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Roselyne Bachelot a fait mentir le dicton qui veut que les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent : elle avait promis de se rendre au conseil des ministres chaussée de sabots de plastique rose si les athlètes de la délégation française aux JO de Pékin rapportaient 40 médailles. A la sortie de l'Elysée, aujourd'hui, le ministre de la santé, de la jeunesse et des sports a montré qu'elle était une femme de parole. C'est beau la politique.
Aujourd'hui 25 août, Saint Louis

Sarkozy commémore le massacre de Maillé"C'est cette faute qu'au nom de la Nation toute entière, je suis venu reconnaître et réparer aujourd'hui", a-t-il ajouté.
Le 25 août 1944, jour de la Libération de Paris, 60 à 80 soldats allemands ont tué par balles ou arme blanche 124 des 500 habitants de Maillé (Indre-et-Loire), dont 42 femmes et 44 enfants, avant de bombarder le village.
La veille, un accrochage entre un petit groupe de résistants et des soldats de la Wehrmacht avait eu lieu au nord de Maillé, situé sur un axe ferroviaire stratégique.
Selon lui, à l'aune du "souvenir tragique" de ce massacre, "on comprend mieux (...) ce que veut dire la civilisation et pourquoi il faut la défendre quand elle se trouve confrontée à la barbarie la plus totale". Dans ce cadre, Nicolas Sarkozy a cité le "sacrifice de nos dix jeunes soldats face à ces barbares moyenâgeux, ces terroristes que nous combattons en Afghanistan" (10 militaires tués la semaine dernière après une embuscade des talibans à l'est de Kaboul).
Par ailleurs, samedi, on a appris que le Mémorial de l'Holocauste,à Berlin, qui commémore le massacre des juifs d'Europe par les nazis, avait été profané. Onze dessins de croix gammées ont été retrouvés sur sept stèles du monument, l'un des plus visités de la capitale allemande.
Une semaine plus tôt, le monument dédié aux "Triangles roses", ces milliers d'homosexuels déportés ou torturés par les nazis, avait été profané à Berlin moins de deux mois après son inauguration.
Source: Yves Daoudal
Démission du Président pakistanaisLe PIB a été en recul au deuxième trimestre, et les économistes, qui ne croient pas aux bonnes paroles de Mme Lagarde, mais voient les chiffres et les tendances, s’attendent à une véritable récession au cours des prochains mois.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, le PIB de la zone euro a été également en recul, pour la première fois de son histoire. Ce qui n’est pas une consolation, mais une preuve que la zone euro est une mauvaise invention.
« Ensemble, tout devient possible », disait le slogan de M. Sarkozy.
En effet, même la récession.
Ce n’est sans doute pas dans ce sens-là que l’imaginaient ses électeurs…
Mikhail Saakashvili s'exprimait lors d'une réunion du conseil national de sécurité, quelques heures après l'annonce de la prise de Gori, située sur le principal axe est-ouest, entre l'Ossétie du Sud et la capitale géorgienne Tbilissi.
Jean-Marie Le Pen annonce avoir signé une promesse de vente du "Paquebot", le siège de son parti à Saint-Cloud, près de Paris, à une université de Shanghai."Nous avons signé une promesse de vente notariée avec une université de Shanghai", déclare le président du Front national confirme à L'Express.fr.

Le chiffre, surprise d'un sondage Ifop publié mardi par le journal belge Le Soir et le quotidien français La Voix du Nord, confirme le raidissement de part et d'autre de la frontière linguistique. Jusqu'ici, les 4 millions de Wallons passaient comme l'ultime rempart du royaume. Depuis des années, ils encaissent sans rien dire les exigences de leurs 6 millions de compatriotes flamands et toutes leurs velléités de prendre le large. Aujourd'hui, ils commencent à se rebiffer et font monter les enchères.
Chez les francophones, les hommes politiques qui prônent une forme d'union ou une autre avec le grand voisin du sud se comptent sur les doigts d'une main. Leurs partis, groupusculaires, à l'image du Rassemblement Wallonie-France (RWF), font rarement plus de 1 % des voix. Et même côté flamand, les partisans d'une séparation, amiable de préférence comme les Tchèques et les Slovaques, n'obtiennent le suffrage que d'un électeur sur 10 à peine.
Ce sondage ne serait-il qu'un geste de dépit ? «C'est plutôt un cri, explique l'éditorialiste du Soir Luc Delfosse. Les francophones sont terriblement en colère. Contre la loi du nombre que la classe politique flamande veut imposer dans la gestion du royaume. Et contre le premier ministre Yves Leterme, pompier, pyromane et somme toute incapable de prendre une décision. Le divorce n'est pas pour demain. Mais en cas de malheur, les Wallons veulent croire que la France pourrait être le refuge.»
L'écrasante majorité des Wallons reste cependant optimiste sur la survie du ménage belge, d'après la même enquête. Certes l'approfondissement, la gravité et les risques de la crise sont presque unanimement reconnus (93 %). Mais seuls 23 % des Belges francophones estiment que la rupture et la disparition du couple sont aujourd'hui plausibles (contre 59 %). Dans ce cas, ils se jetteraient bien dans des bras français. Mais c'est un scénario qui passe par le pire. Mieux vaut l'éviter.
Depuis la troisième démission d'Yves Leterme (refusée par le roi), les partisans du rattachement redressent la tête. L'union avec l'Hexagone, sujet longtemps sulfureux, n'apparaît plus tout à fait comme une blague, dit le politologue Pascal Delwit. Le RWF colle partout ses affichettes en détournant la devise du royaume : «Avec la France, l'union fera la force.» À l'image de Paul-Henry Gendebien, les francophiles soulignent une longue proximité culturelle, judiciaire et administrative, héritage de la Révolution française, de Napoléon et des idéaux fondateurs du royaume. «En 1830, dit-il, la Belgique voulait être une deuxième petite France.» Ce romantisme risque cependant de se heurter à de solides réalités (lire ci-dessous). Comme avec le Québec mais cette fois dans un voisinage direct, la France s'en tient pour le moment à une ligne qui peut devenir acrobatique : ni ingérence ni indifférence.
L'Union européenne s'inquiète, avec les 25 autres pays membres, de l'éventuelle disparition d'un des six signataires du traité de Rome. Le modèle d'intégration du Vieux Continent connaîtrait a fortiori des heures difficiles si le royaume qui abrite l'essentiel de ses institutions venait à disparaître. Avec, circonstance aggravante, une hypothétique rectification de frontière…
Perversion des mots : « Citoyen »