
lundi 30 avril 2007
dimanche 29 avril 2007

"Dès le lendemain 23 avril, j'ai dit clairement à Philippe de Villiers que pour ce qui me concernait je ne pouvais appeler à voter pour Nicolas Sarkozy, cela pour la raison principale que, conformément au dispositif du plan Merkel qu'approuvait encore bruyamment le candidat UMP en mars dernier, il ferait adopter un nouveau traité constitutionnel (rebaptisé "institutionnel") par la voie parlementaire, ce qui, s'il était élu, pourrait se faire sous présidence française dès le début de l'année 2008. [...]. J'ai donc dit à Philippe mon intention d'appeler à voter blanc et de le faire savoir [...]. C'est donc tout naturellement que mercredi 25 j'ai publié un communiqué [...]
Après la publication de ce communiqué, divers journalistes m'ont appelé et pour l'un d'eux il est ressorti de notre conversation que "je ne voulais plus avoir de lien avec le MPF". C'était aller très au-delà de ce que j'ai dit : je n'ai fait que rappeler en effet que je n'étais pas formellement membre du MPF, mais plutôt du RIF (Rassemblement pour l'Indépendance de la France) [...]
Je tenais à faire cette mise au point au cas où certains d'entre vous seraient tentés d'extrapoler à partir de propos qui étaient eux-mêmes des extrapolations."
vendredi 27 avril 2007
Ce Russe que l'on surnommait le "roi des violoncellistes" avait acquis la réputation d'un champion des droits de l'homme à l'époque soviétique, durant laquelle le Kremlin l'avait déchu de sa citoyenneté. Il était ami de l'écrivain dissident Alexandre Soljenitsyne.

Bruno Mégret a appelé à un "congrès d'Epinay de la droite nationale" (laquelle idée avait été proposée par Bruno Gollnisch), pour "proposer une force nouvelle et crédible" aux Français.
Il a annoncé que, pour "faire un premier pas" vers l'union, le MNR ne présenterait pas de candidats dans 15 circonscriptions où se présentent des dirigeants du FN, ainsi que dans 5 circonscriptions convoitées par des dirigeants du MPF, et dans la circonscription du député de l'Essonne ex-UMP Nicolas Dupont-Aignan.
Par ailleurs, M. Mégret a recommandé pour sa part que "pas une voix n'aille à la gauche", laissant ainsi le choix entre l'abstention ou le vote blanc, et le vote Sarkozy.

Le député européen souverainiste Paul-Marie Coûteaux qui s'était fait élire sur la liste portée par le Mouvement Pour la France et qui soutenait avec pourtant une apparente conviction la candidature de Philippe de Villiers à la présidentielle a annoncé aujourd'hui qu'il quittait le navire MPF en raison de l'appel du président du Conseil général de Vendée de voter pour Nicolas Sarkozy. Il appelle à voter blanc au second tour.
Les quelques élus et militants du FN qui avaient au cours de l'année 2006 décidés de s'en aller au MPF se sont certainement gaussés de la relative perte de vitesse du Front National, pensant que c'était grâce à leur prévoyance que " le clan Le Pen " avait mordu la poussière. Or, ça bouge aussi dans le parti de Philippe de Villiers et pas toujours du côté attendu. Paul-Marie Coûteaux, résolument opposé à la construction européenne refuse tout net une alliance avec l'UMP car dit-il " Perdre l'indépendance de sa voix pour deux sièges de députés, c'est dérisoire ". Rappelons que Paul-Marie Coûteaux avait , en 2002, soutenu Jean-Pierre Chevènement dans sa tentative de " refondation républicaine "...
Dans le même temps, plusieurs élus MPF tel le sénateur Philippe Darniche se sont prononcé dès le soir du 22 avril pour Sarkozy. Parmi ces derniers, personne ne sera étonné de savoir que le maire d'Orange, notre ex-compagnon de route au FN, a fait de même, mettant ainsi de côté les énormes contradictions entre un Nicolas Sarkozy et les convictions qui sont les nôtres. L'attitude de Jacques Bompard n'est pas étonnante lorsqu'on dse souviens des raisons pour lesquelles il a quitté avec fracas la porte du FN pour être embauché immédiatement par Villiers .
