
« La patrie, c'est ce qui reste à ceux qui n'ont plus rien » Blog patriotique d'information. Pour une France libre !
L'acteur/réalisateur Français Jean-Claude Brialy s'est éteint Mercredi à son domicile parisien de l'île Saint-Louis, à 74 ans, des suites d'une longue maladie.
Né le 30 Mars 1933 à Aumale, en Algérie, Jean-Claude Brialy a été révélé en 1958 par sa performance dans le "Le beau Serge" de Claude Chabrol. Eternel dandy, l'acteur a ensuite tourné avec les plus grands réalisateurs, tels Renoir, Truffaut, Rohmer, Lelouch ou Blier.
Jean-Claude Brialy a signé également quelques films en tant que réalisateur avec "Eglantine" (1971), ou encore avec les téléfilms "Les Malheurs de Sophie" (1981) et "Un Bon petit diable" (1983).
Il était aussi le propriétaire depuis 1986 d'un théâtre de la capitale, Les Bouffes parisiens, après avoir dirigé le théâtre Hébertot à partir de 1977.
Débarqué à Paris en 1954, il se mit très vite à fréquenter "la bande des Cahiers du Cinéma". C'est Jacques Rivette qui l'engagea le premier dans son court métrage "Le Coup du berger" en 1956. Après "Elena et les hommes", il tourna la même année dans "L'Ami de la famille" de Jacques Pinoteau.
La célébrité venue, la Nouvelle Vague ne le lâcha plus et Brialy tourna avec Jean-Luc Godard (1960, Une femme est une femme) ou encore François Truffaut (1967, La Mariée était en noir).
Préférant la retenue à l'extravagance, Jean-Claude Brialy incarna souvent des personnages tendres devenant avec l'âge de plus en plus paternels, voire patriarches, à l'exemple de "L'Effrontée" (1986, Claude Miller) et "La Reine Margot"(1994, Patrice Chéreau).
Jean-Claude Brialy avait tourné son dernier film pour la télévision en 2006, "Monsieur Max", de Gabriel Aghion. Il apparaît aussi dans "Dernière enquête" de Romuald Beugnon, qui doit sortir en Septembre 2007.
30/05/01 – 11h30Nanterre (NOVOpress) –
Sans doute dans le but de favoriser l’intégration des jeunes issus de l’immigration et de développer chez eux l’amour de leur nouveau pays en leur faisant connaître et respecter les grands hommes de son histoire et de sa culture, l’association « Orange », qui milite pour une meilleure reconnaissance de l’histoire de l’immigration, rêve de voir baptisé le nouveau collège de Nanterre du nom d’Abdelmalek Sayad, vague sociologue directeur de recherches au CNRS et proche de Bourdieu.
La France ne possède-t-elle pas assez de personnalités d’une autre envergure que celle-ci à donner en exemple aux jeunes élèves?
Mais, vous l’aurez compris, il s’agirait là d’un énième « geste symbolique » visant à donner aux nouvelles populations des « référents qui leur parlent et leur ressemblent ».
Bref une nouvelle génuflexion visant à diluer l’identité nationale et à donner des gages aux exigences communautaristes.
http://fr.novopress.info25/05/07 – 13h30ANGERS (NOVOpress) -
Nouveau pudique silence médiatique autour d’un énième acte de barbarie ayant endeuillé la ville d’Angers que les esprits optimistes pouvaient penser encore épargnés par ce genre de drames que beaucoup croient encore limités aux frontières du « 9.3 ».
En effet, une jeune étudiante néerlandaise de 19 ans " a été agressée dans la nuit du 5 au 6 mai dans les rues de la capitale angevine. La jeune fille, qui effectuait un stage de 4 mois en France, venait de quitter un groupe d’amis après une soirée festive et tentait de rejoindre une adresse dans le centre ville. Elle a alors demandé son chemin à un groupe de 7 " jeunes " (comme quoi, pour son malheur, la jeune femme avait bien retenu la leçon qu’il ne faut pas avoir de « préjugés » ni « d’à priori » sur les bandes ethniques…) âgés de 15 à 18 ans (Rachid B., 17 ans, de nationalité congolaise, Romain B., 17 ans, de nationalité française, Abdul Kader D., 18 ans, de nationalité ivoirienne, Lovi K., 15 ans, de nationalité angolaise, Abassi M., 17 ans, de nationalité congolaise, Antonin S., 17 ans, de nationalité française, Wendy Yam Z.N ., 18 ans de nationalité française.).
