
Si elle était renvoyée devant un tribunal correctionnel, la propriétaire du gîte encourrait une peine pouvant aller jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende.Selon l'Est Républicain (du 18/08/06), l'intéressée en est consciente, mais elle assume. « Tant pis si au regard de la loi je suis en infraction », assure Fanny Truchelut. « Mais on ne peut pas laisser faire n'importe quoi dans ce pays. Quand ils sont arrivés, les dames étaient voilées ; ils auraient pu me demander si ça posait problème ou pas, je leur aurais dit non tout de suite. C'est à eux à s'adapter dans des lieux privés et je leur ai laissé le choix. Chez moi, je ne veux pas de ça. Quand je vais dans un pays étranger, je me plie aux coutumes locales. [...] Je défendrai ma position et j'assumerai ce que j'ai dit. »
Source : Alex Corvus de vox galliae.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire