'égard de l'ancien ministre de la Culture, Manuel Valls estime que "dans les instances du Parti socialiste, on a besoin de son talent et de son implication. Je trouve qu'on ne l'a pas bien traité jusque-là".

Il y a quelques jours, Jack Lang avait été sollicité par Nicolas Sarkozy pour siéger dans une commission de réforme des institutions. Tout en se déclarant "honoré" de la proposition présidentielle, le député avait réservé sa réponse, affirmant attendre le discours que le chef de l'Etat doit prononcer jeudi sur les institutions. "Citoyen libre, je servirai mon pays selon les règles de conduite que seule ma conscience me dictera et fort de la confiance populaire qui m'est accordée", précise toutefois Jack Lang dans sa lettre.

mardi 10 juillet 2007

Argumentation !



Le FN passe au vote direct des adhérents pour son président


édition du 10 juillet 2007

PARIS (AFP) - Un bureau politique du Front national a entériné lundi le passage au vote direct des adhérents pour l'élection du président et du comité central du parti, au lieu du système indirect via des délégués départementaux en vigueur jusqu'à présent, a indiqué Jean-Marie Le Pen.

L'ancien système, qui nécessitait des "congrès départementaux" du FN était "compliqué et coûteux", a déclaré à l'AFP M. Le Pen, qui sollicite un nouveau mandat de président du Front national jusqu'en 2010.

Le vote direct des adhérents leur permet de "se sentir directement concernés par le parti, sa vie, ses objectifs", a-t-il indiqué, précisant que ce changement de mode de scrutin avait été entériné "à l'unanimité moins trois abstentions" par le bureau politique du FN.

Le vote pour renouveler le mandat du président du FN et désigner la centaine de membres du comité central - le "parlement" du parti - aura lieu à l'occasion d'un congrès du FN à Bordeaux, les 17 et 18 novembre.

En interne, le passage au vote direct est aussi interprété par certains comme une volonté de faciliter la tâche à Marine Le Pen, si celle-ci décidait de se présenter le moment venu à la succession de son père.

Le vote direct permettrait en effet de réduire l'influence de l'appareil du parti, réputé plus favorable à l'actuel numéro 2 du parti, le délégué général Bruno Gollnisch.

M. Le Pen a exclu par ailleurs que le congrès de Bordeaux soit l'occasion d'un débat sur le programme du parti, après le camouflet de la présidentielle et la déroute des législatives."

Nous ne faisons pas de politique pour avoir un grand nombre de voix", mais "nous proposons un programme, en souhaitant qu'il soit adopté par le plus grand nombre", a-t-il indiqué.

Le Paquebot du FN prend l'eau



Jean-Marie Le Pen a annoncé hier le licenciement d'une vingtaine de salariés du Front National qui travaillaient au Paquebot, le siège du parti à Saint-Cloud. Il s'agit pour le parti d'extrême-droite de faire d'économies pour éponger un passif de 8 millions d'euros après les mauvais résultats électoraux.

C'est un véritable plan social qui se prépare au siège du Front national, le Paquebot, à Saint-Cloud. Jean-Marie Le Pen a annoncé hier lors d'un bureau politique qu'il allait se séparer de presque la moitié de ses collaborateurs, soit une vingtaine de personnes sur la cinquantaine d'employés. Des licenciements devenus inévitables au vu des relevés de comptes du parti d'extrême droite qui sont dans le rouge depuis les dernières élections. La dette du FN s'élèverait à 8 millions d'euros.

En 2002, les candidats du Front national avaient recueilli environ 11% des suffrages. Cette année, leur score se situe autour des 4,5%. C'est cette différence qui explique que les subventions publiques, versées à tous les partis politiques en fonction des suffrages qu'ils récoltent, vont être très fortement réduites pour le FN. Elles devraient même être diminuées des deux tiers. Le Front National va donc devoir rembourser lui-même les frais de campagne de ses candidats.