Ces derniers l’ont alors entraînée dans un jardinet au pied de la montée Saint Maurice. Quatre des voyous ont alors violé la jeune néerlandaise et lui ont volé son argent. Ils ont pu être identifiés et ont été interpellés, mis en examen et écroués. Les trois autres membres du groupe qui avaient participé au guet ont été placés sous contrôle judiciaire. La victime, elle, traumatisée est rentrée dans son pays.
Elle se souviendra sans doute toute sa vie de la France et de la « joyeuse richesse de son multiculturalisme »
Les Français doivent prendre conscience que la seule façon pour eux de dire leur volonté de sauvegarder la nation est de voter pour des députés du Front national.
Italie : Naissance d’un parti des immigrés
http://www.bafweb.com édition du 22 mai 2007
Le parti des “nouveaux italiens”, premier parti politique des immigrés, a vu le jour le 16 mai en Italie. Il s’est formé après que le gouvernement italien a accordé le droit de vote aux personnes résidants en Italie depuis plus de 5 ans (et qui n’ont pas la nationalité italienne).
“C’est un parti multi-culturel, multi-ethnique et multi-religieux dont le but est de représenter à la fois les anciens et les nouveaux italiens”. Dans sa profession de foi “pro-immigrée”, le parti mitraille du politiquement correct à l’arme lourde : il se veut laïque, démocratique, réformiste, respectueux de la charte des droits fondamentaux de l’union européenne, basant son action sur sept principes : dignité, liberté, égalité, solidarité, citoyenneté, justice et devoir.
Mustapha Mansouri, le fondateur de ce parti multi-pénible, est marocain. Et devinez quel est son modèle ? la France. Commentant la nomination de Rachida Dati, il a déclaré : “La France est précurseur de ce qui se passera dans toute l’Europe dans les années à venir . Le but du parti des nouveaux italiens est d’aider l’Italie à suivre la route de notre voisin transalpin”.
Article de Frédéric Pons publié le 13 mai 2007
Entre Laure Manadou qui part roucouler en Italie et notre Johnny national qui nous redescend des alpages suisses, on croise pas mal de people à nos frontières en ce moment. On peut comprendre Laure. Le choix est vite fait entre le gourou ventripotent et l'Apollon latin. Le coach a bu la tasse mais reste à savoir qui la fera le mieux gagner ? L'entraîneur stakhanoviste ou l'amant de Vérone ? Bonne chance tout de même à notre multimédaillée. Pour Johnny national, c'est clair : Gstaadt n'est pas très folichon, surtout sans la neige. Le pire est ailleurs.
Chers internautes, l'affaire est grave : on a perdu Yannick Noah. Il avait promis de quitter la France si Sarkozy était élu. Aux dernières nouvelles, il n'a pas bougé. On ne l'a pas vu aux frontières, la cantine de disques de platine sur le dos.
"Pour se refaire une santé financière, le MPF présentera environ 500 candidats aux élections législatives. À raison de 1,60 eur par électeur et par an, la dotation annuelle versée par l'État au MPF, qui était de 600 000 eur entre 2002 et 2007, devrait être plus élevée sous la prochaine mandature. D'où l'importance capitale de ce scrutin pour la survie du MPF."
On est également en droit de se demander si les comptes, gérés par son ancien compagnon du FN et du MNR, Matthieu Spiesser, ont été correctement tenus, dans le mesure où ce dernier n'a jamais reçu la moindre formation dans ce domaine avant de prendre en mains les finances du MPF.