Bompard devait beaucoup en espérer et désormais il en espère beaucoup de Sarkozy !
Source : Vox FN
mercredi 25 avril 2007

François Bayrou a annoncé aujourd'hui "la création d'un nouveau parti politique, le parti démocrate", lors de sa conférence de presse.
Ce parti "présentera des candidats à toutes les élections à venir, et d'abord aux élections législatives (de juin), pour représenter les Français qui veulent une politique nouvelle, indépendante, libre de son expression", a insisté le président de l'UDF.
"Le parti démocrate proposera de refonder nos institutions pour que le mot démocratie trouve son sens en France (...) il saisira toutes les occasions d'imposer la séparation des pouvoirs (...) la création d'une démocratie sociale pour le XXIè siècle", a ajouté M. Bayrou.
Chers amis,
Je tiens à remercier les centaines de milliers d’électeurs qui m’ont fait confiance, tous ces Français et toutes ces Françaises qui ont écouté en eux et choisi la voix du courage et du patriotisme authentique.
Dans un contexte difficile où les médias et sondeurs auront tout fait pour favoriser les grands candidats, nous nous sommes battus avec des moyens financiers dérisoires mais nous avons porté haut les couleurs du patriotisme, avec fierté et courage.
Grâce au travail remarquable de nos fédérations, de tous nos militants et de tous ceux qui oeuvrent sur le terrain pour faire connaître et gagner nos idées et que je remercie très chaleureusement, près d’un million de nos compatriotes m’ont fait confiance et m’ont permis de me placer en 6ème position sur les 12 candidats devant le Parti Communiste et les Verts, et ce faisant ils ont choisi de faire du MPF une force politique incontournable pour les années à venir.
Deux sentiments m’animent aujourd’hui :
Le premier est un sentiment de fierté car notre Mouvement a été le seul à dénoncer le mondialisme, le laxisme, le communautarisme et le socialisme, pour proposer un patriotisme de convictions comme alternative aux politiques menées depuis 30 ans.
Le second est un sentiment d’espoir, car nous continuons notre combat pour un redressement patriotique de notre pays lors des élections législatives qui commencent dès aujourd’hui. J’ai demandé à mon Porte-parole Guillaume Peltier de diriger cette nouvelle campagne et de mobilier dès maintenant notre équipe nationale, dont je salue la combativité et le dévouement, avec un objectif clair : 500 candidats du Mouvement Pour la France pour défendre nos idées.Je compte sur vous tous. Vous pouvez compter sur moi.
Philippe de Villiers

PARIS (AFP) - Philippe de Villiers, président du MPF, (2,23% des voix au 1er tour de la présidentielle) a "invité" mercredi "les Français à faire le choix de la droite et de Nicolas Sarkozy pour barrer la route à la gauche" le 6 mai."J'ai entendu aujourd'hui la neutralité stratégique et politicienne de François Bayrou qui sonne comme une offre de services à la candidate socialiste", écrit M. de Villiers dans un communiqué.
"Dans ce nouveau contexte et fidèle à mes convictions, j'invite les Français à faire le choix de la droite et de Nicolas Sarkozy pour barrer la route à la gauche" le 6 mai, indique le candidat malheureux à la présidentielle.
Le président du MPF avait refusé, au soir du premier tour de la présidentielle, d'appeler à voter pour M. Sarkozy au deuxième tour.
Mercredi, le président du conseil général de Vendée souligne que "malgré les différences évidentes qui existent avec le programme du président de l’UMP", il ne veut pas "faire la politique du pire" et "refuse depuis toujours les alliances électorales contre-nature".

