Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 4 février 2008
Une nouvelle fois, le château de Versailles, symbole de la souveraineté et de la grandeur de la France, est le théâtre d’une trahison de la nation. En 2005, les députés et sénateurs avaient modifié la Constitution pour qu’elle puisse être compatible avec la Constitution européenne.
Or le peuple français avait ensuite rejeté ce texte. Les députés et les sénateurs récidivent aujourd’hui, comme si les Français ne s’étaient pas exprimés. Ce que le peuple a refusé en 2005, les représentants de peuple l’imposent en 2008.
Cette forfaiture disqualifie la représentation nationale. C’est ce que nous dirons, haut et fort, mercredi, à 12h 30, face à l’Assemblée nationale.
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