
samedi 31 mars 2007
vendredi 30 mars 2007
mercredi 28 mars 2007
mardi 27 mars 2007
On connaissait la question de Thierry Ranx Xerox Ardisson “est ce que sucer c’est tromper ?”. On connaissait la question « sous marin » de Jean-Jacques Bourdin (qui doit secrètement espérer l’élection de Jean-Marie Lepen après avoir ridiculisé Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy). Désormais il faudra compter sur la nouvelle question made in Pascale Clark spéciale candidat "vous prenez de la cocaïne ?".
Et toi Pascale, tu as déjà vu des gens prendre de la cocaïne ??
D'après les médias des affrontements ont eu lieu cet après midi dans la capitale après qu'un individu qui n'avait pas de titre de transport sur lui ait asséné un coup de tête au contrôleur de la RATP qui ne faisait là que son travail. L'individu a été interpellé par une patrouille de gendarmes qui était sur place. Cette arrestation n'aurait alors pas plu à quelques dizaines de personnes qui ont rapidement rameutés de leurs amis et ont commencé à s'en prendre aux forces de l'ordre. Les policiers appelés en renfort ont alors subis un harcellement en règle, avec des jets de divers projectiles. Les incidents " très violents " ( TF1 ) se poursuivent sporadiquement.
dimanche 25 mars 2007
vendredi 23 mars 2007
Hier, lors d'un meeting, Ségolène Royal a exalté La Marseillaise :
"La Marseillaise, c’est le chant de la lutte contre toutes les forces de la tyrannie, c’est le chant du peuple qui s’est levé contre toutes les forces de l’Ancien Régime, c’est la chant qui a été repris dans tous les pays où il a fallu secouer le joug de l’oppression, c’est le chant que Louise Michel [militante anarchiste sous la Commune, NDMJ] faisait chanter à ses élèves".
Ce n'est donc plus l'hymne national, rassembleur, mais le chant révolutionnaire, qui divise la France. Le comble, c'est que pendant que la salle chantait, la dame du PS n'a pas desserré les lèvres.
jeudi 22 mars 2007
mercredi 21 mars 2007

Dans une déclaration d'environ une minute et demie, enregistrée dans le Jardin d'hiver du Palais de l'Elysée à l'issue du Conseil des ministres, le chef de l'Etat a indiqué avoir, avec le Premier ministre Dominique de Villepin, reçu le matin le numéro deux du gouvernement.
"Nicolas Sarkozy nous a fait part de son souhait de quitter le gouvernement lundi prochain et ceci pour se consacrer pleinement à la campagne électorale", a lancé le chef de l'Etat. Il a rendu hommage au ministre en indiquant que l'entretien avait été pour les deux têtes de l'exécutif "l'occasion de saluer son travail, son engagement, ses résultats au ministère de l'Intérieur".
Peu après, interrogé par l'AFP, l'entourage de Xavier Bertrand, ministre de la Santé et porte-parole du candidat UMP, a annoncé la démission de M. Bertrand, également à la date du 26 mars. Il devrait être remplacé par le ministre délégué à la Sécurité sociale Philippe Bas, selon des sources concordantes gouvernementales.
"S'agissant de mes choix personnels, les choses sont simples. Il y a cinq ans, j'ai voulu la création de l'UMP", a encore dit M. Chirac. "Dans sa diversité, cette formation politique a choisi de soutenir la candidature de Nicolas Sarkozy", "en raison de ses qualités", a poursuivi M. Chirac.
C'est donc "tout naturellement que je lui apporterai mon vote et mon soutien", a conclu M. Chirac.