mardi 24 avril 2007
lundi 23 avril 2007
LEMONDE.FR avec AFP 23.04.07
L'ex-président russe Boris Eltsine est mort, lundi 23 avril, à l'âge de 76 ans, a annoncé le service de presse du Kremlin sans préciser les causes du décès. Cependant, selon des sources médicales citées par l'agence Interfax, sa mort est due à un brusque arrêt cardiaque. M. Eltsine, qui souffrait de problèmes cardiaques, a été le premier président de la Fédération de Russie après la fin de l'URSS (1991-1999), avant Vladimir Poutine, qu'il avait désigné comme son dauphin.
Selon un sondage CSA, les catholiques "réguliers" (allant à la messe au moins une fois par mois) ont voté à 45% pour Nicolas Sarkozy, 20% pour François Bayrou, 11% pour Ségolène Royal, 8% pour Jean-Marie Le Pen, 7% pour Philippe de Villiers... 4% pour Arlette Laguiller, 3% pour Marie-Georges Buffet et 2% pour Olivier Besancenot.
- Communiqué de Bruno Mégret du 22 avril 2007
Bruno Mégret, Président du MNR, se déclare déçu par le score réalisé par Jean-Marie Le Pen, en dépit des bonnes prestations personnelles du président du FN. Il déplore que les Français qui veulent massivement une rupture avec le système politicien aient choisis, pour le second tour, les représentants des deux principaux partis du système. Il regrette que beaucoup d’électeurs proche des idées de la droite nationale aient commis l’erreur de faire confiance à M. Sarkozy qui ne pourra que les décevoir.
Bruno Mégret, solidaire de Jean-Marie Le Pen, annonce qu’il se remettra dès demain au travail pour assurer enfin l’union des forces de la droite nationale dès les élections législatives afin de redonner l’espoir aux millions de Français qui veulent un authentique renouveau de notre pays.
dimanche 22 avril 2007
En direct sur TF1 :
Le candidat du FN avoue avoir fait une erreur d'apréciation : les Français sont très contents. C'est pourquoi ils ont voté pour "les candidats du système". Il craint que cette euphorie ne dure pas trop longtemps. Il fera part de son intention pour le second tour le 1er mai à l'Opéra. (MJ)
Philippe de Villiers est déçu malgré son million de voix : c'est la victoire de "l'européisme". Il dénonce "l'avortement de masse", l'eugénisme et l'euthanasie. Il faut affirmer l'autorité de l'Etat fasse aux communautarismes. Il n'appelle à voter pour personne et souhaite désormais se consacrer aux législatives. (MJ)
Olivier Besancenot 790.367 4,34%
Marie-George Buffet 333.339 1,83%
Gérard Schivardi 72.139 0,40%
François Bayrou 3.333.253 18,31%
José Bové 264.301 1,45%
Dominique Voynet 282.793 1,55%
Philippe de Villiers 478.579 2,63%
Ségolène Royal 4.456.748 24,48%
Frédéric Nihous 302.562 1,66%
Jean-Marie Le Pen 2.080.135 11,43%
Arlette Laguiller 269.419 1,48%
Nicolas Sarkozy 5.540.988 30,44%
vendredi 20 avril 2007
NOUVELOBS.COM 16.04.2007 11:45
La Direction Centrale des Renseignements Généraux est en possession d’une enquête confidentielle sur l’état de l’opinion qui annonce l’élimination de Ségolène Royal au 1 er tour. Cette enquête, effectuée dans le cadre des missions de prise de température de l’opinion sur des thèmes non politiques, baptisée "Mercure", est effectuée sur un échantillon de 15.000 personnes sur tout le territoire français. Officiellement, les Renseignements Généraux ne font plus de sondages électoraux. Mais, ces dernières semaines, les RG régionaux ont eu pour consigne de faire remonter des informations sur le vote du premier tour.
Les RG démentent
Confirmation
Selon nos sources, contrairement au démenti officiel, les RG ont bien livré une enquête sur les intentions de vote des Français. "Ils ne peuvent faire autrement que nier cette activité, car elle est devenue illégale depuis trois ans", confirme un collaborateur du ministère de l'Intérieur, qui poursuit: "En réalité, il ne s'agit pas à proprement parler d'un sondage, mais plutôt d'une étude qualitative améliorée". Nicolas Sarkozy y est largement en tête, entre 25 et 26 %, suivi de loin, à 19 %, par Le Pen, Bayrou, et, dans un mouchoir, Ségolène Royal. Cette dernière est donc légèrement distancée et peut revenir dans la course à tout moment. C'est pour cette raison que la direction centrale des RG dément sa "disqualification" au 1er tour, selon l'expression même des enquêteurs. S.R.
jeudi 19 avril 2007
L’enseignement de l’Église nous rappelle le devoir du catholique de contribuer au Bien commun, par tous les moyens dont le vote. L’Eglise n’a pas pour rôle de donner des consignes de vote, ni de définir une politique, elle rappelle seulement à temps et à contre temps les points de doctrine catholique qui lui semble être menacées. A la lumière de cet enseignement chacun en conscience détermine son vote. Aucun catholique ne peut se désintéresser de ces questions car «De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes» (Pie XII - Pentecôte 1941.)
Une étude approfondie de nombreux documents et programmes m’a amené à la conviction, qui n’engage que moi, qu’un électeur (et à plus forte raison un électeur catholique) n’a moralement pas d’autres choix que d’apporter son vote à l’un des deux candidats suivants : Philippe de Villiers ou Jean-Marie Le Pen. Non que leurs programmes représentent un quelconque absolu moral, mais que procédant par élimination sur les critères non négociables pour un catholique, il ne reste plus qu’eux. N’étant pas clerc, ne me réclamant d’aucune autorité spécifique, j’ai tenu, en tant que simple laïc, soucieux du bien de son pays, à vous faire partager cette vision. Je m’excuse d’avance envers ceux qui trouveront cette démarche inopportune, mais j’ai pensé que le relativisme dans lequel notre société baigne n’aidait pas les catholiques à prendre pleinement en considération l’enseignement de l’Eglise.
Pour lire la suite : ici
IVG : souffle conservateur à la Cour Suprême
Mardi, la Cour suprême des Etats-Unis a opéré un premier revirement symbolique sur la question de l'avortement, en validant une loi fédérale de 2003 qui interdit une méthode chirurgicale d'interruption tardive de grossesse, même losque la santé de la patiente est en jeu. Pratiquée entre le 3e et le 6e mois de grossesse, cette méthode d'avortement était utilisée dans quelques milliers de cas par an aux Etats-Unis.
Il s'agit de la première restriction nationale à l'avortement depuis la décision de la Cour autorisant l'IVG en 1973. Toutes les tribunaux d'Etat saisis par les partisans de l'avortement avaient jusqu'à présent invalidé cette loi, parce qu'elle ne comporte pas d'exception si la santé de la femme est menacée. En 2000, la Cour suprême elle-même avait invalidé pour ce motif une loi similaire du Nebraska. Mais la juge centriste Sandra Day O'Connor, qui avait alors fait pencher la balance, a depuis été remplacée par le conservateur Samuel Alito.
Démembrer le foetus
La méthode interdite, consiste à faire sortir les jambes et le torse du foetus, puis aspirer le contenu de la boîte crânienne pour faciliter l'extraction de la tête. Elle était appelée "avortement par naissance partielle" par ses opposants, parce que le foetus est encore vivant au début de la procédure. Dans leur décision, les juges ont estimé que son alternative, qui prévoit de démembrer le foetus avant de l'extraire, était suffisante, et que si le démembrement menaçait la santé de la femme, le médecin pouvait toujours se conformer à la loi en tuant le foetus par injection avant de l'extraire.
"La décision d'aujourd'hui est alarmante", a répliqué la juge Ruth Bader Ginsburg, rejointe par les trois autres juges progressistes de la cour. "Elle tolère et même applaudit une intervention fédérale pour interdire au niveau national une procédure que l'ordre des gynécologues-obstétriciens américains considère nécessaire et appropriée dans certain cas", a-t-elle ajouté.