Jean-Marie Le Pen tente depuis des semaines d'éviter ces licenciements. Il avait lancé un appel au don juste après les élections baptisé "SOS Front National". Le leader extrémiste avait aussi sonné l'alerte dans une vidéo sur internet. Sa dernière contre-attaque sera judiciaire : Jean-Marie Le Pen a porté plainte contre La Poste qui n'aurait pas distribué correctement les traques de campagne, ce qui expliquerait a posteriori les mauvais résultats du parti.

lundi 9 juillet 2007

dimanche 8 juillet 2007

Messe en latin : les médias fidèles à eux-mêmes


Il y a la mesquinerie :


... à laquelle s'ajoute l'incompétence crasse :
[D]ans le journal de TF1 de ce soir, le Cardinal Ricard est sous-titré : "PRÉSIDENT CONFÉDÉRATION ÉVÊQUE DE FRANCE"!!!

Pourtant, on ne demandait pas l'impossible aux journalistes, comme le rappelle Patrice de Plunkett :

Pour "bien comprendre" les motivations de ce Motu proprio c'est simple : il n'y a qu'à le lire, ainsi que la lettre du pape. Suggérons aux médias de procéder à cet exercice (contrairement à leur habitude en matière religieuse) ; cela s'appelle "s'informer", et permet d'écrire des choses exactes, complètes et raisonnables.

Ce sera pour une autre fois...

Source : le salon beige

samedi 7 juillet 2007

Cité du Vatican: le pape libéralise la messe en latin


Le pape Benoît XVI a publié un "motu proprio" libéralisant la célébration de la messe en latin. Ce rite tridentin avait été marginalisé après le Concile Vatican II (1962-1965). Le décret permet une réconciliation avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X d'Ecône (VS).

Dans une lettre aux évêques, le pape rejette les critiques selon lesquelles cette décision risque de diviser l'Eglise catholique et favorise sa frange traditionaliste. "Cette crainte n'est pas fondée", affirme Benoît XVI.

Le pape autorise désormais les catholiques à réclamer à leur prêtre de dire la messe, d'être baptisés ou d'être mariés selon l'ancien rite, dit de "saint Pie V". Celui-ci était en vigueur jusqu'en 1969, date où le missel de Paul VI est devenu obligatoire.

Si le prêtre refuse, les fidèles peuvent se tourner vers leur évêque, que le pape invite fermement à répondre favorablement à leur requête. Et si cette démarche échoue également, les fidèles peuvent encore solliciter le Vatican. Les évêques ont jusqu'au 14 septembre pour prendre leurs dispositions avant l'application du "motu proprio".

En Suisse, Mgr Bernard Genoud, évêque du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg a indiqué qu'il consulterait "dans le plus brefs délais" les responsables concernés "afin de connaître les attentes des fidèles et appliquer au mieux la Lettre Apostolique".

De leur côté, les catholiques intégristes adeptes de Mgr Lefebvre se sont réjouis "du rétablissement dans ses droits" de la messe en latin dans un communiqué. Mais ils affirment que "des difficultés subsistent encore" avec le Vatican sur certains points doctrinaux.

(ats / 07 juillet 2007 15:34)
C'est l'été !

Alors que la France grelote, les Manants du Roi nous proposent un relevé du climat en Lorraine depuis 1312. Extraits édifiants :

1458 Il ne pleut presque pas d'Avril à la mi-Octobre.

1483 Des raisins mûrs sont vendus au marché le 21 Juin

1516 Eté très chaud d'avril à Octobre : jamais on ne vit les rivières si basses

1709 Un hivers terrible débute le 5 Janvier. Le 15, les rivières sont gelées sur 2 pieds et demi d'épaisseur.

1719 L'été est si chaud que la terre desséchée est comme de la cendre,

Etc...