mardi 20 mars 2007
«L’homme du patriotisme» fait partie de ces derniers. Depuis des semaines, le président du Mouvement Pour la France et son porte-parole Guillaume Peltier s’insurgent du traitement médiatique qui leur est réservé. Loin de la posture de François Bayrou qui a surfé sur la méfiance des Français vis-à-vis des grands médias pour se faire mousser, ils décrivaient une réalité reconnue par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Selon un relevé du CSA, révélé hier par l’AFP, les 5 principales chaînes de télévision ont en effet accordé, entre le 1er décembre et le 2 février, 12 heures de temps de parole à Nicolas Sarkozy, 10 heures à Ségolène Royal et 52 minutes à… Philippe de Villiers dans les journaux et magazines d’information ! La règle de l’égalité du temps de parole devrait sonner le glas de ce matraquage médiatique. Et permettre enfin à Philippe de Villiers de présenter aux Français son projet présidentiel. Fort de ces réussites vendéennes, sur lesquelles il ne manquera pas de s’appuyer et convaincu que le patriotisme est la seul réponse face aux problèmes majeurs de la France, Philippe de Villiers se présente comme une alternative à droite entre un Nicolas Sarkozy qui met ses pas dans ceux de la gauche et un Jean-Marie Le Pen qui se contente de protester. Philippe de Villiers se dit persuadé de pouvoir convaincre les Français au cours des prochaines semaines grâce à l’égalité du temps de parole. Mais la vigilance reste de mise. Jusqu’au 9 avril prochain, si l’égalité du temps de parole doit être respectée, le temps d’antenne (temps de parole + éléments éditoriaux) demeure, lui, régit par la règle de l’équité, laquelle est calculée en fonction «de la notoriété et de l’influence des candidats, de leur représentativité et de leurs activités de campagne», rappelle l’AFP (19.03). Des critères assez flous pour permettre aux médias de choisir les candidats qu’ils souhaitent mettre en avant et d’exclure les autres ! L’égalité stricte de temps de parole et de temps d’antenne ne s’appliquera qu’à partir du 9 avril.
lundi 19 mars 2007
vendredi 16 mars 2007

Onze candidats ont affirmé disposer des 500 signatures requises pour participer à l'élection présidentielle, vendredi à 18H00, à l'expiration du délai pour le dépôt des parrainages au Conseil constitutionnel, un douxième, José Bové, faisant durer le suspense.
Les candidats ayant annoncé avoir franchi le seuil légal sont François Bayrou (UDF), Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire), Marie-George Buffet (PCF), Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière), Jean-Marie Le Pen (Front national), Frédéric Nihous (Chasse, pêche, nature, traditions), Ségolène Royal (PS), Nicolas Sarkozy (UMP), Gérard Schivardi (soutenu par le Parti des Travailleurs), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France) et Dominique Voynet (Verts).
José Bové, qui s'est présenté au Conseil constitutionnel 30 minutes avant l'heure limite, en est ressorti en affirmant qu'il "devrait avoir" les 500 parrainages requis mais devait attendre la confirmation lundi du Conseil constitutionnel.
source : le salon beige, Michel Janva
jeudi 15 mars 2007
Membre du réseau Libération-Sud sous l’Occupation, elle avait notamment réussi à faire évader son mari, arrêté à Caluire avec Jean Moulin en 1943, grâce à une rencontre avec Klaus Barbie. Elle est décédée cette nuit à l’âge de 94 ans.
Née le 29 juin 1912 en Bourgogne, Lucie Aubrac, qui était agrégée d’histoire et militante aux Jeunesses communistes, enseigne au lycée Edgard-Quinet à Lyon jusqu’en novembre 1943, date de sa révocation pour ses convictions gaullistes. A partir de novembre 1942, elle organise plusieurs évasions dans la région lyonnaise. Mais le 21 juin 1943, son mari Raymond Aubrac est arrêté par Klaus Barbie avec Jean Moulin, chef du Conseil national de la Résistance et une dizaine de résistants à Caluire. Quatre mois plus tard, elle réussit à libérer son mari et treize autres résistants lors transfert. Recherchée par la Gestapo, elle rejoint Londres le 8 février 1944.
A la Libération, Lucie Aubrac rejoint son mari, nommé commissaire de la République à Marseille, puis représente le Mouvement de libération nationale à l’Assemblée consultative à Paris. Celle qu’Emmanuel d’Astier de la Vigerie avait surnommée "Madame conscience" est également membre du jury de la Haute Cour de justice du procès Pétain.
Elle poursuit son engagement militant, pour Amnesty international, puis dans les rangs du Réseau Femmes pour la parité.
Engelbert Siebler, l'évêque auxiliaire de Munich (Allemagne), souhaite offrir à Benoît XVI un total de 80 bouteilles de bières, correspondant aux 80 années que le pape doit fêter le 16 avril prochain, a-t-il annoncé ce mercredi. Une bière brune a été brassée spécialement pour l'occasion par la brasserie munichoise de Weihenstephan, qui dit être la plus vieille du monde.
Communiqué de Jean-Marie Le Pen
Le Front national, quant à lui, n’a pas peur de faire entrer au Parlement les représentants que le peuple se choisit. Car le Front national, contrairement à Jack Lang, n’a pas peur du peuple, il considère au contraire que c’est son honneur de le servir, et d’abord de le respecter.
Communiqué de Louis Aliot
Nous ne comprenons pas très bien pourquoi certaines personnes communiquent à la presse, au nom de l’Union Patriotique des informations totalement fantaisistes.
Le Front National tient à remercier l’ensemble des maires qui ont bien voulu parrainer Jean-Marie Le Pen et lui permettre d’être candidat à l’élection présidentielle de 2007
Le citoyen hélvétique Tarik Ramadan va apparamment avoir quelques souvenirs malheureux de son récent séjour dans notre pays puisque, de passage à l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle et en transit pour Londres, le prédicateur musulman, celui qui ne voit pas de mal à la lapidation des femmes s'est retrouvé en garde-à-vue dans les locaux de la police aux frontières après avoir insulté un fonctionnaire de police - une femme justement - qui lui faisait la remarque qu'il empruntait un mauvais couloir. La jeune femme a déposé plainte contre monsieur Ramadan et il devra se présenter début avril face à la justice française.
Ah ! ces femmes !
mercredi 14 mars 2007
C'est la fin d'un long feuilleton pour le candidat du Front national. Jean-Marie Le Pen a déposé cet après-midi les 500 parrainages nécessaires à sa candidature. Le candidat frontiste a précisément déposé 535 parrainages, ce qui lui permet d'envisager sereinement la validation de sa candidature par les sages du Conseil constitutionnel. Démentant toute dramatisation à but électoral, Jean-Marie Le Pen a affirmé avoir eu les pires difficultés à vaincre la réticence des élus en dépit des appels de Nicolas Sarkozy et de plusieurs responsables UMP en sa faveur.
Le candidat de l'UMP avait déclaré qu'il se "battrait" pour que le président du Front national, mais aussi le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot, puisse se présenter à la présidentielle. Plusieurs responsables du FN, dont Marine Le Pen, vice-présidente, ont assuré que le "message" du candidat de l'UMP n'avait pas eu "d'effet particulier", son appel ne s'adressant pas directement aux élus UMP.
"Il y a eu une offensive de sabotage délibéré, organisé. C'était très inquiétant", a déclaré Jean-Marie Le Pen mecredi lors du dépôt de ses parrainages. Fin février, le dirigeant du Front national avait porté plainte en diffamation contre Philippe de Villiers et pour vol contre les auteurs présumés d'une offensive "très calculée", selon lui, visant à dissuader les élus de le parrainer. Or, la police judiciaire est parvenue à confirmer la thèse d'un piratage informatique et à identifier le poste de travail, à l'intérieur même du siège du FN, où un inconnu s'est procuré la liste des élus qui avaient promis leur signature.
Cette liste pourrait avoir été mise à profit par des inconnus pour un démarchage téléphonique menées auprès des élus par des personnes se disant journalistes, ou se présentant comme des dirigeants du FN. Ces inconnus auraient tenté ces dernières semaines de dissuader les intéressés d'apporter leur signature ou assuré qu'elles n'étaient plus nécessaires. Jean-Marie Le Pen a accusé implicitement Philippe de Villiers d'être derrière ces manoeuvres visant à l'écarter de la course à l'Elysée. Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF), a déposé mardi la totalité des 500 parrainages d'élus. L'écologiste Antoine Waechter a pour sa part fait savoir qu'il renonçait à se présenter à l'élection.
mardi 13 mars 2007
Jean-Marie Le Pen "pense sincèrement" qu'il obtiendra les 500 parrainages requis pour se présenter à l'élection présidentielle et a estimé lundi à "quelques dizaines" le nombre de signatures qui lui manquent.
"Je pense sincèrement que nous les aurons parce qu'il y a une prise de conscience des maires qui n'ont pas voulu que le combat se déroule simplement entre les trois candidats du système. Ils ont voulu que le peuple puisse s'exprimer", a dit le candidat d'extrême droite sur TF1.
Dans la matinée, le secrétaire général du Front national Louis Aliot avait déclaré que Le Pen ne devait plus trouver qu'une trentaine de parrainages.
Les candidats ont jusqu'à vendredi 18h00 (17h00 GMT) pour déposer leurs 500 signatures devant le Conseil constitutionnel.