Source : Vox FN
mercredi 18 avril 2007

http://identitanostra.blogspot.com
Article de Kreuzer publié le 10 avril 2007
Voici dix bonnes raisons pour voter en faveur de Jean-Marie Le Pen le 22 avril prochain :
- La cohérence. Depuis qu’il fait de la politique et surtout depuis qu’il est à la tête du Front National, jamais Jean-Marie Le Pen n’a changé de trajectoire sur le plan des idées. Alors que la plupart des politiciens du système (Bayrou, Royal ou Sarkozy) ajustent leurs idées en fonction de tel ou tel sondage, Le Pen lui, a toujours gardé le même cap. C’est un point ô combien important, surtout lorsqu’il s’agit d’occuper le poste de Président de la République. Imaginez-vous confier par exemple le poste de président à quelqu’un qui change de politique diplomatique toutes les semaines .
- La défense de l’identité française. La défense de l’identité française, voilà ce qui est sûrement la chose la plus importante chez Le Pen. Ancien militaire, élu à de nombreuses reprises, Le Pen a toujours axé son combat politique sur la défense de l’identité nationale. L’identité nationale, Le Pen en parle depuis 1956 alors que Sarkozy lui en parle depuis six semaines…c’est là qu’on voit la différence entre ceux qui ont une conception idéologique de la politique et ceux qui en ont une conception marketing…
- Le Pen est un visionnaire et toutes les prévisions qu’il a faites ce sont (hélas) révélées exactes. A la fin des années 1970, Le Pen prédisait que la politique d’immigration massive aurait des conséquences démographiques et sociales désastreuses ; il a vu juste. Au tout début des années 1990, il disait que l’adoption d’une monnaie unique serait synonyme d’inflation pour les français ; il a vu juste. Au milieu des années 1980, il disait qu’une trop forte présence de musulmans sur le sol français pouvait créer une communautarisation de la société ; il a vu juste.
- Loin de l’image fabriquée par les médias, Le Pen est un homme de tolérance qui souhaite une France où puisse vivre en harmonie tous les citoyens. Accusé à tort de « racisme », Le Pen a prouvé qu’il ne l’était pas, mais il l’a prouvé non pas avec des paroles mais avec des actes. Le Pen a été le premier homme politique français à permettre à un musulman de pouvoir se présenter en métropole (élection législative 1957). Le Pen a été le premier homme politique français à permettre à une musulmane de se faire élire au Conseil régional d’Ile de France (Soraya Djebour en 1986). C’est également Jean-Marie Le Pen qui a permis pour la première fois à un antillais de jouer un rôle politique de premier plan à Marseille (le Conseiller régional Stéphane Durbec). Alors que l’UMP et le PS se servent uniquement des noirs ou des maghrébins comme gadgets ; Le Pen lui parle peu sur le sujet mais agit concrètement dans ses actes et ce depuis plus de 50 ans de vie politique (présenter un musulman à une élection se déroulant en métropole en 1957 n’était pas très politiquement correct à l’époque).
- Le poste de Président de la République est taillé sur mesure pour Jean-Marie Le Pen. Le Pen a 78 ans, il en aura 79 en juin prochain, si il est élu alors il aura 83 ans en 2012. Oui Le Pen est un senior et alors ? L’âge de Le Pen est au contraire un atout pour le poste qu’il souhaite occuper (mon avis aurait été différent si il était question d’un poste de ministre). Etre âgé de 78 ans c’est appartenir au 4ème âge, mais c’est aussi et surtout synonyme d’une vie remplie d’expériences. Le Pen a connu la guerre dès son plus jeune âge en Bretagne en étant victime de l’occupation allemande, il a également été combattant lors de la guerre d’Algérie, il fut député dès 1956, il a été chef d’entreprise, il a été étudiant mais aussi mineur ; tout ça pour dire que Le Pen a connu une multitude de situations sociales et qu’il a vu comment les sphères sociétales se sont transformées au fil des années. A force d’avoir connu plusieurs situations sociales, Le Pen plus que n’importe quel autre candidat, sera capable d’agir pour l’intérêt général en tant que Président de la République.
- Le Pen n’a jamais été l’homme du système, pire : il ne fait partie d’aucun lobby. Alors que les onze autres candidats sont tous rattachés à un lobby (et on ne peut pas leur en vouloir, car la société politique fonctionne comme cela depuis plusieurs dizaines d’années) ; Le Pen lui n’a jamais été sous l’influence d’un quelconque lobby. Le fait de ne pas graisser la patte à tel ou tel lobby a eu comme conséquence pour Le Pen une véritable politique d’ostracisme à son encontre. Plus que ses prises de position, si Le Pen est attaqué c’est surtout parce qu’il ne fait partie d’aucun lobby, il a toujours refusé d’aller à la soupe du système. Le fait de n’appartenir à aucun lobby est quelque chose de très important car c’est un gage de sécurité de nos jours (voir la dégradation constante du climat national et surtout international).
- Le Pen veut instaurer une vraie démocratie en France et ainsi marquer une rupture forte avec la « démocrature » actuellement en place. Le Pen souhaite la généralisation du scrutin proportionnel à toutes les élections, une telle chose permettrait de représenter l’immense diversité des courants politiques qui font partie de notre paysage politique (L’UMP et le PS qui ont fait 36% à eux deux lors de l’élection présidentielle de 2002 ont actuellement une représentation parlementaire dépassant les 80%...cherchez l’erreur….). Le Pen n’a enfin pas peur du débat d’idées et il le prouve en voulant lancer 5 référendums portant sur des questions majeures au cas où il serait élu. Ainsi, si Le Pen est élu et qu’il propose ses 5 référendums, ce ne sera pas le FN qui sera au pouvoir mais le peuple tout simplement. Le Pen ne veut pas s’appuyer uniquement sur le FN ou sur une partie de la classe politique pour gouverner, il compte y associer également l’ensemble des français, y compris ceux qui lui sont hostiles sur le plan politique.
- Le Pen au pouvoir c’est l’assurance d’une France forte et libre. Le Pen au même titre que De Gaulle à l’époque, milite pour une France souveraine qui ne soit pas aux ordres de Bruxelles ou Washington. Homme de consensus, Le Pen ne souhaite pas quitter l’Union Européenne sans avoir préalablement eu une discussion de fond avec la Commission Européenne ; bien entendu si la discussion n’apporte aucun résultat positif ou pire qu’elle n’ait pas lieu, alors la France quittera l’Union Européenne. N’oublions pas que c’est l’Union Européenne qui depuis 1957 a besoin de la France et non l’inverse, depuis 1957 la France sert de vache à lait aux autres pays européennes (même la PAC n’adoucit pas le constat, c’est dire !). Insoumis à Bruxelles, Le Pen l’est également avec Washington. Le Pen contrairement à un Sarkozy (mais même à un Bayrou ou à une Royal, que eux contrairement à Sarkozy savent mieux cacher leur jeu) ne sera pas le petit chien de Washington. Le Pen est un homme de caractère et n’est pas du genre à se soumettre à telle ou telle grande puissance mondiale.
- Etant de droite nationale, Le Pen est actuellement le seul à pouvoir porter au plus haut dans les urnes le combat national et identitaire. On peut parfois ne pas être en désaccord avec Le Pen sur certains sujets (la plupart mineurs), mais il faut reconnaître que c’est le seul qui a su fédérer tous les courants de la droite nationale. Si l’on parle aujourd’hui de l’Union Patriotique, n’oublions pas qu’en 1972 la création du Front National par Jean-Marie Le Pen résultait déjà d’une union patriotique de diverses structures de la droite nationale. Le Pen a toujours été là pour tenir la barre et notamment à l’époque où le Front National n’était qu’à l’état groupusculaire (1972/1982). Si Le Pen faisait de la politique par pur intérêt matériel alors il aurait prit sa carte au RPR (devenu UMP) ou ailleurs depuis longtemps. Plutôt que d’être élu avec les idées des autres, Le Pen a préféré être battu avec ses propres idées.
- Dire MERDE au système ! Voilà pour beaucoup une très bonne raison de voter Le Pen. Le Pen représente le diable, Belzébuth ou Satan pour tous les grands de ce monde : gros financiers, politicards de l’UMPS, pseudo-intellectuels, gens du showbiz, « artistes » etc… Souvenez vous de la gueule de certaines personnes au soir du 21 avril 2002 et je pense plus précisément à celle de Martine Aubry entrain de chialer sur le plateau TV de France 3 : quel pied ! Rien de plus jouissif sur le plan mental que de donner une claque à tous ces donneurs de leçon et pour cela, rien de plus efficace qu’un vote en faveur de Le Pen. Peu importe son score le 22 avril mais une chose est sûre : la classe dirigeante du système assimilera chaque vote en faveur de Le Pen comme un crachat à son encontre. Voter Le Pen le 22 avril c’est prouver surtout que l’on n’est pas un mouton du système, c’est prouver que notre cerveau sait résister aux perfusions quotidiennes des grands médias du système.
Le 22 avril prochain, le maximum de voix pour Jean-Marie Le Pen !
lundi 16 avril 2007

Tout en regrettant l'éparpillement des voix de la droite nationale sur deux candidats, l'Action Française choisit de soutenir le candidat du Front National:
(...)M. Le Pen est le mieux placé sur le plan de l'opinion pour réaliser un score important et peser sur la politique qui sera suivie demain. [...]À l'Action française, nous nous plaçons comme d'habitude sur le seul terrain de l'intérêt national. Lorsque M. Le Pen a énoncé des positions servant le bien du pays, nous ne sommes pas gênés pour le dire. Nous n'avons pas pour autant approuvé toutes ses manœuvres politiciennes. [...] Voter pour M. Le Pen, ce ne sera pas adhérer à toutes les thèses du Front national ni à ses choix tactiques. Ce sera marquer notre rejet du personnel politique qui a dominé les milieux dirigeants depuis des dizaines d'années, lesquels ont conduit le pays au déclin moral, social, politique ; ce sera exprimer sa foi dans une renaissance française".
Source : Vox Galliae
Silence radio. Il ne faudrait pas pointer du doigt l'immigration à une semaine du premier tour de la présidentielle !
C'est le cas de Claire Chazal samedi soir sur TF1. Pourtant les faits sont là, le prinicipal suspect, Bukuriga Iseni, est bosniaque . Agé de 46 ans, il était "déjà poursuivi pour agression sexuelle sur mineur mais laissé en liberté surveillée en attendant la fin de l'instruction" ! Les vagues récentes d'immigration bosniaque, tchétchène, ou afghane, ne sont pour la France qu'une source de problème, actuels et futurs, et ne constitue en rien une richesse ou un apport.
Revenons au mensonge. La dépêche AFP pratique la même omission. Or il ne s'agit plus de présomption d'innoncence, puisque le nom et les "qualtés" du "suspect" sont désormais connus. On me dira, la nationalité n'a rien à voir à l'affaire ! Bien au contraire, évidemment ! A accepter l'implantation en France de familles entières qui n'ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins, c'est la criminalité future que l'on invite sur un tapis rouge.
samedi 14 avril 2007

René Rémond vient de mourir des suites d'une maladie alors qu'il était âgé de 88 ans, ce qui n'ira pas sans surprendre plusieurs de nos lecteurs compte tenu de sa tenue et de son apparence qui sont toujours restées celles d'un homme bien plus jeune. Historien et politologue, René Rémond était connu plus particulièrement pour ses ouvrages sur l'histoire des droites en France. Personnage influent de l'histoire des idées intellectuelles de la seconde moitié du XXème siècle, sa disparition ne manquera pas d'être commentée par le monde universitaire et la classe politique française.
Sa biographie Wikipédia ici.