Hier soir s'est donc déroulé le fameux " grand débat " télévisé qui était retransmis sur toutes les chaînes de France télévisions, sur TF1 , les chaînes info et les radios entre monsieur Sarkozy et madame Royal. Comme 20 millions de Français, j'ai regardé et écouté avec attention les deux débatteurs, des fois que l'un des deux réussissent à me surprendre agréablement et au final ma position initiale se trouve être confortée. Blanc bonnet et bonnet blanc ou rose bonnet et bonnet rose comme ont veut.
Le chaudron magique dans lequel puisent largement les deux candidats du Systhème qui restent en lice pour le second tour de dimanche à encore fonctionné à plein rendement, et ce ne sont pas les " saines colères " fabriquées de la candidate socialiste ni d'ailleurs les formules allambiquées de l'ancien ministre de Chirac qui y changeront quelques chose.
Sur l'aspect visuel du débat, beaucoup de choses sont à dire notamment sur la façon dont madame Royal s'est comportée tout au long de ses deux longues heures. Elle n'avait rien à perdre car elle partait avec le titre de " challenger " et donc dès les premières secondes elle avait mis ses gants de boxe et dégainée son 38 spécial. En face on a eu droit à un Nicolas Sarkozy assez maître de lui, concentré et munis d'une quantité de notes dans lesquelles il n'aura pas pu tout trouver...
Ce qui aura pu frapper les Français c'est l'habileté tactique de madame Royal qui, malgré ce que l'on a pu entrendre d'elle, s'est comportée hier soir en parfaite officier d'état-major, utilisant des méthodes de déstabilisation contre un adversaire qui pourtant est un habitué des confrontations publiques. Ségolène Royal est demeurée droite comme un I, le regard continuellement posé sur Nicolas Sarkozy qui se retranchait en lançant des regards implorants à PPDA et Arlette Chabot ! Mais un débat télévisé ne fait pas l'élection , les conseillers de madame Royal, Julien Dray , Jack Lang et compagnie aurait dû lui dire...
Dans la prestation de hier soir trois interventions ont particulièrement retenues mon attention. Deux sont de Ségolène Royal et une de Nicolas Sarkozy. Lorsque la candidate de la gauche pour porter une estocade en direction de Nicolas Sarkozy - ce qu'elle aura réussie à faire tout au long du débat - l'attaque sur le fait que baisser le nombre des agents de la Fonction publique est l'une des raisons pour laquelle deux jeunes femmes policiers se sont faites agressées dernièrement et qu'il faudrait que d'autres agents puissent les raccompagner à domicile , elle touche le sommet du ridicule ! Comment pourrait-on concevoir que toute femme fonctionnaire puissent bénéficier d'une escorte chaque soir ? Créer une fonction publique supplémentaire ?
La hargne de la candidate socialiste lors de la séquence émotion du débat sur la scolarisation des enfants handicapés, une " saine colère " selon elle, alors que elle s'est basée comme sur le nucléaire sur des chiffres inexacts, est une image tellement composée que les téléspectateurs n'ont pas pu gober cet artifice ! Et sur un sujet comme celui-ci la décence aurait certainement pu la conduire à plus de modération.
Nicolas Sarkozy ne fut pas en reste lors de ses réponses hatives et faites avec une petite voix que l'on ne lui connaissait pas jusqu'à présent, on notera par exemple, la petite séquence mettant en cause le compagnon de la candidate socialiste sur le projet de nouvelle CSG : Sarko a fait mouche ! puisque on a vu le visage de la madone des marais poitevins se fermer et son regard devenir cruel ! Nicolas Sarkozy nous a fait son petit discours européiste en cognant un peu sur la Turquie ( pour satisfaire son électorat venu de chez nous ) mais surtout en nous indiquant que si l'est élu président de la République ce dimanche, l'Union européenne se trouvera de nouveau sur le rail institutionnel et que le Parlement ratifiera un traité qui de fait est une nouvelle " Constitution ". Voter Sarkozy, vous qui avez dis NON le 29 mai 2005 vous serez cocus, donc contents !