Au sujet de la proposition du candidat UMP, Nicolas Sarkozy, de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale en France, Jean-Marie Le Pen a dénoncé "une boîte vide" dans laquelle "on ne sait pas ce qu'il va y avoir".
Source: Cyril Bozonnet
Philippe de Villiers disposait mardi matin de 490 parrainages d'élus, sur les 500 requis pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, a annoncé son porte-parole Guillaume Peltier.
lundi 12 mars 2007
Hier soir, Jacques Chirac a dit : "ne composez jamais avec l'extrémisme".
Bernard Antony accuse le président d'avoir "composé avec le pire extrémisme" :
"S’il y a un homme qui a en effet composé, collaboré toute sa vie avec le pire des extrémismes, avec le pire des racismes, c’est bien lui, Jacques Chirac, qui en un demi siècle de vie politique n’a jamais fait un seul geste pour les victimes du communisme et ses cent millions de morts, et les milliards de personnes de tous les peuples qui ont souffert dans son empire esclavagiste depuis 1917. [...] L’avorteur en chef Jacques Chirac, promulguant la loi Veil n’a jamais eu qu’une haine : celle des racines chrétiennes de la France et des valeurs de la culture de vie authentique, il n’a jamais un seul mot pour évoquer les atrocités sans fin commises par les régimes du marxisme-léninisme. Il a été ainsi le complice du pire et du plus long des extrémismes que la terre ait jamais connu."
Pour Bruno Gollnisch :
"une opinion, une doctrine, un courant politique, des citoyens, s’apprécient en fonction de leurs qualités ou défauts intrinsèques. Leur coller une étiquette est un moyen commode d’exclure. Cela ne saurait tenir lieu d’argument, de confrontation, de critique. [...] La seule question qui vaille est de savoir si une idée est juste ou fausse. La récuser a priori du fait de sa position sur l’échiquier politique, à un moment donné, est une extrême sottise."
Source : le salon beige, Michel Janva
Dimanche , au grand meeting de l’Union des Patriotes à,Lyon, Bruno Mégret "a été bien accueilli" par Bruno Gollnisch et les 2500 personnes présentes, puis a assisté au discours de Jean Marie Le Pen . A la fin de la réunion, la Marseillaise finale a réuni les trois hommes.
Parmi les personnalités étaient présents : Pierre Vial de l'association Terre et peuple, Alain Soral, Claude Reichman, et Christian Perez, président du Parti populiste français (PPF). Lors du meeting, seuls Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen se sont exprimés.
Source : Vox Galliae
" Je pense que Jacques Chirac aura été le plus mauvais président de la République de l'Histoire de France. Je perds en sa personne, et je m'en félicite, mon meilleur ennemi. La preuve qu'il a conduit le pays au désastre, c'est que pas un seul candidat de sa majorité, ni M. Bayrou, ni M. Sarkozy, ne se réclame de lui. Au contraire, chacun d'entre eux veut s'en détacher et marquer sa différence, personne ne veut assumer le bilan de Jacques Chirac. De surcroît, il a été le symbole de la corruption politique aux yeux du monde entier. Peut-être d'ailleurs à peine sorti de l'Elysée, il aura à rendre compte à la justice française d'un certain nombre de choses qui lui sont reprochées et qu'il a laissé porter jusqu'à présent sur les épaules de ses collaborateurs "
dimanche 11 mars 2007
PARIS (Reuters) - Jacques Chirac a annoncé ce soir qu'il ne briguerait pas un troisième mandat de président de la République après douze ans passés à l'Elysée et qu'il servirait désormais la France "autrement".
"Au terme du mandat que vous m'avez confié, le moment sera venu pour moi de vous servir autrement. Je ne solliciterai pas vos suffrages pour un nouveau mandat", a déclaré le chef de l'Etat lors d'une allocution radio-télévisée.
"D'une manière différente, mais avec un enthousiasme intact et la même passion d'agir pour vous, je continuerai à mener les combats qui sont les nôtres, les combats de toute ma vie, pour la justice, pour le progrès, pour la paix, pour la grandeur de la France", a ajouté Jacques Chirac qui, à 74 ans, mettra fin en mai à une carrière politique longue de plus de 40 ans.
Le chef de l'Etat s'est abstenu de soutenir le moindre candidat déclaré à l'élection présidentielle.
