mercredi 27 septembre 2006

«Indigènes» ou «la grande saga chiraquienne de la repentance»

«La revalorisation des pensions ne doit pas faire disparaître l'oubli scandaleux dont ont été victimes les pieds-noirs et les harkis qui n'ont jamais eu droit à aucune indemnité, ni à aucun film en leur honneur», a déclaré aujourd’hui Philippe de Villiers dans un communiqué à l’AFP. Pour le président du MPF, la sortie du film Indigènes, «prend place dans la grande saga chiraquienne de la repentance» : «il y a quelques mois, Jacques Chirac faisait retirer la loi sur les aspects positifs de la colonisation. Aujourd'hui, il prend Jamel Debbouze sur ses genoux». Philippe de Villiers y décèle deux «intentions»: «la victimisation des «indigènes» et donc de leurs descendants», visant à «provoquer une fierté militante dans les banlieues», et «la désignation des Français à la vindicte. Il s'agit de provoquer chez eux un sentiment de honte et de culpabilité».

2 commentaires:

Anonyme a dit…

CUBI LE SAVOYARD

Anonyme a dit…

CUBI PRESIDENT !