Le second tour c'est dans un peu plus de quarante-huit heures, et on aura donc le choix entre deux maladies qui peuvent, hélas se trouver incurables : donner votre voix à la peste ou au choléra à moins de s'abstenir comme le préconise Jean-Marie Le Pen.
Vox FN, Yann Redekker
Communiqué de presse de Philippe de Villiers
Philippe de Villiers n’a pas participé au grand débat du second tour de l’élection présidentielle qui s’est déroulé hier mais ses propositions, elles, étaient bien présentes.
Au cours des 2 h 40 de débat, les 20 millions de Français qui l’ont suivi ont en effet pu entendre Nicolas Sarkozy reprendre à son compte des propositions développées par le président du Mouvement Pour la France tout au long de la campagne. Les protections douanières aux frontières de l’Europe, la liberté d’entreprendre, l’identité nationale et le patriotisme, le respect des professeurs, la discipline à l’école, le rejet de mai 68, l’opposition à l’entrée de la Turquie,... Tout y est passé.
Même la candidate socialiste qui célébrait déjà la Marseillaise et le drapeau tricolore, a réitéré sa proposition d’un encadrement militaire pour les mineurs délinquants et célébré la France qui entreprend, rompant ainsi avec les vieilles lunes du socialisme. Un basculement idéologique qui ne doit pas tant aux origines familiales de Marie-Ségolène Royale qu’à l’évolution positive de la société française, qui, à l’évidence fatiguée par le laxisme, aspire à un retour aux repères moraux et civiques balayés par Mai 68.
Ce débat consacre donc, de fait, la victoire idéologique de Philippe de Villiers et du Mouvement Pour la France. Un Mouvement Pour la France d’ores et déjà en ordre de bataille pour les élections législatives des 10 et 17 juin prochains. A l’occasion de cette campagne électorale qui s’ouvrira le 7 mai, au lendemain de l’élection du Président de la République, les candidats du MPF porteront le projet présenté par Philippe de Villiers durant la campagne présidentielle.Le président du MPF - dont la cote de popularité est en hausse selon la dernière enquête Sofres (22% de bonnes opinions ; 32% chez les électeurs de droite) atteignant le niveau record de l’après-référendum - se fixe quatre missions en cas de victoire de Nicolas Sarkozy dimanche prochain :
1) Veiller scrupuleusement à ce que les promesses électorales de droite que le candidat de l’UMP a faites hier soir soient réellement appliquées ;
2) Bloquer les propositions que Nicolas Sarkozy a empruntées à la gauche (droit de vote des étrangers, Contrat d’union civile pour les couples homosexuels, libéralisation de l’euthanasie) ou qui sont d’inspiration communautariste (financement public des mosquées, discrimination positive, etc.) ;
3) Rappeler Nicolas Sarkozy, son gouvernement et sa majorité parlementaire à leurs engagements en cas de bras de fer avec la gauche, la rue ou les syndicats et les empêcher de céder comme par le passé aux « minorités agissantes » qui bloquent les réformes dont notre pays à tant besoin.
4) Défendre coûte que coûte le « non » du peuple français en rejetant toute nouvelle Constitution ou tout traité qui ne serait qu’un « copier-coller » des dispositions contenues dans la Constitution européenne rejetée massivement par les Français le 29 mai 2005.Ces quatre missions seront celles des députés MPF qui seront élus à l’Assemblée nationale le 17 juin 2007.
Un peu plus tard, les jésuites recommandaient que, la veille du premier mai, dans chaque appartement, on dressât un autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant quoi, chaque jour du mois, la famille se réunirait pour réciter quelques prières en l'honneur de la Sainte-Vierge avant de tirer au sort un billet qui indiquerait la vertu à pratiquer le lendemain (pour cela vous pouvez utiliser la liste des bonnes résolutions). Cette dévotion mariale s’est perpétuée de par le monde jusqu’à aujourd’hui. Alors en ce mois de Mai, comme les enfants du moyen-âge, offrons des fleurs et des prières à Marie !
(Vous retrouverez ce texte ici avec un très beau calendrier marial pour le mois de mai avec prières, méditations, invocations...)
Source : http://www.politique.net/