"S'agissant des échéances électorales, j'aurai l'occasion d'exprimer mes choix personnels", a-t-il dit.
Dans son message long d'une dizaine de minutes, Jacques Chirac a dit son "émotion" de s'adresser ainsi aux Français.
"Pas un instant, vous n'avez cessé d'habiter mon coeur et mon esprit. Pas une minute, je n'ai cessé d'agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j'aime autant que je vous aime", a-t-il dit.
"La France, mes chers compatriotes, je l'aime passionnément. J'ai mis tout mon coeur, toute mon énergie, toute ma force à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c'est l'engagement de toute ma vie", a assuré le chef de l'Etat.
A six semaines du premier tour de l'élection présidentielle, il a invité les Français à se méfier des extrêmes.
"Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre. Dans notre histoire, l'extrémisme a déjà failli nous conduire à l'abîme. C'est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l'âme de la France dit non à l'extrémisme", a-t-il dit.
Jacques Chirac a également demandé à ses compatriotes de "croire (...) en la France" et dans la construction européenne.
"La France doit affirmer l'exigence d'une Europe puissante, d'une Europe politique, d'une Europe qui garantisse notre modèle social. C'est notre avenir qui est en jeu. Portons toujours cet idéal et cette volonté", a-t-il souligné.
L'ancienne ministre de l'Environnement Corinne Lepage a décidé d'abandonner la course à la présidentielle, et rejoint le candidat UDF François Bayrou, comme elle l'explique dans un entretien au Journal du Dimanche.
"J'ai décidé de rejoindre François Bayrou, malgré ma capacité à obtenir mes 500 signatures. En effet, il incarne aujourd'hui un véritable changement dans le pays, qui peut permettre à l'écologie politique d'occuper la place qui lui revient", explique la dirigeante du mouvement Cap 21.
"François Bayrou et moi partageons de nombreuses idées, tant sur la moralisation de la vie publique que sur la nécessité de fonder une VIème République", ajoute-t-elle.
"J'aurai bien plus de poids pour défendre l'écologie politique en faisant équipe avec François Bayrou", dit-elle.
"Cap 21 ne fusionne pas avec l'UDF, mais travaille à constituer un pôle d'écologie politique au sein de la dynamique qui se crée", a-t-elle ajouté.
Le 26 février, Mme Lepage avait expliqué qu'elle voterait, le cas échéant, "plus facilement pour (François) Bayrou que pour d'autres" au second tour de l'élection présidentielle.
Avec le candidat de l'UDF, "il y a des choses qui nous rapprochent incontestablement" même si "je le dis depuis un petit peu plus longtemps que lui", avait-elle déclaré.
Source : La Croix
vendredi 9 mars 2007
Hier dans l'émission "A vous de juger", Nicolas Sarkozy a proposé de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale. Nicolas Dupont-Aignan a déploré qu"'on prenne les Français pour des imbéciles à longueur de journée" :
"C'est quand même surréaliste que le ministre de l'Intérieur qui a été cinq ans au pouvoir, qui nous a fait voter je ne sais combien de lois, propose maintenant un ministère".
Le président de Debout la République s'est demandé si "un jour on va boucher les trous du bateau où il y a l'eau qui rentre, au lieu d'écoper en amusant la galerie".
Et de préconiser "la suspension du regroupement familial qu'il faut oser accomplir".
jeudi 8 mars 2007
FÊTE « 500 PARRAINAGES »>
Vendredi 23 MARS 2007 >
Venez fêter la première victoire>
de Philippe de Villiers en 2007>
« l'obtention des 500 parrainages »>
>
RDV à 19h30>
Pour un banquet campagnard>
À l'Hôtel TURONE>
Place de la Liberté (ex Place Thiers) à TOURS>
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NOUVELOBS.COM 08.03.2007 18:20
Le candidat du MPF a estimé qu'il lui manquait encore une cinquantaines de signatures d'élus pour se présenter.
Le candidat du Mouvement pour la France (MPF) Philippe de Villiers a expliqué mercredi soir qu'il lui manquait encore "une cinquantaine" de parrainages dans la perspective de l'élection présidentielle. Interrogé sur les récents sondages qui le créditent de 1 ou 2% des suffrages, il a répondu sur France-24 que "le vainqueur ne voit personne dans sa course et d'ailleurs on le croit perdu" et "il arrive en vainqueur". Selon lui, la campagne est actuellement dans "la première phase", celle "dans laquelle les médias, les sondeurs, mesurent la visibilité". "Moi, j'ai une visibilité de 1% par rapport aux autres candidats, par rapport à ceux que l'on voit tout le temps et que l'on voit trop souvent", a ajouté Philippe de Villiers.