A Lille, le 27 janvier 2007, au cours d’un colloque sur la diversité et l’égalité des chances organisé par l'association Clés Frederic Lambin, le président de la CGPME du Nord Pas-de-Calais, déclare publiquement que la CGPME, la Chambre de Commerce et d’industrie de Lille, la Mairie De Lille et l’association Synergie ont créé un cabinet de recrutement reservé uniquement aux Noirs et aux Arabes.
jeudi 12 avril 2007
A dix jours du premier tour de l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy reste en tête des intentions de vote, malgré un recul d'un point et demi à 28% en dix jours, selon un sondage BVA pour Orange et une soixantaine de titres de la presse régionale diffusé jeudi.
La candidate socialiste Ségolène Royal est stable par rapport à la précédente enquête des 2 et 3 avril, avec 24% des intentions de vote, de même que le centriste François Bayrou, à 18%. Le président du Front national Jean-Marie Le Pen affiche pour sa part une progression de deux points, à 14%.
Au second tour, le candidat de l'UMP l'emporterait sur sa concurrente socialiste avec 55% contre 45%, soit un point de plus que lors du précédent sondage.
Le nombre d'indécis apparaît en nette baisse, puisque 71% des sondés disent être certains de leur choix au premier tour, contre 67% dix jours auparavant.
L'enquête a été réalisée par téléphone le 10 avril auprès d'un échantillon de 953 personnes âgées de 18 ans et plus.
Source : l'Express
Agence France-Presse
L'ancien premier ministre français Raymond Barre, hospitalisé mercredi à Paris, est «en réanimation» et son état est «stationnaire», a-t-on appris jeudi de source familiale.
L'ex-chef de gouvernement qui a eu 83 ans jeudi «a été admis mercredi à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris au sein du service de cardiologie», selon la même source.
vendredi 6 avril 2007
jeudi 5 avril 2007
Les restes présumés de Jeanne d'Arc, conservés à Chinon, sont en fait des fragments d'une momie égyptienne. Des fragments de côte humaine apparemment brûlée, mélangés à des bouts de bois et de tissu et du pollen de pin avaient été présentés comme appartenant à la "pucelle d'Orléans" en 1867.
Le diocèse de Tours a rappelé que ces n'ont jamais été considérés "comme des reliques par l'église".
"L'église, le diocèse et la paroisse qui en étaient propriétaires s'en désintéressaient depuis des années. Ils n'ont jamais fait l'objet d'une quelconque dévotion".
Pour l'association des Amis du vieux Chinon qui détenait les ossements, "ce n'est pas une surprise".
Le salon beige, Michel Janva
mardi 3 avril 2007

La création de lieux de culte musulmans s’est, accélérée ces dernières années, notamment en région parisienne. En 1976, on recensait 150 salles de prière musulmanes. En 1985, 900. En 2001, le ministère de l’intérieur comptait 1 555 mosquées et salles de prière musulmanes en France. Aujourd’hui, le dernier annuaire des salles de prière musulmanes en date – le plus complet à ce jour, disponible sur Internet (annuclic.com) – dispose de 2 147 références, incluant mosquées, salles de prière et salle de foyer.
lundi 2 avril 2007
dimanche 1 avril 2007
Une Toulousaine a eu en milieu de semaine la surprise de recevoir la carte d'électeur permettant à son grand-père, décédé en 1977, de participer aux prochaines échéances électorales.
"J'habite depuis trois ans la maison de mes grand-parents, dans le quartier d'Empalot, et j'ai découvert deux courriers contenant les cartes d'électeur de ma grand-mère, hospitalisée, et de mon grand-père, décédé il y a 30 ans à l'âge de 74 ans", a confié leur petite-fille Corine Norek.
Les responsables du service Elections de la mairie de Toulouse, alertés par la jeune femme, ont dans un premier temps pensé que "ce cas de figure était inconcevable". Ils ont ensuite reconnu que le décès d'Herbert Norek, appelé à voter au bureau de l'école Ricardie, avait pu échapper à leur vigilance, les fichiers des élections n'étant pas informatisés à l'époque, a-t-on indiqué auprès de la mairie.