Le XXI° ne semble pas avoir l'exclusivité d'un climat changeant naturellement


Source le salon beige

vendredi 6 juillet 2007

Le Front national lance un SOS



édition du 5 juillet 2007


Au Front national, rien ne va plus. Les finances du parti en premier lieu. Ce n’est pas tant la présidentielle que les législatives qui ont vidé les caisses. Dans sa course à l’Élysée, le parti frontiste avait prévu un budget de 9 millions d’euros. L’Etat lui a remboursé 8 millions d’euros, le FN ayant obtenu plus de 5 % des voix au premier tour. Le parti est donc rentré dans ses frais. En revanche, les législatives ont été bien plus meurtrières. « En juin, nous avons perdu les 2/3 de notre budget », explique Jean-Michel Dubois, président du comité Le Pen président !. « Les gens ne se sont pas déplacés, l’abstention nous coûte cher », poursuit-il. En clair, pour les législatives, chaque voix rapporte au parti 1,63 euro par an. Avec 1,1 million de voix, le montant de l’aide publique accordée au FN est de 1,8 million d’euros, alors que celle-ci s’élevait à 2,9 millions depuis 2002.

Par ailleurs, le parti s’est engagé à rembourser la campagne de ses 362 candidats qui n’ont pas obtenu les 5 %. La somme à débourser pour honorer cet engagement s’élève à 8 millions d’euros. Jean-Marie Le Pen a donc lancé un appel au don à ses électeurs sur son site Internet. Le parti ne sait pas encore si l’opération, baptisée SOS Front national, portera ses fruits, mais Jean-Pierre Reveau, le trésorier du FN, affirme « recevoir des sommes non négligeables, même si ce n’est pas encore le grand flot ».

Si Jean-Marie Le Pen n’envisage pas de vendre le siège du Front national à Saint-Cloud, la location d’une partie du Paquebot n’est pas exclue. Une chose est sûre : sur les quarante-neuf salariés du Front national, une vingtaine de personnes seront licenciées en septembre, annonce Jean-Pierre Reveau.

jeudi 5 juillet 2007

Le 14 juillet, fête provinciale de l’UE


Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 5 juillet 2007

Le porte-parole de l’Elysée fait savoir que des détachements militaires des 26 partenaires européens de la France participeront au défilé du 14 juillet. C’est un « symbole extrêmement fort », souligne le ministre européiste de la Défense Hervé Morin.

En effet, c’est le symbole que la France entend dissoudre ce qui reste de sa défense dans le magma européen, comme le précise Hervé Morin lui-même.

En outre, le président en exercice de l’Union européenne, le président de la Commission européenne, le président du Parlement européen, et le Haut représentant de l’UE pour la politique étrangère, sont invités aux festivités par le Président Sarkozy.

Le 14 juillet n’est donc plus la fête nationale de la France mais une fête provinciale de l’Union européenne.

Cela est dans la logique du prétendu « traité simplifié » et de la photo officielle du Président avec le drapeau européen, mais n’a plus rien à voir avec les accents patriotiques de certains discours de campagne visant à capter l’électorat du Front National.

Affaire Clearstream: perquisition chez Dominique de Villepin

http://fr.news.yahoo.com édition du 5 juillet 2007


PARIS (Reuters) - Deux juges et des policiers se sont rendus au domicile parisien de Dominique de Villepin pour une perquisition dans l'enquête sur les faux listings de la société financière Clearstream, apprend-on de source judiciaire.Les enquêteurs de la Division nationale des investigations financières (DNIF) et les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons sont présents pour cette opération dans le XVIIe arrondissement, une première concernant un ancien Premier ministre.

On ignorait dans l'immédiat si Dominique de Villepin se trouvait sur place. il a toujours nié toute malversation et contesté avoir voulu s'en prendre à Nicolas Sarkozy.

Ce rebondissement fait suite à la découverte dans l'ordinateur du général Philippe Rondot de documents qui ravivent les soupçons de conspiration contre Nicolas Sarkozy visant Dominique de Villepin.

Trente-neuf fichiers informatiques du général Philippe Rondot, représentant 30.000 pages de notes, initialement détruits, ont été retrouvées dans la mémoire de son ordinateur par un expert judiciaire.