"Il dérape"

"Le président de la République s'adressera aux Français le dimanche 11 mars à 20h". Dans un communiqué laconique, l'Elysée a fait savoir jeudi en milieu de matinée que Jacques Chirac annoncera son choix de se représenter ou non lors d'une allocution télévisée.
A moins de sept semaines du premier tour de l'élection présidentielle, il ne fait néanmoins guère de doute que Jacques Chirac, 74 ans, ne se lancera pas dans la course à sa propre succession. Deux jours après le sommet européen de Bruxelles, le dernier de son second mandat, le chef de l'Etat devrait donc annoncer son retrait de la vie politique. Il devrait ensuite, sous une forme ou une autre, confirmer son soutien à Nicolas Sarkozy.
PARIS (AFP) - Marine Le Pen, directrice de campagne de président du Front National , a affirmé jeudi qu'"il y a vraiment un très grand danger aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen soit absent de la compétition" présidentielle."Il nous manque aujourd'hui 77 signatures. On ne peut pas garantir qu'il sera candidat (...) Nous sommes inquiets", a ajouté Mme Le Pen sur i-Télé, en observant qu'il restait "six jours ouvrables" avant le 16 mars, date limite de dépôt des 500 formulaires de parrainages au Conseil constitutionnel. Selon la vice-présidente du FN, "il y a vraiment un très grand danger aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen soit absent de la compétititon, avec toutes les conséquences catastrophiques que cela entraînerait". Elle a une nouvelle fois dénoncé le système des parrainages "vidé de son sens" et qui "sert aujourd'hui à toutes les manipulations et toutes les pressions politiques".
mercredi 7 mars 2007
PARIS (Reuters) - Nicolas Miguet, candidat à l'Elysée au nom du Rassemblement des contribuables français (RCF), est soupçonné d'avoir détourné des parrainages présidentiels et a été placé en garde à vue mardi, a-t-on appris dans l'entourage de l'homme d'affaires.
Nicolas Miguet, qui n'avait pu aller au bout de sa précédente candidature présidentielle en 2002 faute de parrainages, a fait parvenir aux maires de plusieurs départements un document présentant l'ensemble des candidats et de leur programme.
Le document, intitulé "République française, que ton règne vienne", leur demandait également d'envoyer leur parrainages à une adresse du VIIIe arrondissement de Paris.
Fin février, le Conseil constitutionnel avait mis en garde les élus contre ce qu'il avait qualifié de "faux documents officiels".
"La construction du document ne pouvait conduire que des imbéciles à adresser leur parrainage (boulevard de Courcelles) et non au Conseil constitutionnel", a expliqué à Reuters Nicolas Martin du Nord, président de la holding Nicolas Miguet Associés.
"Il n'y a aucun détournement possible. Nous ne sommes pas dans une démarche qui puisse induire en erreur", a-t-il insisté en se disant "très choqué de l'instrumentalisation du système judiciaire par le politique".
Le siège de la holding a été perquisitionné pendant deux heures en fin de journée, a-t-il rapporté. La plupart des documents "République française" ont été saisis.
Nicolas Miguet, éditeur de lettres boursières, a été placé en garde à vue par la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) où il avait été convoqué en début d'après-midi.
"Il assume", a déclaré Nicolas Martin du Nord. "Il a à se reprocher d'avoir été un poil à gauche de la bande blanche", mais ce n'est pas une raison "pour l'embastiller".
Selon le patron de Quotidien de Paris Editions, Nicolas Miguet fait face à des "difficultés majeures" pour réunir les 500 parrainages présidentiels nécessaires pour se présenter, qui doivent être envoyés au Conseil constitutionnel avant le 16 mars.
Fin février, le candidat "de la société civile" faisait état sur son site internet de 450 promesses de parrainages.
Passé par les Jeunes Giscardiens et l'UDF, Nicolas Miguet a créé son parti, le RCF, en 1999, avec un seul slogan: "Moins d'impôts maintenant !"
En avril 2004, il avait mené la fronde des actionnaires contre la direction d'Eurotunnel.