Le 29 mai 2005, les Français rejetaient par referendum avec près de 55% des voix la Constitution européenne.Seul un nouveau referendum pouvait éventuellement inverser ce résultat de 2005.
Nicolas Sarkozy, à peine élu Président de la République, en a décidé autrement en faisant adopter par le Parlement, réuni en Congrès, un texte quasi identique rebaptisé Traité de Lisbonne et ce, au mépris du droit et de la légitimité démocratique.
Le Front national qui s'opposa tant au texte initial qu'au texte modifié, comme constituant une atteinte grave à la souveraineté, à l'indépendance et à l'identité de la France, apparaît aujourd'hui comme le seul mouvement politique apte à défendre l'identité française et le droit des Français de choisir leur avenir.
La dilution de la France dans un ensemble euro-turc n'est pas inéluctable à condition que les Français manifestent clairement leur opposition lors des élections européennes de juin 2009.
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