Dans deux fichiers relatifs à l'affaire Clearstream comportant quatre notes, retenues par les juges d'instruction Jean-Marie d'Huy et Henri Pons et publiées dans plusieurs médias, le militaire spécialiste du renseignement fait état de déclarations de protagonistes du dossier Clearstream.

Ils lui ont déclaré que Dominique de Villepin était à l'origine de la tentative de compromission devant la justice de Nicolas Sarkozy.

"Selon la source Mahdi, rencontrée le 28 mai 2004, Jean-Louis Gergorin aurait reçu instruction de Dominique de Villepin, elle-même formulée par le président de la République, de 'balancer' Nicolas Sarkozy", dit une première note.

Le général, interrogé mercredi par les juges d'Huy et Pons sur ces notes, a confirmé leur authenticité, a dit jeudi son avocat, Me Eric Morain. Le militaire a dit aux magistrats avoir eu "une réaction furieuse" lorsqu'on lui a fait état de la démarche imputée à Dominique de Villepin, selon le procès-verbal de son interrogatoire publié dans Le Monde.

L'Elysée n'a pas souhaité commenter ces nouveaux développements. Dominique de Villepin, entendu comme témoin le 21 décembre 2006, a nié toute malversation dans la matinée, parlant "d'allégations mensongères" et "d'accusations infondées".

"Pour sortir de cette situation inadmissible, il souhaite maintenant disposer du statut de témoin assisté pour pouvoir bénéficier, comme tout citoyen, du droit de se défendre et de faire valoir la vérité", disait un communiqué.

En visite à Dreux, le Premier ministre François Fillon a refusé de commenter l'affaire sur le fond, déclarant attendre les résultats de l'enquête "et des jugements (...) le cas échéant".
Villepin mis en examen ?

Dominique de Villepin est maintenant susceptible d'être mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse".

Philippe Rondot avait été chargé en janvier 2004 par Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires étrangères, d'une enquête parallèle sur les listings Clearstream qu'avait fait apparaître Jean-Louis Gergorin, alors vice-président de la société EADS.

Ces documents censés recenser des comptes bancaires occultes au sein de cette société financière luxembourgeoise, qui se sont révélés plus tard être des faux, comportaient les noms de centaines de personnalités, dont celui de Nicolas Sarkozy.

Les notes Rondot laissent penser que c'est sur instruction de Dominique de Villepin que Jean-Louis Gergorin a remis au printemps 2004 les listings au juge Renaud Van Ruymbeke, afin de susciter des investigations menaçantes.

"Dans un entretien avec JLG (Jean-Louis Gergorin, NDLR), le 4 mai 2004, j'ai appris que, après avoir selon lui reçu des instructions de Dominique de Villepin huit jours auparavant, il avait été décidé de parler au juge VR", dit une seconde note du général Rondot.

Une troisième note laisse entrevoir l'état d'esprit de Dominique de Villepin : "lors d'un entretien que JLG a eu avec DDV le 19 mai, ce dernier se serait montré à la fois jubilatoire et soucieux de ne pas apparaître dans le scénario".

Enfin, un autre note du général Rondot publiée par Le Monde fait état d'une intervention de Dominique de Villepin auprès de lui en mars 2004 afin de faire libérer Imad Lahoud, alias "Mahdi", auteur supposé des faux listings, d'une garde à vue ordonnée dans une autre affaire.

L'enquête du juge Van Ruymbeke n'a innocenté Nicolas Sarkozy qu'en 2005. Nicolas Sarkozy a porté plainte début 2006 pour "dénonciation calomnieuse" et il est toujours partie civile.

Jean-Louis Gergorin, ami de Dominique de Villepin, est en examen pour "faux et dénonciation calomnieuse", de même qu'Imad Lahoud. Un interrogatoire de ce dernier programmé jeudi chez les juges a finalement été annulé et reporté au 19 juillet.

Jacques Chirac, convoqué comme témoin ces derniers jours par les juges d'Huy et Pons, a refusé de venir en invoquant la séparation des pouvoirs et la Constitution.

mercredi 4 juillet 2007

Un cadeau FN !





Briquet "Bon voyage mon pote "
Briquet Blanc et Bleu slogan : "Vivre et travailler au pays, bon voyage mon pote"
Royaume-Uni : les ministres ne doivent pas utiliser le terme "musulman"

... en lien avec les attentats de Londres et Glasgow. C'est un ordre de Gordon Brown, confirmé par son porte-parole et rapporté par le Daily Express.

Bafweb relève le paradoxe suivant :

1°) Gordon Brown ne cesse de répéter que les attentats n’ont rien à voir avec l’islam.

2°) Gordon Brown invite à Downing Street les chefs de la “communauté musulmane” pour discuter de la façon de prévenir les attentats.

mardi 3 juillet 2007

L’intégration, solution à l’extrémisme islamiste ? Le contre-exemple anglais.


03/07/07 – 12h00 Londres (NOVOpress) -

Alors que les doctes chantres du mutlticulturalisme et du cosmopolitisme ne cessent d’expliquer que les phénomènes de violence et les dérives terroristes liées aux populations immigrées ne sont dûs qu’aux discriminations qu’elles subissent et à leur situation de précarité sociale, les récentes arrestations qui ont suivi les attentats islamistes ratés de Londres viennent à nouveau démontrer avec éclat l’inanité de cette thèse.

En effet, jusqu’à six médecins pourraient figurer parmi les neuf personnes arrêtées ou interrogées dans l’enquête sur ces tentatives d’attentats.

Des « terroristes au-dessus de tout soupçon », ayant eu jusqu’alors « une conduite exemplaire et d’excellents résultats scolaires », des « citoyens modèles », « diplômés », « cultivés »…

Bref pas grand-chose à voir avec le portrait misérabiliste, toujours en forme de début d’excuse, du pauvre étranger acculé à la violence et à la haine par une société xénophobe refusant de l’intégrer convenablement en son sein.

Puisse ces événements faire prendre conscience à certains des véritables enjeux et dangers liées aux flux migratoires et au développement de sociétés culturellement trop hétérogènes…

dimanche 1 juillet 2007

Ce soir sur TF1, un film culte !



Charles Duchemin, le directeur d'un guide gastronomique qui vient d'être élu à l'Académie Française, se trouve un adversaire de taille en la personne de Jacques Tricatel, le PDG d'une chaîne de restaurants. Son fils Gérard anime en cachette une petite troupe de cirque.
Le désastreux accord de Bruxelles


Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 25 juin 2007

En contribuant à ce désastreux accord de Bruxelles, qui marque à la fois la fin de la France en tant que Nation Souveraine et Indépendante et la naissance d’un Super Etat européen, Nicolas Sarkozy a trahi la charge que lui ont confiée les Français de Président de la République, garant de l’indépendance nationale.

Nous aurons l’occasion de revenir en détail sur les principales mesures qui ont été adoptées dans ce nouveau traité constitutionnel qui ne dit pas son nom, mais il est certain que, déjà, le Front National entre en résistance et en sera, dans les mois qui viennent, le fer de lance et le représentant des Français qui, au-delà de leurs divergences, souhaitent le maintien de la France en tant qu’Etat Nation, libre et souverain.

Je prends date pour la Présidence française du second semestre 2008 et pour les élections européennes de 2009 où je serai l’opposant numéro un à la politique européenne de Nicolas Sarkozy et à ses abandons de souveraineté en matière institutionnelle.

C'est arrivé près de chez vous ?

Tourangeau est de retour !

Tourangeau était en effet parti trois jours en formation dans la cité à Martine ! Et oui, à Lille !

Lille, ville à l'architecture magnifique !

Mais c'est également une ville très consmopolite où croiser un Français de souche voire un Européen tient du miracle !

Enfin, bref, on aura profité des monuments !