lundi 21 août 2006

La fête de la Rose du PS : plutôt la fête du cochon !

Frangy pluvieux, congrès heureux ! ». A Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire), l'unité de mesure d'Arnaud Montebourg pour déterminer l'audience de la Fête de la rose de sa fédération, c'est la longueur cumulée des chapelets de saucisses servis au repas. Et, dimanche 20 août, pour les végétariens qui douteraient de l'objectivité du critère, le député dispose d'autres mètres étalons : les « 400 kg de lentilles et les 250 kg de tomates » avalés par les 500 convives. Ségolène Royal, invitée d’honneur de la Fête de la rose, a clôturé ce week-end de rencontres socialistes par un discours de présidentiable. Sur les terres de François Mitterrand, elle a revendiqué l’héritage de l’ancien président, critiqué la droite, mit le travail au centre de ses préoccupations, parlé d’Europe et d’immigration.
Vraiment que du beau monde à cette fête de la rose ! Enfin, plutôt une vraie fête du cochon !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ce qui est amusant de voir dans cette fête de la rose, c'est de voir Ségolène Royal adulée par un de ses plus farouches opposants au sein du parti socialiste.
Enfin, ce qui est rassurant, c'est que l'on sait déjà que la grande Royal, au sommet dans les sondages en 2006, ne sera pas présidente de la république en 2007. Les précédends sont nombreux. Souvenons-nous religieusement de Raymond Barre, Edouard Balladur ou encore Lionel Jospin (dans la gueule).

Anonyme a dit…

bon analyse monsieur pépère...
et vive les gens pas raisonnable!